Dostoïevski a serré le soleil contre sa poitrine avant de mourir

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L'ombre du soleil, c'est la nuit ou le coeur des hommes ?

Le temps s'agitait dans le verre de chronos, J'ai vu passé les pleiades, J'ai vu dansé ouegbadja.

Je l'ai dansé à perdre corps.

Et depuis, je suis condamné à écrire.

Le ciel traversait les nuages, les nuages traversaient le ciel.

La chaleur défigurait les plantations 

A l'horizon, la chaleur se décapait du soleil.

La lumière vive et brûlante étranglait le noir et l'embusquait jusqu'à ses recoins invisibles.

Il est midi, c'est le summum de l'arrogance.

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