Aveuglé par ce que cte faignasse d'Hidalgo nous fait ramer / ses godasses amassent les marques d'urine de trottinettes/ plus d'place pour les mallettes / taxi glisse entre les mauviettes / Paris est s'est figée dans un calvaire / mais mon frérot je ne connais pas cette galère / j'encule tes vieux plans de salaire / J'ai mon chalet dans dix ans qui m'appelle / vazi je nique ta ville des lumières.

Les vieux bobos pleurent leur ville cabossée / les scènes de spectacle entravées par les ptits de cité/ les manèges de la mafia acclamés par les riches d'Issy à Sentier.

Fini l'époque de la Concrète / les hiboux de la nuit se mettent en levrette / les doux gentils flics attrapent les guêpes / il n'y a plus de mix au Duplex / les brasseries surveillent leurs casquettes / les fouteurs de merdes se mettent dans un hôtel / la seine est inondée de maintes claquetttes / les mecs de l'est bouffent toute l'or des chaînes / métro boulot dodo les femmes du taf ont peur des tapettes / vazi va niquer ta mère la ville des lumières..

Les vieux barjots meurent dans leur ville effrenés / le plein de désastres sauvés par les barons de la BAC / les sirènes du Marais réclamment une avalanche de liasses.