Chapitre 2 - Trivial pursuit coquin à 4 - jeux de couple érotique

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La chambre 418

Arrivée devant la chambre 418, je la regarde face à face. Elle se jette sur mes lèvres pour y déposer un doux baiser et tape à la porte de sa main droite.

— Hé ! j'étais pas prêt ! essayais-je de dire !
— On ne le sera jamais ! allez, tiens-toi bien, me lance-t-elle autoritaire.
Les deux convives du repas nous ouvrent, et nous accordent un accueil chaleureux.
— Nous sommes très heureux que vous ayez fait le choix de venir ! Je suis Benjamin, et voici Angélique. Entrez et mettez-vous à l'aise. Dis Benjamin.

Leur chambre d'hôtel est similaire à la nôtre, à une nuance près, leur grande fenêtre donne sur la rue contrairement à nous qui donnait sur le lac.
Benjamin est toujours très élégant dans son jean et sa chemise blanche qui contraste avec sa peau bronzée, et je peux noter qu'Angélique à ajouté des bas à sa robe noire et un joli tour de cou noir en dentelle. Je n'ai jamais compris pourquoi un simple bout de tissu autour du cou pouvait à ce point exciter les hommes.
Lorsque mon regard descend, je peux voir qu'elle a choisi des talons vertigineux qui galbent ses mollets et dessinent une silhouette des plus voluptueuse. Je ne peux m'empêcher de la regarder avec une certaine gourmandise pendant quelques secondes. Benjamin et Angélique nous regardent également, surtout toi où l'on devine ses sous-vêtements à travers le mince tissu de sa robe pétillante.

Je serre la main à Benjamin et je fais la bise à Angélique. Un léger parfum d'agrumes vient s'immiscer dans mes narines, c'est rafraîchissant.

Après quelques échanges de courtoisie, Benjamin prend la parole :
— Je vous rassure c'est nouveau pour nous aussi, ne soyez pas intimidés et mettez-vous à l'aise !
— Souhaitez-vous un verre de vin blanc ? Nous avons mis de côté un sauternes Château d'Yquem bien frais ? propose Angélique.
— Avec plaisir, j'adore son goût si sucré ! répond Coraline avec entrain.
Nous nous asseyons sur le canapé autour de la table basse, et ils prennent deux fauteuils en face de nous.
— Le vin est délicieux ! dis-je en s'exclamant
— Merci, nous aimons beaucoup ce producteur, ajoute Benjamin.
Tout le monde se détend tranquillement. L'atmosphère est chargée d'une certaine tension sexuelle, les regards se croisent, on se surprend à observer le corps des autres. L'ambiance est bonne enfant et respectueuse.
J'apprécie comment l'homme regarde Coraline, et je ne peux m'empêcher de parcourir les courbes d'Angélique des yeux. Malheureusement ses jambes croisées m'empêchent d'en découvrir plus. Coraline remarque mon intérêt pour Angélique et se rapproche de moi pour m'embrasser. Une façon de marquer son territoire, j'imagine.
— Bon, dit Benjamin, je vous propose de commencer le jeu. Encore une fois, à tout moment, vous pouvez partir. Nous ne l'avons jamais essayé, et nous ne savons pas non plus de quoi il en retourne. Des amis nous l'ont conseillé. C'est un trivial poursuit pour adulte.
Benjamin lit :
— Pour gagner, vous devez remplir les 6 emplacements de votre camembert. Pour les remplir, vous devez répondre à la question ou à l'action demandée. Celui qui a fini en premier gagne. Il y a des cartes vertes, ce sont des questions de culture générale, des cartes orange avec des questions personnelles, et des cartes rouges qui sont des actions à réaliser. Il y a des cases spéciales dorées, si vous tombez dessus, une action collective sera demandée, si une personne ne la réalise pas, elle perd un triangle. Si c'est votre première partie, ne mélangez pas les paquets, ils sont faits pour avoir une expérience de jeu optimale.
— Ah, il y a aussi une règle facultative, mais intéressante pour donner du piment au jeu. Je cite : L'équipe perdante devra choisir 3 gages parmi 5 à réaliser dans la semaine.
— Qu'est-ce que c'est que cette règle ! s'étonna Angélique.
— Perso, j'aime bien, précisé-je. Qu'en penses-tu, Coraline ?
— Je.. je ne sais pas. Commençons déjà par voir si cela se passe bien.
— Ok, on verra plus tard pour la règle. Honneur aux dames et aux invités. Coraline à vous, ajoute Benjamin.

Tour 1 :

Le plateau est devant nous, 4 camemberts sont présents, vides. Pour mettre en confiance Coraline, je pose délicatement ma main sur sa cuisse. Elle n'est pas seule, je suis là.
Elle lance le dé et tombe sur une carte verte. Elle la retourne et lit à voix haute :
— Une question de minutes ! Quel est, selon vous, le temps moyen d'un rapport sexuel dans le monde ? 2,8 minutes, 5,4 minutes, 8,5 minutes, ou 12 minutes ?
— Hum, pas facile, je dirais... hum 5,4 minutes ?
— 5,4 min est la bonne réponse ! Bravo Coraline. Voilà ton triangle vert.
— C'est à Alex, ajoute Benjamin.
Je lance le dé, et je tombe sur une carte rouge.
— Approchez-vous de votre partenaire et embrassez-la de manière fougueuse et faites en sorte que vos langues soient visibles par les autres joueurs.
— C'est de la triche, c'est facile celle-là ! rouspète Angélique.
— C'est le jeu, ajoute Benjamin.
Je me tourne vers Coraline, glisse une main sur sa nuque et approche son visage vers le mien. Ma deuxième main se place sur sa cuisse avec fermeté par-dessus de sa robe rouge.
Elle ferme les yeux, et entrouvre la bouche, vulnérable. Je sais qu'elle apprécie ces mouvements fermes. J'arrive en contact avec ses lèvres, chaudes, humides et ma langue s'insinue entre elles. Nos langues se touchent et s'enroulent fougueusement. J'en rajoute un peu, ma langue sort, rentre de nouveau, je m'assure que nous soyons bien visibles. Me savoir observer me donne des ailes. Ma main remonte lentement sur sa cuisse, sa taille, et parvient sur son sein gauche.
Son excitation de la journée revient au galop, elle colle littéralement sa bouche sur la mienne en me pressant comme si elle voulait me dévorer. Je sens clairement son téton durcir dans la paume de ma main à travers le tissu. Elle pose une main sur ma cuisse, et remonte jusqu'à mon entrejambe rapidement. Elle caresse fermement ma queue déjà bien érigée dans mon pantalon.
Elle s'approche de la ceinture et va pour la défaire, mais elle s'arrête d'un coup, comme si elle se souvenait qu'on n'était pas seul. Elle ouvre les yeux :
— Hum... heu... désolé. Parviens-tu à dire.
— Désolé, on s'est laissé un peu emporté par le défi, dis-je.
— Y'a pas de mal, voici son triangle rouge ! ajouta Benjamin. À moi maintenant !
Benjamin lance le dé et tombe sur une carte dorée orange.
— Houla, ça à l'air spécial, dit Benjamin en tirant la carte orange dorée.
Histoire de sémantique : Chacun son tour, les joueurs doivent citer des mots cochons. Le premier qui est à court d'idées perd son dernier triangle.

On se regarde tous bizarrement, mais ok pourquoi pas. Benjamin commence avec un "défonce-moi", nous poursuivons avec plein de termes plus vulgaires les uns que les autres, mais nous nous prenons au jeu, et cela nous amuse beaucoup.
Nous avons droit à des : Prends-moi fort, bouffe-moi la chatte, baise-moi !, enfile-moi !, T'aimes ça hein !, pénètre-moi, allez plus-fort, tu la sens bien là !, ta bite est bonne, ma petite salope, oh oui va-sy à fond ! et une magnifique "tape dans le fond, je ne suis pas ta mère" de la part de Angélique qui choqua un peu tout le monde. Mais l'alcool aidant, nous sommes tous pris d'un fou rire.
Mine de rien, prononcer tous ces mots nous rappelle à tous des situations intimes et contribue à accroître notre excitation commune.
Finalement je suis à court d'idées et je perds mon triangle rouge.
— À moi ! À moi ! Annonce Angélique. Une carte rouge dorée. Oh mon dieu !
Mélimélo : Mettez-vous tous debout, les femmes doivent se faire face et les hommes se positionnent derrière en inversant les couples. Puis embrasser votre femme pendant 1 minute.

Nous nous levons, et nous nous mettons en position avec amusement. Je me place derrière Angélique, et Benjamin se place derrière Coraline. Pour pouvoir s'embrasser, nous devons nous rapprocher encore davantage. Benjamin commence à appuyer son corps contre celui de ma femme. Je fais de même avec Angélique, me positionne derrière elle, et relance rapidement un grossissement de mon entrejambes. Je ne vois pas comment elle pourrait ne pas le sentir malgré les vêtements. J'imagine qu'il en ait de même pour Coraline, j'imagine, le sexe de Benjamin prendre de l'ampleur entre des fesses, j'ai du mal à réfréner mes pensées érotiques.
À force de rapprochement, les femmes sont maintenant poitrine contre poitrine, et je parviens à atteindre la bouche de ma femme. Débute alors un long baiser empli de désir. Angélique ondule son bassin au rythme de leur énorme patin, stimulant mon pénis qui est maintenant au mieux de sa forme, toujours compressé contre son petit cul.
Je parviens à voir que Benjamin tente d'atteindre les seins d'Angélique, mais vous êtes tellement proches, qu'il a bien du mal à distinguer les siens de ceux de ma femme. Les baisers se poursuivent, personne n'a envie d'arrêter. Je me lance dans la bataille, on peine à savoir qui touche qui et j'adore cela. J'arrive à glisser une main sous la robe de Coraline et je rentre en contact avec son string à perle avec le bout de mes doigts. Sans difficulté, mes doigts glissent en dessous et je découvre alors une vulve mouillée comme jamais. Voir ma femme dans cet état me rend fou d'excitation. Je tente de caresser la zone quand soudain je suis mordu à la langue par Coraline !
— Driiiinng ! sonna le téléphone de Benjamin.
— Le défi est terminé, je crois qu'on peut dire que tout le monde a réussi, ajoute Benjamin.
— Pardon Alex pour ta langue... s'excusa Coraline.
Lors de notre séparation, je crois sentir la main d'Angélique effleurer mon sexe tendu à travers le pantalon. J'en ai la confirmation quand on la voit me faire un petit sourire coquin en allant s'asseoir.
Chacun de nous obtient un triangle. Coraline me regarde avec ses yeux brûlants de désir, mais malheureusement on doit s'arrêter là.

Tour 2 :

Coraline se passe une main dans les cheveux, je sais qu'elle fait cela quand elle veut se concentrer et prend la parole :
— À moi ! Case rouge ! Oh purée, j'ai peur.
Elle lit la carte d'une voie timorée :
— La statue d'immobilité : Mettez-vous debout, fermez les yeux et ne bougez pas pendant 2 minutes. Les autres joueurs doivent vous toucher délicatement pour tenter de vous déstabiliser à travers vos vêtements.
— Qu'est-ce que c'est que cette carte ! ajoute-t-elle !
— Coraline ce n'est pas si dur, tu dois juste te tenir immobile pendant deux minutes ! dis-je pour la mettre en confiance. Dans mon for intérieur, à ce moment-là, j'ai vraiment très envie qu'elle le fasse. J'ai très envie de la caresser !
Je la vois hésiter :
— Je... Bon après tout, c'est assez proche de ce que l'on vient de faire, et c'est à travers les vêtements, hein ! lance-t-elle timidement. Ok, allons-y !
Elle se lève, Benjamin met un bandeau noir sur ses yeux et elle place ses mains le long de son corps. Je ne peux m'empêcher de contempler le tableau, Coraline est debout dans une tenue au pouvoir érotogène extraordinaire, nous sommes trois à nous placer autour d'elle. Coraline est offerte comme dans mes rêves érotiques les plus inavouables.
Je suis le premier à poser mes mains, sur ses hanches tout d'abord puis je remonte doucement sur son ventre. Je m'aperçois alors de l'indécision de Benjamin et d'Angélique qui n'ose pas toucher.
— Ne soyez pas timide. C'est le jeu, rassuré-je ! Caressez-là !
Ma phrase a l'effet escompté, comme s'ils n'attendaient que mon approbation, Benjamin pose ses mains sur les épaules de Coraline. Délicatement, il entreprend un petit massage puis descend le long de ses bras nus.
— Si je puis me permettre, ta femme a la peau très douce, Alex.
— Je t'ai à l'œil Benjamin ! répond sa femme d'un air sournois.
— Merci, je crois répondis-je
— Tu vois que tu les mets mal à l'aise avec tes commentaires ! ajoute Angélique.
— Mais non, je t'assure, tout va bien, m'exclamé-je.
— Faites ce que vous avez à faire ! Vérifiez simplement que vous avez bien mis le timer ! s'exclame Coraline avec un certain amusement.
Je prends quelques instants pour observer Coraline, six mains s'affairent sur son corps, le bandeau l'empêche de savoir qui caresse quoi. Elle a la bouche légèrement ouverte, sa respiration s'accélère doucement. Je vois clairement ses seins dressés, j'adore décidément les robes moulantes, mais elle tient bon et ne bouge pas. Ce spectacle me met en ébullition et j'ai envie de la pousser dans ses retranchements, après tout, il faut qu'elle bouge !
Angélique caresse son visage tendrement comme une femme sait le faire, je lui laisse volontiers le haut, je m'attèle à caresser les jambes de Coraline. Des mollets jusqu'en haut des cuisses, de plus en plus haut. Plus je remonte haut et plus je la sens frémir à chaque passage.
Benjamin prend la place libre sur le ventre de ma femme et me regarde d'un air interrogateur. Je comprends ce qu'il veut, et je l'autorise d'un signe de tête. C'est avec le sourire et un air gourmand qu'il remonte alors ses mains sur sa poitrine. Je le vois surpris quand il passe sur la partie basse du soutien-gorge et qu'il découvre le contact pratiquement peau à peau avec tes tétons. Seul le fin tissu de sa robe sépare le contact de ses doigts. Je le vois souligner le contour des mamelons quelques instants. Je les sais si sensibles ! D'ailleurs, je vois le ventre de Coraline se contracter dans une expiration profonde.
Angélique dépose maintenant des baisers dans sa nuque, Benjamin malaxe tendrement sa poitrine, et mes mains remontent inexorablement jusqu'à son sexe. Son souffle est rapide et elle ferme les yeux, mais elle parvient à ne pas faillir sous toutes ces caresses !
Je suis trop excité pour m'arrêter, ma main arrive sur les petites perles de son string. Elles sont littéralement trempées. Son sexe est brûlant, je le sens gorgé de sang, palpitant, ouvert.
— Hé ce n'est pas du jeu qui me touche l'entrejambe ! s'offusque Coraline.
— Je ne vois pas quelle règle j'enfreins, ironisé-je. Il reste 30 secondes ! Tiens bon !
— Alex, tu es dans quel camp ?
— Dans le camp du plaisir, réponds-je en insérant un doigt lentement dans son antre.
Je sens son vagin se resserrer sur mon doigt. Le terrain est propice, très propice ! Elle laisse échapper un gémissement et commence à souffler bruyamment.
Angélique la regarde de face et pose un baiser sur ses lèvres entrouvertes. Je vois Coraline faire un petit recul de surprise, mais elle se laisse faire. Ce n'est qu'un baiser après tout. Je ne sais pas si elle a une idée de qui l'embrasse, mais j'imagine qu'elle est confuse. Si c'est moi qui l'embrasse, qui la masturbe ?
Benjamin quant à lui est passé à la vitesse supérieure et commence à rouler doucement les tétons de Coraline entre ses doigts experts. Je la sens trembler de partout, elle ne peut réprimer des frissons qui parcourent tout son corps. J'imagine le plaisir qu'elle ressent, j'imagine qu'elle ne cherche plus à réfléchir et qu'elle se laisse juste faire, qu'elle apprécie juste le moment présent. Et elle a bien raison.
Ses frissons me stimulent, j'ajoute l'index à mon majeur dans sa vulve accueillante et j'accélère mes va-et-vient. Mes deux derniers doigts glissent à chaque passage vers son périnée et finissent autour de sa corolle. Je la presse légèrement, je sais qu'elle aime cela même si on n'a jamais été plus loin. Mon pouce stimule ton clitoris, qui se retrouve régulièrement coincé avec les perles que j'ai simplement mises de côté.
Benjamin devient plus téméraire et tire ses tétons vers l'avant. C'est la goutte d'eau. Coraline se met à trembler de partout, je sens des contractions fortes de son vagin autour de mes doigts, signe que l'orgasme arrive.
— Ahhhhhhhhh oh putain ! Ça vient ! Continuez ! lâche t'elle sans retenue.
Mais avant de pouvoir poursuivre, elle flanche et tombe à genoux. Je me retire rapidement et je la retiens, et je la serre très fort dans mes bras le temps qu'elle retrouve ses esprits.
Benjamin et Angélique se retirent et nous laissent un peu de temps..
— J'ai perdu, je crois, bégaie Coraline gênée en enlevant le bandeau. Mais je dois bien l'avouer, c'était intense !... Tellement de contacts...
— Tout le plaisir était pour nous, ajoute Benjamin. Cependant, je trouve qu'Alex a triché en ne restant pas au-dessus du tissu, je trouve que tu mérites un triangle.
— J'y peux rien si le tissu de son string est très fin ! Tenté-je pour me défendre.
— Je suis d'accord avec Benjamin, tiens, voilà ton triangle Coraline acquiesce Angélique.
— Heu... Merci !
Coraline récupère son deuxième triangle, non sans fierté. Cela me fait bizarre de savoir que d'autres mains que les miennes ont touché mon épouse, mais quand je repense à son plaisir, j'ai bien du mal à le regretter. De plus, ils sont restés au-dessus des tissus, eux, pensé-je pour m'auto-persuader.

— Purée j'étais à deux doigts de jouir, me murmure-t-elle. Je vais avoir du mal à penser à autre chose maintenant ! Pourquoi tu n'as pas continué ?
— J'ai eu peur que tu tombes et que tu te fasses mal ! confessé-je.
Je connais bien ce sentiment, où le désir sexuel reste très fort et non assouvi. Moi aussi, j'aimerais tellement lui faire l'amour, là, tout de suite !
— Sans vouloir vous presser, à vous les amoureux ! lance Angélique avec un petit sourire.
— Ah oui, pardon, fais-je en lançant les dés. Case orange, une question donc. Quel est votre fantasme inavoué ?
— Simple et pourtant pas si facile de le dire hein ! s'amuse Angélique avec un clin d'œil.
— Coraline a joué le jeu, je vais donc le faire aussi. Ne me jugez pas, précisé-je.
— Sens-toi libre de parler. On a tous nos préférences en matière de sexe, m'encourage Benjamin.
— Merci. J'adore la lingerie et les attaches. Mon rêve sera de rentrer du travail et de voir ma femme attachée sur le lit, chaude comme la braise avec de la lingerie et des jouets. Offerte à moi, dans une confiance aveugle sur ce que je pourrais lui faire.

— Rien que d'en parler, cela te fait de l'effet. Ton érection reprend de plus belle ! déclare Coraline en regardant mon entre-jambes.
— Sérieusement, tu n'as jamais essayé d'attacher ta femme ? s'insurge Angélique.

— Il y a une grosse différence entre le faire ensemble et découvrir sa femme dans cette position si érotique. De sentir que son désir est fort pour nous faire plaisir ! corrigé-je.
— Je suis bien d'accord avec Alex. Allez à mon tour, dit Benjamin.
Une carte verte : Combien d'hommes souffrent d'éjaculation précoce ? (c'est-à-dire éjaculer en moins de 2 minutes après pénétration).
— Hum, je dirais 20 %, répond Benjamin. Cela ne doit pas être si courant non ?
Il tourne la carte et lit : 50 % des hommes souffrent au moins occasionnellement d'éjaculation précoce, et entre 10 % et 20 % en souffrent souvent.

— À ouais quand même ! Tu es bien avec moi, chérie, dit-il en se tournant vers Angélique.
— T'emballes pas trop, même si vous tenez 5 min, c'est toujours trop court pour une femme, n'est-ce pas Coraline ? dit-elle en lui faisant un clin d'œil. À moi maintenant ! Chaud devant !
Angélique lance les dés avec fougue et tombe sur une carte rouge dorée.
Dextérité buccale ! Un défi pour vous, mesdames, inversez les couples, et retirez le pantalon de l'homme en face de vous avec la bouche. Vous ne devez pas vous servir de vos mains. La première à réussir gagne le triangle.
— Cela n'a pas l'air si dur, dit Angélique. Allez c'est parti ! Messieurs, mettez-vous debout, jambes serrées.
Elle place alors un coussin devant chaque homme et invite Coraline à se placer devant Benjamin. Vous voir ainsi à genoux, devant nous, ne me laisse pas de marbre et mon érection ne tarde pas à revenir !
— Ben alors, on n'a pas commencé que je vois déjà une chose trop à l'étroit dans ce pantalon Alex ! Tu veux me compliquer la tâche c'est ça ? se moque Angélique.
— Je crois que j'ai le même problème ici, précise Coraline en regardant le relief caractéristique d'une queue bien raide qu'on devinait aisément à travers le jean.
— Au moins on est à égalité, prête à commencer Coraline ?
— Oui !
J'ai tout le loisir d'observer les deux lionnes, je ne reconnais plus ma femme. Elle se jette sur la ceinture de Benjamin, arrive à attraper la partie métallique pour le retirer du ceinturon. En tirant fort, la boucle se défait et la ceinture cède. Je suis content de voir que Coraline à un peu d'avance sur Angélique qui lutte encore sur ma ceinture.
Coraline s'attaque maintenant au bouton du jean avec ses dents, il cède facilement. Je la vois lutter maintenant avec la braguette, elle ne parvient pas à attraper le zip. Je me demande si elle ne fait pas exprès de rater pour pouvoir coller sa bouche au plus près de la verge de Benjamin !
Je suis un peu jaloux, mais je n'ai pas le loisir de m'attarder sur sa situation, Angélique attrape son retard et réussit à prendre le zip de mon pantalon De Fursac. D'un geste rapide et assuré, elle fait céder mon bouton et s'attaque à la braguette.
Cette vision est idyllique et hantera sûrement de nombreux rêves : deux femmes séduisantes, à genoux, en train de se frotter frénétiquement à nos entrejambes avec leur bouche. Même si nos boxers évitent tout contact, je peux sentir la respiration d'Angélique sur mon gland. Je croise le regard de Benjamin, il semble amusé et très satisfait de la situation.
Je descends mon regard en direction de Coraline qui semble très concentrée. Elle a effectivement réussi à ouvrir la braguette et à pu faire coulisser le pantalon aux cuisses de Benjamin. Ses yeux fixes sont entre jambes ???, comme stoppés dans le temps, elle fait face à cette verge aux allures impressionnante coincée dans ce boxer bleu.
Je la vois plonger sa tête sur la verge de Benjamin, collant son nez et sa bouche sur toute sa longueur, puis descendre pour finir le travail et faire tomber le jean de Benjamin aux chevilles.
Angélique a également réussi à faire glisser mon pantalon en tissu, c'est bien plus facile que le jean. Même si mon boxer me compresse toujours, je suis content de gagner un peu de liberté. Elle s'attarde quelques instants afin d'évaluer ma bête, puis se précipite pour finir le job.
Coraline lutte pour passer les genoux de Benjamin. Nous les aidons pour passer les pieds et c'est Angélique qui gagne.
— Gagné ! Trop facile ! dit Angélique, fière d'elle.

Coraline relève la tête et prend conscience qu'on est tous les deux en boxer avec une érection bien visible.
— Quand je vois nos hommes, je crois qu'on a gagné toutes les deux ! ajoute-t-elle en mordillant sa lèvre inférieure.
— En effet ! confirme Angélique. Restez comme ça, messieurs, c'est un ordre.
— Heu ok ! répond Benjamin n'osant pas contredire sa femme.
C'est ainsi que Benjamin et moi continuâmes la partie en boxer. J'ai bien conscience que nous glissons doucement vers un interdit, je ne pense pas que moi et Coraline soyons prêts pour de l'échangisme. Même ce mot-là m'effraie, je ne suis pas sûr de supporter de la voir se faire prendre par un autre homme.
Je me ressaisis, il n'est pas question d'arrêter maintenant, j'adore trop cette ambiance érotique, ce plaisir montant, ce n'est pas près de se reproduire après tout !
Pour le moment, tout va bien, nous gardons le contrôle, pensé-je. C'est juste un petit jeu entre adultes consentants. On teste juste nos limites et j'avoue que je prends un pied incroyable à voir ma femme aussi chaude et désirable. Avoir un public change tout !

Tour 3 :

Tout le monde se rassit. Les femmes sont très attentives sur nos entrejambes.
— Coraline ? À toi ! dis-je.
— Ah oui, pardon, j'étais perdue dans mes pensées !
Elle jette le dé, et tombe sur une carte dorée rouge.
Coup de chaud ! Tout le monde retire son vêtement principal.
— Wahoo, ça commence à devenir limite, dit Benjamin. J'ai pu sentir tout à l'heure que Coraline était seins nus et je peux comprendre que cela soit un problème. Encore une fois, libres à vous d'accepter ou non d'aller plus loin, on ne vous en voudra pas. Personnellement, je me suis concerté préalablement avec Angélique et la nudité fait partie des gages que nous acceptons.
J'aurais bien aimé savoir qu'elle était leur autre acceptation ! pensé-je. J'avoue que j'aurais dû en parler avec Coraline au préalable ! Personnellement, je suis sans filet, je prends juste les choses comme elles viennent.
— C'est ok pour moi, déclare Coraline avec assurance.
Je la regarde d'un air interrogateur. J'ai bien conscience que si elle retire sa robe, ses seins seront exhibés et son sexe sera clairement devinable sous la mince ficelle de perle. D'un autre côté, j'ai très envie de montrer le corps de ma femme à ses deux convives, ce n'est pas raisonnable, mais que voulez-vous, c'est difficile à expliquer. Comme un sentiment de fierté de montrer sa femme.
La confiance est installée, nous n'avons pas peur d'être jugés. Je me rassure en me disant qu'on peut partir à tout moment...
— Si madame est d'accord, alors je le suis aussi, ajouté-je d'un air surpris.
— Ne fais pas cette tête Alex, j'ai déjà bronzé seins nus, ce n'est pas si différent non ?
— Tu as raison. Qui commence ?
J'aime énormément voir Coraline aussi à l'aise quand elle sait ce qu'elle veut. C'est avec une envie indescriptible que je souhaite qu'elle retire sa robe devant nos hôtes !
— Les hommes d'abord ! répond Angélique avec entrain.
— Ok c'est fair, valide Benjamin.

Benjamin met un peu de musique entraînante et nous retirons nos chemises lentement et simultanément devant les yeux gourmands de ces dames. Nos torses se dévoilent petit à petit. Benjamin est plus musclé que moi, avec un beau bronzage. C'est rare de trouver un homme qui s'entretient aussi bien. Mais je ne suis pas complexé, sans être sculptés, mes muscles se devinent aisément et j'aime mon corps tel qu'il est.
On se retrouve en boxer tous les deux. Notre demi-molle est bien visible, mais cela n'a pas beaucoup d'importance à ce stade.
— Je vois que ça ramollit vite par ici, on va voir si on peut remédier à cela ! Regardez-moi, messieurs, lance Angélique en me fixant de ses yeux marron.
Elle se place alors au centre de nous et ondule son corps tout en le parcourant avec ses mains dans une chorégraphie sexy. Son déhanchement vaut le détour, ses positions suggestives aussi !
Ses mains arrivent maintenant à ses cuisses, elle remonte doucement sa petite robe noire, au rythme de la musique. Ses bas apparaissent alors et je peux distinguer les attaches d'un porte-jarretelle. Ce n'était donc pas des bas autofixants !
Tout en dansant, sa robe continue de monter. Je guette l'instant où son intimité sera dévoilée. À l'instant où elle devait être visible, elle se tourne et nous présente à ma grande surprise ses fesses nues, la robe étant au niveau du ventre.
Ses fesses sont magnifiques, bronzées, fermes et bien galbées. Avant que je prenne conscience qu'elle ne portait pas de culotte, elle saute soudainement pour se retrouver face à nous et c'est avec émerveillement que je peux enfin découvrir sa petite chatte lisse comme de la peau de pêche. Elle est toute luisante d'une mouille abondante. J'en reste bouche bée. Je vois que Coraline me regarde d'un air un peu jaloux, je suis un peu gêné, mais je ne suis qu'un homme...
Angélique continue à onduler, à tourner sur elle-même en remontant toujours plus haut sa robe pour dévoiler maintenant un porte-jarretelle noir autour d'un ventre musclé. Même Coraline la regarde avec une certaine ardeur, enivrée par cette soirée si atypique que nous passons ensemble.
Angélique se met face à moi au moment de passer sa poitrine, la robe semble lutter pour passer le relief. Elle joue avec moi et tente plusieurs fois de passer puis revient en arrière. Cette fois va être la bonne, je le sens, je vais bientôt les voir, c'est toujours un moment particulier pour un homme de voir une femme nue pour la première fois. Comme un plaisir primaire.
La robe passe enfin et sa lourde poitrine qui était tirée vers le haut retombe sous mes yeux ébahis. Je suis complètement hypnotisé par ce spectacle, ce n'est pas tous les jours que l'on peut voir en vrai un 90D sur une femme aussi belle. Elle continue de danser, ses seins libres se mouvant au rythme de ses mouvements. Ses mamelons larges, ses tétons dressés, évoquent en moi des pensées sulfureuses.
Comprenons bien, je ne suis pas jaloux, j'admire juste la beauté de cette femme. Le 85C de ma femme me suffit amplement, ce qui compte c'est avant tout la désirabilité de la femme. Son envie de plaire.
Angélique lance la robe sur moi et lève ses bras, ce qui remonte ses seins vers le haut. Je ne sais pas si les femmes se rendent compte de l'effet explosif que peut avoir cette position pour les hommes.
— Voilà, messieurs. C'est bon pour moi ! dit Angélique d'un ton coquin. Mission réussie, dit-elle en regardant mon entrejambe.

Effectivement mon sexe a bien grossi durant son show ! Heureusement, il en est de même pour Benjamin. J'ai bien l'impression qu'il aime beaucoup voir sa femme aussi enflammée devant des inconnus.
— À moi ! lance Coraline en affichant une expression revancharde.
Trois paires d'yeux se posent sur elle, Coraline se lève, toujours aussi belle dans sa robe rouge laissant apparaître des pans de sa peau. Elle danse à son tour sur le rythme de la musique et me fixe du regard qui voulait : regarde-moi, je peux faire aussi bien qu'elle.
Coraline commence à dénuder son épaule, laissant tomber la bretelle de la robe rouge sur son bras. La robe glisse délicatement, centimètre par centimètre vers le bas. Ses tétons clairement dressés retiennent la robe. Cela m'excite au plus haut point. Ma bite palpite dans mon boxer.
Coraline tire sur la robe dévoilant sa magnifique poitrine mise en valeur dans son redresse sein. Benjamin n'en rate pas une miette, voir ma femme ainsi exposée me met dans tous mes états. Coraline semble confiante et bien dans sa peau ce soir. Je ne l'ai jamais vue aussi désirable et aussi belle. Elle ondule, sa robe continue de descendre, dévoilant son ventre plat et la naissance de son mont Vénus.
Coraline se tourne vers Benjamin et fait tomber sa robe au sol. Son string à perle fait son effet, et Benjamin en reste bouche bée. Je peux constater que ma première impression était la bonne, il semble avoir une bite monstrueuse. Son boxer peine à la contenir.
Coraline me regarde maintenant, et semble satisfaite de voir deux verges dressées rien que pour elle. Elle prend la main d'Angélique qui est restée debout qui l'accepte. Elles se sont comprises et elles nous font une révérence.
Cette image restera gravée dans ma mémoire. Deux magnifiques femmes, nues, ou pratiquement nues, sur leurs hauts talons.
— Je n'ai pas de mot pour vous dire à quel point je vous trouve magnifiques, parviens-je à dire.
— Je confirme que vous êtes d'une beauté à couper le souffle, confirme Benjamin.
— Merci fit Angélique, cependant je crie à l'injustice ! Je crois que le jeu n'a pas prévu que vos lingeries soient si peu couvrantes ou inexistantes. Je propose que les hommes retirent leur sous-vêtement par souci d'équité !
— Mais grave ! lance Coraline que je ne reconnais plus.
— Oki dokki, vous l'aurez voulu, lance Benjamin en baissant d'un coup sec son boxer.
Ce qui eut pour effet immédiat de dévoiler une verge d'une grosseur et longueur imposante. Nom de Dieu qu'il est bien proportionné et gâté par la nature. Je dirais dans les 19 centimètres !
— Oh mon dieu, elle est énorme ! s'exclame Coraline sans pouvoir se retenir.
Elle a l'air aussi ébahie que lorsque j'ai pu découvrir la nudité de Angélique !
— Alex, à ton tour ! ordonne Angélique d'un air faussement autoritaire.
Sans un mot, je baisse mon boxer et mon membre jaillit littéralement de sa prison. Ma verge est certes plus petite que celle de Benjamin, mais reste très honorable. Je n'ai jamais, mais j'ai la particularité d'avoir une érection bien droite et bien dure et j'en retire une certaine fierté.
— Je n'ai jamais vu une bite aussi tendue ! Tu es sûre que cela va Alex ? lance Angélique d'un air gourmand.
— Oui j'ai toujours été comme cela ! C'est ainsi.

Coraline saute sur moi et m'embrasse en m'empoignant mon pénis. C'est un long baiser, plein de fougue. Après une bonne minute, Angélique prend la parole :
— Arrêtez les tourtereaux, ou cela va mal finir ! C'est à Alex de jouer !
— Désolée, je suis trop excitée, je n'ai pas pu me retenir. J'ai du mal à réfléchir, précise Coraline.
Je peux voir en cet instant qu'elle semble possédée par un désir immense. Elle semble être dans un état second et j'adore cela.
Tout le monde se rassoit, les hommes nus, et les femmes très légèrement vêtues. Angélique s'amuse à écarter ses jambes quand nos regards se croisent. C'est la première fois que je vois une autre femme que la mienne, nue et qui cherche à me plaire. Le tout sous le regard de ma femme, sans tromperie ou infidélité. Je suis très heureux de pouvoir partager tout cela avec Coraline. Mon sexe aussi au vu de la forme qu'il a. Il ne débande pas !
La situation est irréelle, si on m'avait dit cela 24 heures auparavant, je ne l'aurais jamais cru. Nous sommes quatre, assis, dans la tenue d'Adam et Eve, à jouer à un jeu de plateau. La tension sexuelle est palpable dans l'air...
Je me recentre et je jette le dé.
— Case rouge, encore ! dis-je.
Emprisonnement des mains : Posez votre deux mains sur la poitrine de la femme en face de vous. Si vous parvenez à maintenir le contact jusqu'au début du prochain tour, vous gagnez le triangle.
— Je crois que c'est le plus beau gage que j'ai jamais eu à faire ! précisé-je.
— Hé, je veux aussi ce gage ! râle gentiment Benjamin.
— C'est vraiment un gage, ça ! J'ai plutôt l'impression que c'est moi qui vais devoir subir ! Fait voir la carte, j'ai pas confiance ! objecte Angélique.
Je me lève et je m'approche d'Angélique qui en profite pour dévorer des yeux ma verge au garde-à-vous. Je lui donne la carte.
— Ok, il a raison. Soit. La carte a dit de poser, hein, pas tripoter ! dit Angélique d'un air moqueur.

Je regarde Coraline pour demander sa permission, je ne veux pas la blesser, elle hoche du menton pour m'y autoriser. Je me place derrière la chaise d'Angélique, debout, j'ai une vue superbe sur sa poitrine et ses jambes. Je peux maintenant mieux voir ce trésor caché, ses mamelons sont assez larges et sombres, les tétons sont sortis et bien visibles.
J'approche mes mains et j'englobe délicatement chacun de ses seins dans mes paumes. Je n'ai jamais touché des seins aussi gros, le contact est chaud et soyeux. Même si cela pourrait paraître similaire à ce que je pourrais sentir la poitrine de ma femme, cela reste différent.
Mes pouces se placent naturellement au-dessus de ces tétons, sans les toucher. La situation est ubuesque. Je touche les seins d'une autre femme ! Je ne peux réfréner mon désir et mon pouce commence à monter et descendre innocemment toujours plus proche de son téton. Le contact se fait, il est plus dur que je ne le pensais, signe soit d'une certaine excitation, soit qu'Angélique a froid.
— Ça va tout ce passe bien, Alex ? demande Angélique.
— Je passe un très bon moment, répondis-je, ironique.
— Allez, à moi de jouer, ajoute Benjamin. Une case orange :
Quel est le lieu qui vous fait le plus fantasmer pour faire l'amour ?
Hum, laissez-moi réfléchir. Je dirais dans un sauna. J'adore quand les corps transpirent et les femmes sont moites de transpiration !
— Comment cela LES femmes ? s'offusque Angélique.
— Quand MA femme est chaude et détendue, je voulais dire mon amour ! rectifie Benjamin.
— J'avoue que j'aimerais aussi ça ! dis-je.
— Bon à moi, répondit Angélique.

Elle se pencha soudainement en avant pour attraper les dés. Je fus surpris par sa force, mais je tiens bon, je ne voudrais pas perdre le pari ! Je renforce ma prise d'un mouvement rapide, ce qui a pour première conséquence d'écraser la poitrine d'Angélique entre mes mains. J'ai du mal à trouver les mots pour expliquer ce qu'un homme ressent quand il caresse, touche le moelleux d'une poitrine. C'est juste bon, terriblement bon.
Deuxième conséquence, son téton se retrouva écrasé entre mon pouce et mon index.
Angélique ne put s'empêcher de relâcher un gémissement audible, signe de son état d'excitation générale.
— Haannnn... Pardon, c'est que... non rien, bafouille Angélique.
Elle lance les dés comme si de rien n'était et tombe sur une case rouge.
— Alors je cite : Femme connectée : si vous êtes une femme, allez mettre dans un endroit à l'abri des regards, un stimulateur vaginal vibrant télécommandable. Puis laissez le téléphone, permettant le contrôle, sur la table à la disposition de tous. Ne jouissez pas avant votre prochain tour pour gagner un triangle.
Si vous êtes un homme, choisissez une femme et réalisez le défi sur elle.

— Rien que ça ! Je suis sûre que ce sont des mecs qui ont fait ce jeu.Benjamin lui apporte le LOVENSE Lush 2, connecté à son téléphone et un peu de lubrifiant avec un sourire au coin des lèvres. Je suis étonné qu'il ait tout à portée de main, mais il faut croire qu'ils étaient mieux préparés que nous !
— Tu crois vraiment que j'ai besoin de lubrifiant au vu de la situation actuelle ? Je suis à poil en talon haut, et il y a un homme nu qui n'est pas toi, qui me caresse les seins depuis 5 min.
— Et je ne caresse pas ! je raffermis ma position, nuance ! tentais-je.
— C'est ça. Ceci dit, ce n'est pas désagréable, hein ! ajoute Angélique. 

Bon, est-ce que cela vaut le coup que j'aille aux toilettes pour m'insérer l'objet ? Sachant qu'Alex va sûrement vouloir venir avec moi pour ne pas perdre son gage. Elle commence à écarter ses jambes, les grandes lèvres parfaitement épilées de son sexe s'entrouvrent également, laissant entrevoir son intimité ruisselante. Je suis aux premières loges pour assister à ce spectacle. Elle prend le Lovesens, et le fait glisser sur sa fente plusieurs fois. Ses yeux se ferment, un long souffle de plaisir s'évade de sa bouche entrouverte. Puis elle introduit l'objet en elle. Seul le petit fil rose est maintenant visible. Avec son téléphone, Benjamin met le vibromasseur en mode vague de niveau un sur les cinq possibles. La respiration d'Angélique devient plus forte, gonflant sa poitrine entre mes mains. Je ne peux m'empêcher de coincer ses tétons entre mes doigts aux rythmes de ses inspirations. Ses gémissements deviennent de plus en plus audibles et puis d'un coup, plus rien. Elle ouvre les yeux, elle reprend complètement le contrôle, malgré mon pelotage forcé :
— Fin du tour, je crois, dit Angélique comme si de rien n'était.
— Tout à fait, bravo pour ce self-contrôle ! dis-je en retirant mes mains avec regret.
— Voilà ton triangle, cela t'en fais quatre, début d'un nouveau tour avec Coraline, ajoute Benjamin.

À suivre, le dernier tour du jeu, et les nouveaux horizons pour le couple Alex & Coraline !
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Par Axel Maubuisson.

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