Partie 4
Soudain, je reprends conscience de mon corps. Je panique très rapidement car celui-ci est dans un ciel sombre qui commence à s’éclaircir avec l’aube. Je ne distingue pas le sol, celui-ci est masqué par une épaisse fumée noire. Et plus je m’approche du sol, plus je distingue des taches rouge-oranger, et une chaleur insupportable finit par me toucher. Je sue à grosses gouttes avant de m’effondrer durement sur le sol d’une forêt enflammée, mourant rapidement, quand je repère des mouvements à douze heures. Je me retourne, me voyant courir avec ma sœur. Mon cœur se serre et je m’empresse de les rejoindre. Mais quand je les rejoins finalement, et que je m’élance sur ma petite sœur pour l’embrasser, je passe à travers elle comme si je n’étais qu’un être doté d’un esprit et d’une âme sans corps, comme un fantôme.
Alors j’entreprends ma course derrière elles, le cœur lourd. Quand nous arrivons à la crevasse, la « moi » de l’incendie se retourne pour vérifier où est Maïwenn, et je la vois, pour la seconde fois, coincée sous cette lourde branche enflammée qui a touché son mollet gauche. Encore légèrement touchée par les flammes, elle souffre le martyre. Alors que je tombe à ce moment dans le fossé, je m’approche d’elle et m’assois en lui tenant la main et lui soufflant de doux mots du corps entravé que j’utilise. Je sais qu’elle ne m’entend pas, car elle regarde partout, effrayée, en criant mon nom. Alors que les flammes commencent à lui lécher le bras droit, elle hurle maintenant de douleur, résistant pour rester consciente, quand soudain elle se stoppe, son attention portée sur une nouvelle menace venant de la forêt. Un souffle lent et le bruit d’écailles rampant sur le sol me fait frissonner. Je sais qui arrive et ce qui est arrivé à Maïwenn : celle-ci a aussi été traquée par Médusa. Alors, quand elle sort du rideau de feu et qu’elle voit ma pauvre sœur intoxiquée aux fumées, brûlée et sûrement victime d’autres blessures, elle fonce vers elle, pensant en faire un excellent casse-croûte. Alors elle la débarrasse facilement de l’imposante branche et l’attrape violemment avec un sourire plein de désir.
Quand elle attraper elle n’a pas hésiter a la passer pres des foyer de l’incendit parsement sont corps de brulure et de griffure en plantant ses griffes sur sont corps. Mais maiween se debat décider a vivre. Celle-ci tente de la mordre et de la frapper sans succès. Mais la donne change quand celle-ci s’empare d’une longue branche enflammer a prix de se bruler lourdement les mains, elle s’empare durement de sont arme malgré ses tremblement dut a la peur et a la douleur. Et elle plante l’arme dans sont torse pour crée une longue et profonde blessure en diagonale de 35 cm de longueur. Celle-ci la lache, s’effondrant suprisse par la douleur et la violance du coup porté sur elle.
Alors quand elle repère Maiwenn qui tente de s’enfuir elle rampe avec rage vers elle qui cours douloureusement. En voyant cette scene les larmes monte voyant l’horreur vécue par ma petite sœur.
Plus les minutes passes et plus tout est difficiles a obeserver je vomis de degout face, au danger qui l’approche sans personne pour elle. C’est alors qu’elle arrive a la riviere qui coule dans sont lit calme, la crue n’est pas encore arriver laissant donc une vague de paix dans se chao sans fin. Quand soudain une vague ennorme apparait. Prete a tout emporter sur sont chemin.
Medusa et Maïween tourne la tête en même temps voyant se déferlement de mère nature, en vers toute cette violence et envoie la vague les fouetter en pleins fouet. Medusa commence a partir vers la foret voulant échapper au eaux infernale. Alors que ma sœur elle se retrouve figer, alors quand la vague l’atteint elle se fait percuté, on voit que sont souffle se coupe, et que quelque une de ses cotes se casse, elle perd connaissances. Enrager Médusa crache sont gaz pour petrifier sa proie quelle a eu tant de mal de trouver. Avant de se faire emporter par les eaux elle aussi. Les minutes passe et les deux on disparut sous les flots emporter par le courant, alors les larmes coules ma sœurs et donc morte finalement noyer puis petrifier par un gaz stupide. Alors endeuiller pour de bon je me laisse tomber en attendant mon reveille rouler en boule dans cet enfer de feu et de monstre. Je m’endors entre deux larmes et la chaleur disparait petits a petits pour laisser place au froids, l’humidité de la caverne revient.

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