Après un sage petit-déjeuner en chambre servi par le room-service, nous décidons de profiter ce matin de l’espace spa de l’hôtel. Après avoir enfilé nos peignoirs au-dessus de nos maillots de bain, simple boxer noir pour moi et tankini multicolore pour elle, et mit l’étiquette demandant à ce que la chambre soit nettoyée, nous prenons l’ascenseur pour le rez-de-chaussée. D’un sourire coquin, nous nous indiquons l’un l’autre qu’on se souvient très bien de ce que nous avons fait ici quelques heures plus tôt. Arrivés au niveau de la réception, un quinquagénaire remplaçant la vingtenaire nous salua et nous souhaita une « bonne détente dans notre spa », chose que j’espérais également !

Nous choisissons pour commencer le hammam, mais en ouvrant la porte, horreur suprême :

- … quand même pas évident de pouvoir penser à tout ! Bonjour messieurs-dames. Donc du coup, je lui réponds que …

Deux femmes d’un certain âge sont assises dans la grande cabine, se racontant leur vie. Ma femme me fait un sourire désolé en haussant les épaules, et nous entrons en saluant également ces vielles peaux braves dames. Nous nous positionnons le plus loin possible en face d’elles et de leur caquetage incessant, et essayons de nous détendre.

La vapeur de la cabine commence à sortir des buses dans un sifflement léger, mais qui couvre légèrement les paroles de nos voisines. Un brouillard dense les masquent également petit à petit, et c’est le moment que choisi mon amour pour m’embrasser dans le cou, en promenant ses mains sur mon torse. Elle me chuchote ensuite à l’oreille :

- Fais-moi signe si la vapeur diminue.

Elle fait glisser sa main dans mon boxer pour attraper mon sexe encore au repos et le sort à l’air libre. Elle se penche ensuite pour le prendre entièrement en bouche et glisse sa langue dessus. L’effet se fait vite sentir, puisque je bande de plus en plus, l’obligeant petit à petit à me sortir de cavité buccale. Elle me suçe délicatement, prenant le temps de cajoler mon gland avec sa langue. L’une de mes mains glisse sous le haut de son tankini pour attraper un sein que je pelote allègrement.

La peur de se faire surprendre par les veilles dames est présente et nous oblige à rester silencieux, tant ma femme avec sa bouche, que moi en retenant mes gémissements. Après quelques minutes, le sifflement des buses de vapeur s’interrompt et le dialogue de nos voisines se fait clairement audible, bien que je ne prête aucune attention à son contenu. J’utilise toutefois ma main pour pincer légèrement le téton de ma femme en tirant légèrement sur son torse pour lui signifier que le brouillard va se dissiper. Elle remet mon boxer sur ma queue bandée, pose sa tête sur mon épaule, et nos mains regagnent des positions plus convenables.

Bien que nos yeux sont fermés, prétextant un repos total, son bras posé sur ma cuisse lui permet discrètement d’entretenir mon érection en frottant son coude sur mon sexe. Le temps parait long en attendant le prochain bain de vapeur !

Enfin, les buses se remettent en service. Ouvrant les yeux, nos voisines disparaissent progressivement de notre champ de vision. Ma femme se penche à nouveau, et extrayant mon sexe du maillot de bain tendu à l’extrême, elle reprend sa divine fellation. Ma main part cette fois en direction de son shorty et suivant la courbe de sa fesse, passe sous le tissu. Son intimité est déjà trempée et je glisse mon pouce dans son puit d’amour. Son gémissement est étouffé par ma bite, mais produit une vibration très agréable.

Voulant renouveller cette sensation, je pose mon pouce sur son anus, l’index et le majeur rentrent sans problème sa chatte, et le petit doigt se pose sur son clitoris. Je la caresse ainsi et ses gémissements sont de plus de plus fréquents, pour notre grand plaisir à tous les deux. Enfin, sur une poussée plus forte, mon pouce entre en elle. J’entame de délicats va-et-vient dans ses deux trous, ce qui dilate progressivement son petit orifice.

Alors que l’orgasme se rapproche pour nous deux, les buses du hammam s’arrêtent à nouveau. Nous reprenons la même position sage que la fois précédente, comme si nous n’avions pas bougé. Lorsque la brume fut dissipée, un miracle se produisit :

- Bon, on va peut-être retourner à la chambre pour ne pas louper la visite de ce matin, dit l'une des deux dames. Bonne journée messieurs dames.

- Vous de même! répondîmes-nous en cœur.

- Ho que oui, elle va être bonne..., marmonna ma chérie la porte du hammam à peine refermée.

Sans même attendre le retour de la vapeur, elle sort à nouveau ma bite, se leve et se met dos à moi. Me saisissant la verge d’une main, elle décale son shorty de l’autre et s’assoit sur moi en m’insérant dans son sexe.

- Hummmmmm, gémit-elle. C’est trop bon … mais je crois que je me suis trompé de trou…

Elle se releve rapidement, et me dirigeant sur son petit trou, s’encule violement. Elle pousse un cri bestial, mélange à nouveau de douleur et de plaisir. Entre sa fausse punition de la veille et l’instant présent, je commence à réaliser en même temps qu’elle, qu’elle semble apprécier ces petites pointes de légères souffrances. Se penchant en arrière, j’en profite pour attirer sa tête vers la mienne, afin de l’embrasser langoureusement. Mes mains passent ensuite sous le haut de son maillot et sortent ses seins. Lorsque je commence à les caresser, elle ondule du bassin. Cette sodomie est maintenant douce et tendre, l’excitation du lieu augmentant rapidement notre plaisir.

Je sens que je ne vais plus tenir longtemps, et l'une de mes mains va caresser son clitoris. Quelques secondes de plus suffisent à la faire jouir, m’entrainant avec elle en remplissant son cul de mon sperme.

Après avoir reprit ses esprits, elle se leve, et rajustant sa tenue, me dit avec un grand sourire :

- Toi en tout cas, t’as pas loupé la visite du matin !

Eclatant de rire, nous finissons de nous rhabiller et sortons de la cabine.

***

Haaaaa, ça détend un petit tour dans un hamman, non? L'important étant que ce soit en bonne compagnie, sans personne pour gacher ce moment !

Le prochain chapitre s'intitulera: "Pris en flag' ". Des idées de quoi ça parlera?