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Sans internet, quelques solutions s'offrent à moi : râler, travailler, lire un bon bouquin de papier ou écrire.
Travailler, ça me ferait chier, mais si j'ai pas de distractions liées au wifi, ça se fait. Un exemple tout con : je devrais faire ma philo mais je suis en train d'écrire ce putain de texte car je suis incapable de me gérer.
Râler, je m'en lasserai au bout d'un moment, et puis il faut dire que ce n'est pas le moyen optimal pour remplir du temps libre...
Bouquiner, je dis oui !! Faut juste que je trouve un bon livre et, comme je n'en ai pas chez moi à part des trucs du style Hunger Games que j'ai lu cinq ou six fois, il faudrait que je prenne mes pieds, ma carte de bibliothèque et que je parcoure six cent mètre aller-retour. Sauf si je suis courageuse et que je suis déterminée à continuer le pavé que j'ai commencé à lire en allemand. J'en ai tout de même avalé 230 pages cet été !
Bon, écrire sans l'onglet dictionnaire des synonymes ouvert, ça m'embête, mais ça se fait. Ecrire sans idée de défi sous les yeux, c'est continuer mon roman, ce qui serait une trèèèès bonne idée si je veux éviter le sur-place. Hum, hum. Comme si c'était pas déjà ça qu'il se passait...
Ou c'est alors trouver une idée de petite nouvelle comme j'en écris beaucoup. J'ai plein d'idées et pas assez de temps, alors ça me ferait rentabiliser, de passer ma journée à écrire plutôt qu'à me perdre sur internet. Ce que je pourrais remplir comme pages !
Sans surprise, mon choix se porte sur les deux dernières propositions. On se demande pourquoi !
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