Triste clown quand tu passes ta vie à t'amuser

Dans le noir tu oses à peine te regarder

Rouge, jaune et bleue des quatre-cents coups

Ils t'ont même traité de traînée, ces fous

Tu sens encore leurs mains sur ton cou

Tu ne savais pas que la joie a un coût

Tu venais pour les enfants à garder

La joie et les jeux ; te voilà bien affligé

Encore faut-il se relever

Ici personne pour t'aider

Remets donc vite ton sourire,

Demain tu devras y repartir...