Le plan d'action semble fonctionner

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Les serveurs s'empressent autour de la table pour remplir les verres vides et présenter les entrées. Les conversations se font autours des mets toujours autant copieux. Je risque vraiment de prendre goût à tout ça.

  • Attends, ta robe est mal ajustée, murmure Rébecca.

Ses doigts se posent sur ma poitrine, avec lenteur ils l'effleurent avec insistance lors des petites caresses sur son galbe avant de faire remonter mon décolleté. Valentin ne nous quitte pas du regard, ses yeux brûlent de désir et je m'amuse de la situation en chuchotant quelque chose à l'oreille de Rébecca, elle sait qu'elle doit rire et le fait de manière peu discrète.

  • Vous faites du bon travail Mademoiselle Gordon, affirme Valentin. J'ai que des bons échos sur vous et les cliens sont statisfaits, je vois mon chiffre d'affaires augmenter.

  • Merci infiniment, répondis-je. Peut-être que ce serait le moment de repasser dans le bureau et de discuter prime.

Je fais remonter mon pied le long de l'entrejambe de Valentin, mon sourire s'élargit lorsque je trouve l'objet de mes fantasmes, que j'effleure du bout du pied.

  • Vous n'avez pas froid aux yeux renchérit-il. Mais vu vos capacités de chargée d'affaires, je pense que ça peut se discuter !

  • Et vous, vous êtes en forme à ce que je vois dis-je taquine et pleine d'allusions. Je suis ravie de faire partie des votres.

Lorsque je me penche en avant pour masturber sa hampe avec mes pieds à travers ses habits, mon décolleté s'ouvre sur une bonne partie de ma poitrine. Comme c'est agréable ce toucher légé, j'aime sentir son érection contre ma voûte plantaire, jouer avec celle-ci en l'imaginant me prendre.

Valentin poursuit son discours avec d'autres collaborateurs, mais je vois qu'il se concentre de plus en plus les joues rougies. Il a chaud, quelques gouttes ruissèlent le long de son front et il dénoue légèrement sa cravate. Du bout des orteils je masse ses couilles bien rondes moulées dans son pantalon, punaise que c'est bon ! Je glousse, j'ai même l'impression qu'elle est plus grosse que la première fois où je l'ai découverte. Je soulève doucement la nappe pour profiter d'un court instant où l'attention de tout le monde est reportée sur le serveur qui énumère la liste des vins.

Me voilà agenouillée sur le carrelage frais, mes mains se posent sur les cuisses du boss qui à mon contact sursaute en donnant un coup de genou dans la table. Son pied se repose au sol, il fait mine de rien, j'entends sa voix chaleureuse passer la commande des vins. Je soupire en pleine exaltation en posant mes doigts sur sa ceinture pour la défaire et m'attaquer à la braguette de Valentin.

Mes gestes ne le font pas fuir pour autant, j'ai tout son accord et ses cuisses s'ouvrent en grand sous la table pour m'inviter à poursuivre. Je sors sa verge énorme de son pantalon, à même la peau, je me mets à la branler et son gland perle déjà d'un grand filet de liquide séminal. Douce je suis quand je caresse ses testicules remplies, mes doigts les cajolent et apprécient leur volume.

Ma langue s'écrase le long de sa hampe, je lâche une grosse quantité de salive pour le lubrifier plus qu'il ne l'est déjà. Je gobe ses jumelles, portant mon attention à chacune alors que mon pouce titille son gland, sa bite sursaute dans de grandes saccades puis lentement je la porte à mes lèvres pour l'englober jusqu'à sa base. Mes allers retours sont accompagnés de ma langue, je le masse bien au fond de ma gorge sans réflexe nauséeux signe de mes nombreux entraînements et de mes nombreuses expériences en fellation. Le poing de Valentin se resserre sur son genou, ses abdos se soulèvent vivement pourtant le timbre de sa voix n'a pas changé lorsqu'il échange.

Je câline en tournant ma langue son gland, gonflé et rougit. Je le lape avec ardeur et lorsque je sens qu'il s'embrase trop, je le reprends en bouche sur toute sa longueur. Je ne me prive pas de le masturber avec vivacité, j'aime le rapprocher du gouffre, sentir la détresse et la tension envahir cette magnifique et grosse queue. Les joues creusées, mes succions sont intenses et rythmées, je ressens un plaisir immense à m'occuper de sa bite bien que j'aimerai mieux la prendre dans le fond, les picotements sont insupportables dans la région de mon pubis, j'ai envie d'être soulagée, d'être pilonnée sans ménagement.

Ma langue s'accélère autour de son gland, je ne néglige pas son frein, il lâche un râle au milieu de sa conversation avant d'ajouter un rire exagéré face à la réplique de sa secrétaire, Becka. Sa jouissance est toute proche, il se liquéfie alors je relâche tout doucement son membre et entreprends de le replacer dans son boxer sous le pantalon et de reboucler la ceinture et la braguette.

Je me relève de dessous la table, boucle d'oreille en main avec un air soulagé.

  • Je viens de retrouver ma boucle d'oreille ! Dis-je avec un air cruche. Je me sens rassurée, elles m'ont coûté une petite fortune celles-ci !

  • Nous sommes sauvés alors, s'amuse Valentin avec son large sourire qui dévoile des dents blanches. Mangez, ça va être froid.

  • Mon appétit commence à caler, j'ai déjà bien mangé Monsieur Giordano. Une bonne mise en bouche, cela aurait été dommage de ne pas en profiter, de ne pas la déguster. Cette viande est délicieuse, je n'en avais jamais goûté d'aussi bonne ! Mes papilles crépitent de plaisir !

Valentin boit mes paroles, j'ai ouvert son appétit et j'en suis fière.

  • Ma chère, ce n'est que le début d'un long repas pour vous faire goûter à tous les délices, dit-il sûre de lui. J'ai sélectionné le menu avec intérêt, pour satisfaire mes employés. C'est important de... Prendre soin d'eux.

  • Je trépigne d'impatience pour le dessert alors, la cerise sur le gâteau, le bouquet final ! Renchéris-je. Vous me mettez l'eau à la... A la bouche Monsieur Giordano. Je suis très friande de ces... Déjeuner d'affaires.

J'attends que le plat chaud soit débarrassé pour prextexter devoir m'absenter un moment. J'espère avoir le beau Valentin à mes trousses pour me voler un baiser voir plus que ça. Mes talons claquent sur le sol, je pousse les portes de la salle de réfectoire et ralentis les pas dans l'espoir d'être rattrapée. Je ressens une présence juste derrière moi, je marche doucement à moitié sereine.

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