La standardiste était le nez plongé dans son smartphone, et elle le baissa en nous entendant arriver. Après un hochement de tête de notre part, elle reprit son occupation. Arrivés devant l’ascenseur, ma femme m’embrassa suavement en appuyant sur le bouton. Il descendit du 1er étage (probablement les 2 vieilles dames rentrées se coucher, les jeunes étant probablement dans un bar) et les portes s’ouvrirent.

Après avoir vérifié qu’il était vide, elle me dit:

- J’en peux plus, j’ai envie de toi en moi.

Elle entra dans l’ascenseur en soulevant le bas de sa robe, dénudant ses fesses avant même d’avoir quitté le couloir. Après avoir appuyé sur le bouton de notre étage, elle se pencha en avant, en appui sur le miroir tout en me regardant dans celui-ci. Ma bite était à nouveau bandée, et à mon tour j’ouvris la braguette et la sortit de mon boxer. J’avançais et la pénétrais au moment où les portes se fermaient.

Elle poussa un grand cri en fermant les yeux. De mon côté, je me figeais, les mains sur les hanches, en vérifiant l’indicateur d’étage pour vérifier que nous ne nous arrêterions pas au 1er, devant des mamies qui devraient être en train de dormir. Loin de mes préoccupations, elle m’ordonna:

- Allez, défonce moi !

Son injonction et le chiffre 2 du cadran me sortirent de mon errement, et je la pris violement en levrette. Je voyais sa bouche s’ouvrir et se refermer dans le miroir, son plaisir grandissant rapidement. L’une de mes mains la contourna pour la branler, pendant que l’autre fit descendre une bretelle de sa robe et sortis un sein que je malmenai. Elle avait semblé apprécier ce traitement quelques heures plus tôt, et les cris qui remplissaient la cabine m’indiquaient que c’était toujours le cas.

J’entendis la cloche sonner et les portes s’ouvrirent, mais j’étais trop occupé pour m’en soucier. Ses cris devaient résonner dans tout le couloir, mais nous étions censé être seuls. Je continuais donc à la prendre sans ménagement, cherchant à la faire craquer au plus vite comme elle dans le parc. Ce qu’elle fit quelques instants plus tard, son visage figé par le plaisir me parvenant par l’intermédiaire du reflet.

Elle s’écroula à genoux alors que les portes se refermaient. Après avoir repris ses esprits, elle vit mon sexe raide juste devant son visage. Elle descendit l’autre bretelle de sa robe et découvrit entièrement sa poitrine, ne gardant pour seul vêtement qu’une sorte de ceinture de tissu turquoise. Elle s’avança et pris ma bite entre ses seins. Elle me branla en l’enserrant fortement, mais la mouille qu’elle y avait laissé faisait que je coulissais sans problème. A chaque fois qu’elle se baissait, sa langue venait lécher le bout de mon gland, faisant exploser mon plaisir.

Elle sentit mon orgasme venir, et accéléra encore jusqu’à ce que je commence à jouir. Mon sperme gicla en laissant une première trainée de son menton à son front. La 2e fut encore plus forte et macula ses cheveux. Une 3e et une quatrième lui jaillirent dans le cou et sur les seins. La 5e et dernière finit dans sa bouche dans laquelle elle avait pris mon gland. Elle se releva alors et prit une grande inspiration pour se donner du courage. Décidée à être la plus sensuelle possible, elle appuya sur le bouton d’ouverture des portes et sortit dans le couloir, quasiment nue avec le visage et les seins recouverts de mon jus.

Elle marcha ainsi jusqu’à la porte de notre chambre, dandinant exagérément ses fesses pour m’exciter à nouveau. Nous sachant seuls à l’étage, elle mettait de côté toute pudeur. Elle se tourna à moitié dans ma direction pour me demander de venir ouvrir la porte. Je pouvais donc voir ses fesses, le profil d’un sein au téton dressé et brillant de foutre, ainsi qu'un magnifique sourire illuminant son visage strié de sperme, une goutte pendant de son menton.

***

C'est une véritable métamorphose dont elle a décidé là, une éclosion de sa sexualité !

Le prochain chapitre sera plus brutal, mais toujours avec consentement bien sur ;-). Il s'appelera: "Punition" !