Dans le silence profond de l’univers, il n’y a ni commencement ni fin, seulement un éternel balancier entre l’effondrement et la renaissance. Le Grand Rebond, cette danse infinie où le cosmos ploie sous le poids de son propre destin pour mieux se relever, fragile et résilient.

Chaque chute est une perte, un souffle qui s’éteint dans l’ombre glacée du vide. Pourtant, dans ce vide même, naît une promesse. Celle d’un retour, d’un nouveau souffle, d’une lumière douce qui perce l’obscurité. Le temps lui-même semble suspendu, prisonnier d’un cycle où la fin devient à la fois, la douleur d’un adieu et la douceur d’un nouveau départ.

Il n’y a pas de début, seulement un perpétuel recommencement. Une mélancolie douce-amère qui berce l’univers dans sa solitude infinie, un murmure qui rappelle que tout ce qui s’éteint, renaît, et que l’espoir, même minuscule, trouve toujours un chemin pour jaillir des cendres.

Aujourd’hui, plusieurs scientifiques développent et testent des modèles mathématiques pour expliquer l’origine et le destin de l’univers en dépassant les limites du modèle standard. Ils cherchent dans ce cycle éternel une réponse aux mystères du cosmos, animés par la quête infinie de comprendre ce souffle fragile qui fait vibrer l’univers.