Moi et Corentin

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Voyez-vous, après ma première fois, ma vie a radicalement changé. Je ne pouvais pas passer plus d'une journée sans me masturber, j'étais littéralement devenue dépendante à cette sensation exquise qu'était le sexe, même si avec sa main ou un gode ce n'est pas du tout la même chose. Du coup et bien oui, je chauffais les mecs pour qu'ils me draguent et veuillent me baiser, même pour moi c'était étrange et bizarre venant de moi que je fasse ça, mais j'avais tellement envie de ressentir cette sensation.

Donc je suis arrivée au lycée, dés le premier jour je me suis mise à allumer les mecs. Faut dire je suis arrivée avec un jean moulant et un t-shirt avec un beau décolleté attirant l'œil de n'importe quel hétéro, ou lesbienne qui sait.

Je me suis rapidement faite des amies, étant à l'internat c'était plus facile, en plus ma coloc' de chambre était une vraie nympho, ce qui était drôle car c'était loin d'être la plus belle femme du monde, après je ne dis pas qu'elle était moche mais... Elle était énorme quoi, elle faisait facilement 100 kilos, mais putain elle avait de ces seins, ils étaient énormes, ils faisaient presque ma tête les machins. Et en plus elle adorait raconter en détail tous les mecs qu'elle s'était tapés et étonnamment, même si elle n'était pas dans le standard des belles femmes, elle en avait un joli nombre, plus d'une trentaine si mes souvenir sont bons et elle n'avait que 20 ans. Ah oui j'allais oublier de dire son prénom... Quelle idiote je suis, elle s'appelait Clémence.

Après quelques mois dans cette fac, j'ai rencontré un mec, grand, musclé, avec des cheveux bruns bouclés, rasé à blanc, avec des yeux noisette. Il s'appelait Corentin, c'était L'Adam du Lycée, toutes les filles voulaient sortir avec lui et il n'en était pas peu fier. Il sortait avec qui il avait envie et se tapait qui il avait envie aussi.

Avec moi ça s'est passé différemment. La première fois que je l'ai rencontré, j'étais avec Clémence et on parlait de trucs que j'ai oubliés, pas intéressants de toute façon et Corentin, s'étant déjà tapé Clémence, est venu nous voir.

- « Salut Clémence, comment ça va depuis la dernière fois, tu arrives encore à marcher ? » dit-il à Clémence d'une manière blagueuse et séductrice, faisant clairement comprendre qu'ils ont baisé et en plus en m'ignorant complètement.

- « Bien sûr, sans vouloir te complexer mais, j'ai déjà vu plus gros et surtout, plus violent, donc t'inquiète pas pour moi et mes jambes, d'accord mon chou. » Répliqua Clémence, n'étant pas intimidée du tout.

Perso je les regardais sans aucune idée derrière la tête, je me disais juste que c'était un autre mec qui l'avait baisée, c'était même devenu naturel de vivre ce genre de discussion.

- « Et elle c'est qui ? » Demanda Corentin, me regardant droit dans les yeux.

- « J'ai un prénom et c'est Cora. »

- « Cora ? C'est une abréviation ? »

- « Bravo Sherlock, mon vrai prénom c'est Coraline, mais je préfère qu'on m'appelle Cora. »

- « D'accord, enchanté Cora, moi c'est Corentin et permets-moi de te dire que tu es très belle et très séduisante. »

Beau parleur, mais pas très malin, essayer de draguer une fille juste après avoir dit à son amie qu'il l'a défoncée... Permettez-moi de dire que c'est complètement con, comme technique de drague.

Enfin bref, on a discuté quelques minutes et il m'a clairement fait comprendre qu'il aimerait bien coucher avec moi, mais je lui ai fait également clairement comprendre que c'était mort, même si je dois avouer que ce n'était pas l'envie qui m'en manquait. Mais il était trop sûr de lui et ça m'agaçait, je voulais le remettre à sa place. Et je l'ai fait.

Après la sonnerie a retenti et on est tous allés en cours.

Et c'est comme ça que Corentin a commencé à me draguer tous les jours. Sérieux, tous les jours, il venait me voir et commençait à me sortir son baratin pour essayer de me faire flancher et écarter les cuisses devant lui. Mais non, même si je n'étais pas indifférente face à ce qu'il me disait, je ne cédais pas, je ne voulais pas lui céder. J'étais curieuse de voir combien de temps il tiendrait, autant lui que moi d'ailleurs. Avec le temps, c'était presque devenu un petit jeu entre lui et moi, il n'y avait aucun sentiment, juste de la drague et du désir.

Mais même s'il me draguait, ça ne l'empêchait pas de coucher avec d'autres, comme moi d'ailleurs. Des fois juste pour le narguer, je draguais d'autres mecs sous son nez et je couchais avec eux juste pour lui faire comprendre que je n'étais pas une de ces greluches qui ne désirent que lui.

Car oui j'avais des rapports avec d'autres mecs, mais ça n'a jamais été super intéressant, puis ça durait pas très très longtemps, généralement ils jouissaient une fois, puis c'était fini, rien d'extraordinaire à raconter.

Ce petit jeu entre lui et moi a duré facilement un an.

Puis un jour, durant ma deuxième année, j'étais dans ma chambre avec Clémence, en train de mater un film de cul.

Car oui les mecs, nous aussi on regarde des films de cul, sauf qu'à la place de regarder les nibards de la fille, on regarde le mec et son pénis la pénétrer.

Donc on regardait un film de cul que j'avais chipé à mon frère. On était en plein milieu d'un moment où l'actrice se faisait prendre par trois mecs, soudain je reçois un sms de Corentin.

- « Bonsoir, que fais-tu ? »

- « Je suis dans ma chambre, on regarde un film avec Clémence et toi ? »

- « Je pensais à toi, à ta voix, ton corps, ce que je sais sur ton savoir-faire avec les mecs, ce genre de chose. »

Quand j'ai lu ce message ça m'a fait rire. Le mec est tellement en chien sur moi, qu'il a demandé aux mecs avec qui j'ai couché des détails. Morte de rire. Quand j'ai dit ça à Clémence, elle a également rigolé.

Puis on a continué de discuter.

- « Vraiment ? Et qu'est-ce qu'ils t'ont dit ? Et pourquoi tu pense à moi à une heure aussi tardive ? »

- « Que tu es insatiable, aucun d'entre eux n'a réussi à te faire kiffer et même si certains disent t'avoir fait jouir, je suis sûr qu'ils mentent. Et je pense très souvent à toi le soir, ça m'aide à me détendre. »

- « Effectivement ils mentent, je n'ai jamais joui avec un seul de ces crétins, j'ai toujours fini le travail à la main, après leur départ et ne me dit pas que tu te branles sur moi quand même, non parce que si c'est le cas, je te dis tout de suite, c'est mort pour que tu me baise. »

- Ça serait si déplaisant de savoir que je te désire tellement, que je pense à toi quand je me sens seul ? »

- « Disons que je trouve ça glauque, franchement, je préfère encore que tu le fasse en vrai que de te faire plaisir avec ta main en croyant que c'est moi, c'est vexant et très loin de la réalité. »

Ne soyez pas choqués par cette sincérité entre lui et moi, on a toujours parlé comme ça, même si ce soir là était bien différent. Regarder ce film me donnait grave envie et je venais d'apprendre qu'il se branlait sur moi, j'avoue que j'étais sur le point de céder à ses avances.

- « Effectivement, la sensation doit être dix-mille fois meilleure, si c'était toi qui remuait mon membre que ma main, mais ne t'ayant pas, je fais avec les moyens du bord. »

- « Ta qu'à appeler une de tes lèche-cul pour te vider les couilles et imagine que c'est moi ;) »

- « Non, c'est toi que je veux sur ma queue ce soir, pas une autre débile hystérique ou autre, juste toi. »

Son franc-parler prouvait qu'il était arrivé à bout, c'est la première fois, même par message, qu'il était aussi cash avec moi et j'avoue que je n'étais pas peu fière d'avoir tenu plus longtemps que lui.

- « Vraiment ? C'est vraiment moi que tu veux ? »

- « Oui, je te veux avec moi, ici et maintenant. »

- « Et pourquoi j'accepterais ? Tu sais que comme toi, je peux avoir n'importe quel mec dans mon pieu si je veux. »

- « Fais-le, mais ne te plaint pas de ne pas avoir d'orgasme, ou de ne pas sentir sa bite en toi, alors qu'avec moi, tu me supplierais de continuer, car elle te dilatera tellement que tu te sentiras remplie.»

- « XD, d'après Clémence tu n'es pas si bien membré que ça et elle sait de quoi elle parle. »

- « Tu veux une preuve peut-être ? »

J'avoue avoir hésité sur la réponse. D'un côté je voulais encore jouer avec lui et son désir pour moi, mais d'un autre, moi aussi j'en avais marre d'attendre et de repousser un bon moment de sexe.

- « Je t'en prie, essaye de me convaincre. »

Sérieusement, si je m'attendais à ce qu'il m'envoie en mms une photo de sa bite... Je n'aurais pas accepté, mais d'un côté, je me serais pas tapé un méga fou-rire avec Clémence, quand je l'ai reçue.

C'est bien les mecs ça, à envoyer leur bite par sms, croyant que ça va nous faire autre chose que rire. Vous, voir nos nibards en photo, ça vous fais bander, nous voir vos bites, ça nous fais marrer. Après j'avoue que vu la taille de l'engin, je n'étais pas indifférente. Et franchement, Clémence a menti, il est loin d'être à la moyenne, je dirais qu'il était un peu en dessus.

J'ai donc joué le jeu et j'ai pris en photo un de mes seins avec une mèche de cheveux dessus, juste de quoi cacher le plus convoité et je lui ai envoyé avec un petit mot.

- « Si tu veux les voir en vrai, viens les chercher ;) »

Après ça je n'ai eu aucune réponse pendant presque une heure. Avec Clémence on se demandait ce qu'il faisait, soit il a abandonné, ce qui nous aurait étonnées, soit il se branlait devant, ce qui nous faisait bien rire, soit il était en route et ça on avait du mal à le croire, mais ça nous semblait possible.

Après plus d'une heure, j'ai enfin reçu un sms, mais entre-temps Clémence s'était couchée, moi j'attendais une réponse, étant sûre que je n'arriverais pas à dormir sans ça.

Le sms disait :

- « Tu descends ou je monte ? »

J'en croyais pas mes yeux, je me suis levée et j'ai regardé par ma fenêtre, qui donnait sur la cour de l'internat et j'ai vu Corentin là, juste devant le portail avec son portable à la main.

- «T'es sérieux là ? XD T'es venu jusque ici, juste pour me baiser ? T'es pas sérieux ? »

- « Tu m'as demandé de venir les chercher et bien me voilà. »

- « À ce que je sache, ils ne sont toujours pas dans tes mains, je me trompe ? Pour moi, tu n'es toujours pas prêt pour m'avoir, bonne nuit. »

Dés qu'il a reçu ce message, il n'a même pas pris le temps de répondre, il mit son portable dans sa poche et grimpa par dessus le grillage.

J'en croyais pas mes yeux, il le faisait, il venait dans l'internat de la fac bravant l'interdit, juste pour moi. Je trouvais ça presque romanesque, si je ne savais pas que c'était uniquement pour mon cul, je serais tombée direct sous le charme.

Après qu'il soit passé par-dessus le grillage, il est arrivé devant la porte et je me demandais comment il allait rentrer, mais visiblement ça ne l'a pas arrêté, car quelques secondes plus tard, j'entendis du bruit dans mon couloir. Il savait à quel étage j'étais, il nous a déjà entendu en parler, mais il ignorait ma chambre.

J'avoue que quand je l'ai entendu dans le couloir, j'ai soudain ressenti une excitation incroyable, presque aussi forte que celle que j'avais ressentie ma première fois.

J'ouvrais ma porte doucement et sortis de ma chambre. Il était là, à l'entrée du couloir me fixant avec un sourire coquin et malicieux. Ne voulant pas faire de bruit, on a continué de se parler par sms.

- « Je suis là, tu veux que je vienne les saisir ici ? Dans ta chambre ou ailleurs ? »

- « Suis-moi. »

Après lui avoir répondu ça, j'enlevais mon t-shirt, n'ayant pas de soutien-gorge je me retrouvais les seins à l'air face à lui, mais avec l'obscurité, il ne pouvait que voir que j'étais nue, pas tout voir précisément.

Ensuite j'ai laissé tomber mon t-shirt et me suis mise à courir sur la pointe des pieds vers les toilettes du couloir. Étant pieds-nus je ne faisais pas de bruit en courant, encore moins sur la pointe des pieds, mais lui il était en baskets, même je crois que c'étaient des rangers, donc il fallait qu'il marche doucement pour ne pas que ça résonne.

En arrivant devant ma porte, il attrapa mon t-shirt et continua dans la direction ou j'étais partie et arriva dans les toilettes, mais elles étaient toutes fermées. Il y avait juste ma culotte posée sur la poignée d'une d'entre elles, il s'approcha de la poignée et prit ma culotte, puis ouvrit la porte.

C'étaient des toilettes pour handicapés, suffisamment grandes pour ne pas se sentir à l'étroit.

J'étais assise sur la cuvette, les jambes croisées, mon bras gauche sur ma poitrine, le regardant droit dans les yeux avec le sourire.

Il rentra et ferma la porte derrière lui, lâcha mes vêtements au sol et enleva son t-shirt en s'approchant de moi, mais je tendis une de mes jambe pour l'arrêter en faisant de petits bruits de refus avec ma bouche, puis je regardai son entrejambe. Il comprit et commença à enlever son pantalon, son caleçon avait une de ces bosses, je me demandais comment ça se faisait qu'il n'avait pas déjà craqué. Puis il enleva son caleçon, me montrant son gros sexe en érection rien que pour moi, il était tendu, dur comme un chêne et très épais, à se demander s'il n'était pas en vie, ses veines étaient apparentes. Je n'avais jamais vu ça en vrai.

Une fois nu il me regarda, je relevais la tête et écartais les jambes et en haussant les sourcils lui fit comprendre ce qu'il devait faire. Visiblement, c'était moi qui commandait, car il n'hésita pas une seconde et se mit à genoux devant mon intimité, posa ses mains sur l'intérieur de mes deux cuisses et commença à me lécher.

Et bon dieu qu'il savait y faire. À peine au premier mouvement de langue, j'ai poussé un gémissement qui a sûrement résonné dans tout le couloir, je mis donc ma main sur ma bouche pour m'empêcher de faire plus de bruit que j'en avais déjà fait. Faut dire que c'était très dur de ne pas gémir de plaisir, il avait beaucoup, beaucoup de dextérité avec sa langue et je sentais aussi sa frustration, qu'il avait accumulée avec le temps, il était devenu une vraie bête me bouffant littéralement la chatte, comme si c'était la dernière qu'il verrait de sa vie.

Je me tordais dans tous les sens, en essayant de ne pas faire de bruit, de ne pas tomber de la cuvette et de ne pas glisser, car avec la mouille et la sueur, la cuvette était trempée et très glissante. J'essayais de tenir dessus avec mes jambes, mais elles tremblaient tellement à cause du plaisir intense qu'il me procurait, que c'est limite si elles me déséquilibraient.

Après de longues minutes, j'étais sur le point de jouir, sentant que je risquais de crier, je me suis mise à mordre ma main le plus fort possible, ça venait, ça y était presque, ça... Ho putain ça y est.... Haaaa.

Et j'ai joui, joui tellement fort que je me suis cambrée en arrière, mordant tellement fort ma main que je suis allée jusqu'au sang pour ne pas crier sous le plaisir intense que cela m'avait procuré. Après avoir joui, je me suis décambrée et j'ai regardé Corentin qui se redressa, avec le sourire aux lèvres et de ma mouille plein le visage.

Mais visiblement, c'était lui qui commandait maintenant, car étant debout, face à moi, son membre tendu comme jamais, encore plus gros que tout à l'heure devant moi.

Je me mis à genoux en me laissant glisser sur la cuvette plus que trempée et attrapai son énorme sexe et sans attendre gobai le bout avec mes lèvres, ce qui le fit réagir. À mon avis, c'était un mélange de plaisir et de satisfaction, il devait sûrement se dire, « Ça y est, elle est à genoux en train de me sucer, depuis le temps que j'attends ça ».

Mais je suis joueuse et je retirai son gland de ma bouche et commençai à lui lécher le sexe de haut en bas tout en caressant ses boules.

Il me regardait, souriant et appréciant ce que je lui faisais et pour être franche avec vous, je kiffais aussi ce qui se passait. J'étais en train de sucer un mec dans les toilettes, dans l'internat, à l'étage des filles, en plein milieu de la nuit et en plus ce mec en question est celui que je nargue depuis plus d'un an. Franchement, je mouillais comme une folle rien qu'en pensant à ça, d'ailleurs pendant qu'une de mes mains lui caressait les testicules et que ma langue lui léchait le sexe, ma deuxième main elle, était entre mes jambes en train de me caresser sous l'excitation de tout cela.

Je sentais qu'il voulait absolument que je mette sa bite au fond de ma gorge. Il ne savait pas quoi faire de ses mains, il voulait les mettre sur ma tête et me forcer, mais ce n'était pas un tortionnaire et vu comme il avait galéré à m'avoir au bout de sa bite, il ne voulait pas tout gâcher, surtout pas maintenant. Cela m'amusait de le voir kiffer ce que je lui faisais, tout en étant frustré de ce que je ne faisais pas. J'avoue adorer avoir un homme sous mon emprise, pouvoir en faire ce que je veux. Mais à cet instant, il a eu beaucoup de chance, car moi aussi j'en avais marre de lécher et je voulais son énorme membre au fond de ma gorge.

Après l'avoir bien léché, je me mis face à lui et ouvris ma bouche au maximum, avant de le prendre en entier dans ma bouche d'un seul coup. Cette fois, c'est lui qui a poussé un gémissement qui a résonné dans tout l'étage et si je n'avais pas sa bite dans la bouche, je pense que j'aurais rigolé.

J'avoue qu'après cela je me suis complètement lâchée, déjà que je n'avais pas de limite, mais alors là, j'y suis allée à fond. Je peux vous dire qu'il n'a pas duré longtemps, avant de tout me cracher au fond de la gorge, j'y allais franchement, n'hésitant pas à retenir ma respiration durant de longues secondes, posant mes mains sur ses fesses pour l'enfoncer le plus profond possible. Et dés qu'il a éjaculé, j'ai enfoncé son sexe au fond de ma gorge pour tout avaler. Ses petits gémissements, quand il jouissait, étaient très mignons, comme s'il jouissait pour la première fois.

Après avoir tout avalé, j'ouvris la bouche en le regardant droit dans les yeux pour lui montrer, cela l'excita beaucoup et pour la première fois il posa ses mains sur ma poitrine et commença à les malaxer. J'avais presque envie de dire non, enfin, mais l'ambiance était trop excitante. On ne disait rien, il fallait rester silencieux et cela m'excitait à mort. Il me caressa, lécha, suça les seins pendant quelques minutes, ce qui ne me déplaisait pas, car pendant ce temps, je le branlais avec mes mains. Mais après une de ses mains descendit jusqu'à mon entrejambe et il me mit un doigt directement. Ne m'y attendant pas, je poussais un petit gémissement de surprise, qui, à mon avis, n'a pas dû résonner autre part que dans les toilettes. Il commença à me doigter avec un seul doigt pour commencer, tout en continuant de me malaxer et lécher les seins. Je l'enlaçai et posai ma tête sur son épaule, autant par excitation, que pour tenir debout sous les sensations procurées par ses doigts experts.

Dés qu'il enfonça un deuxième doigt, j'ai réussi de justesse à retenir un cri qui aurait sûrement réveillé certaines personnes dans le couloir, mais en me retenant de crier, je perdis l'équilibre et je suis tombée sur la cuvette des toilettes. Corentin ne fut pas surpris, au contraire, je pense qu'il prenait un malin plaisir, car à l'instant où je suis tombée, il a accéléré le rythme, m'obligeant à mettre une main devant la bouche pour ne pas faire de bruit. C'était sa vengeance pour l'avoir torturé avec la fellation.

Mais visiblement il était dans le même état que moi, car à peine quelques secondes après ma chute, il retira ses doigts et approcha son sexe du mien. Sans réfléchir à mettre de capote, il commença à me pénétrer. On se regardait droit dans les yeux, l'attrapant par la nuque d'une main et de l'autre me tenant à la cuvette, j'étais prête à encaisser sa bite en moi.

Et vu comme je mouillais à mort, il n'eut aucune difficulté à rentrer entièrement dés le premier coup de rein. Par contre moi, s'il n'avait pas mis sa main sur ma bouche, je pense que j'aurais poussé un sacré cri de plaisir. Sa bite était colossale et brûlante, j'avais l'impression que mes entrailles brulaient littéralement et que je venais de m'enfoncer un tronc d'arbre dans le vagin. C'était tellement bon et encore il n'avait pas encore commencé de bouger et quand il commença... Ho mon dieu, il a bien fait de garder sa main sur ma bouche, car je pense que j'aurais réveillé le quartier entier avec les cris que j'aurais poussés ! Il me pénétrait doucement mais puissamment, tellement que je sautais presque de la cuvette à chaque à-coup et mon dieu que c'était bon.

Il accélérait quand il voyait que je réagissais moins, il ralentissait quand je commençais à faire trop de bruit, puis on a changé de position. Je me suis mise debout, face aux WC, puis je me suis penchée en écartant les jambes, puis il l'a remise en moi. Cette fois c'était moi qui avais une main sur ma bouche, lui ses mains étaient soit sur mes fesses, soit sur mes seins.

J'ignore combien de temps on l'a fait, mais c'était comme un moment suspendu dans le temps, il n'y avait que lui et moi, nos désirs et nos sensations.

Après la levrette, je la remis dans ma bouche et l'enfonçai le plus profondément possible. Je n'en avais pas avalée de si grosse auparavant, j'ai eu du mal à la mettre en entier dedans ma bouche. Elle m'étouffait et me faisait faire du bruit, trop pour que je me permette de continuer.

Sentant qu'il risquait de m'éjaculer dans la bouche, il se retira pour retarder cela, mais je l'avais senti, les palpitations de son sexe, une chaleur arrivant, je le voulais, son jus, je le voulais sur moi et dans ma bouche. Du coup je l'ai saisi et l'ai branlé aussi fort que je pouvais, tout en léchant le bout. Il arrivait, ses petits bruits étouffés et ses légers dandinements du bassin le prouvaient. Et quand il a éjaculé, Bon dieu, je n'avais jamais vu autant de sperme sortir du sexe d'un mec. Il m'en a mis de partout, dans la bouche, sur le visage, même dans mes cheveux.

Il avait tellement joui fort, qu'il eut besoin de s'asseoir après, sous la fatigue de notre rapport. J'en profitais pour lui nettoyer le membre avec ma langue et ma bouche, en ayant toujours son sperme sur le visage. Mais j'en voulais encore moi, du coup je me doigtais en même temps que je le suçais. J'étais tellement proche de l'orgasme, qu'il ne m'a fallu qu'une petite minute pour jouir sur le sol.

Mon corps tremblait entièrement sous la puissance de mon éjaculation. J'avalais une dernière fois son sexe en entier, puis le retira doucement avant de me lever et de le regarder droit dans les yeux en souriant.

Il était là, assis sur la cuvette entièrement nu, son gros sexe encore dur tendu vers le plafond. J'en voulais encore et visiblement lui aussi, donc je me suis rapprochée de lui et me suis assise sur lui, m'enfonçant sa grosse queue en moi et je l'ai chevauché, comme si j'étais dans un rodéo. Il posa ses mains sur mes fesses et accompagna mes mouvements de hanche.

Puis quand on s'approchait de l'orgasme, qui ne mit pas beaucoup de temps à venir, sous cette chaleur et cette excitation, il me plaqua contre lui et prit les choses en main, il se mit donc à bouger ses hanches pour me pénétrer rapidement et puissamment.

Après qu'il m'a plaquée contre lui, je m'accrochais à lui d'une main et mis ma deuxième sur mes fesses.

Visiblement il voulait jouir en moi, car je le sentais s'approcher de l'orgasme, mais il ne ralentit pas le moins du monde et je vous avoue que j'en avais également envie et puis... C'était un jour sans risque, donc pourquoi pas se lâcher un peu.

Et quand il a éjaculé en moi, sous la chaleur et la puissance de ceci, cela me fit jouir également.

Nos deux corps tremblaient sous la puissance de nos orgasmes et de cette excitation, trempés de sueur.

Après ça je me suis relevée et l'ai regardé en souriant, d'un sourire coquin et satisfait.

- « On dirait que tu as enfin eu ce que tu voulais. » Lui dis-je en chuchotant.

Il ne me répondit pas, juste un hochement de tête avec un sourire, qui voulait tout dire. Après quelques secondes, il se releva, s'approcha de ses vêtements et commença à se rhabiller. On savait l'un comme l'autre que ce n'était que du sexe et qu'il n'y aurait jamais rien d'autre derrière, c'est pour ça qu'on ne s'est pas embrassés une seule fois.

Une fois habillé, il s'approcha de moi, encore entièrement nue, en train d'enlever le sperme de mes cheveux tant bien que mal.

Il posa une de ses mains sur mes fesses et l'autre sur mon sein et me dit :

- « Les reverrais-je un jour ? » Chuchotant et d'une manière séductrice.

- « Hummm, peut-être, mais pas ici. » Lui répondis-je en lui faisant un clin d'œil.

Après ce magnifique moment, il est parti et il est rentré chez lui, moi je me suis nettoyé le visage et les cheveux, avant de retourner dans ma chambre et de m'endormir directement sous la fatigue.

Le lendemain, dés que Clémence m'a vue, elle a deviné directement qu'on avait baisé avec Corentin. Elle disait que ça se voyait et elle ne mentait pas. J'avais encore certaines mèches de cheveux collées sur mon front ou entre elles, à cause du sperme. J'ai donc rapidement pris une douche, pour que personne d'autre ne le voie.

Après ma vie a repris son cours normal, sauf qu'avec Corentin on était bien plus taquins qu'avant. On n'hésitait pas à poser une main entre les jambes de l'autre de manière à le déstabiliser et puis, j'avoue que même si j'avais dit qu'on ne le referait plus dans les toilettes de l'internat... Et bien... On l'a quand même refait une ou deux fois j'avoue. C'était tellement excitant, mais sinon les autres fois où on l'a fait, on était chez lui, ayant un appart à lui tout seul, on pouvait crier et gémir aussi fort qu'on le voulait sans problème. Car Ho oui, mon dieu qu'il me faisait crier cet enfoiré, il a très rapidement trouvé mes points faibles et les exploitait sans aucune pitié, même s'il a toujours joui avant moi, sauf quand il me faisait un cunnilingus, mais ça compte pas ça...

Évidemment mes parents apprirent, je ne sais pas trop comment, que je trainais avec un mec et leur dire que je n'étais pas amoureuse ni en couple ne faisait que renforcer leur idée, même si mon frère ne me taquinait pas là dessus. Il avait plutôt l'air même jaloux de Corentin, car il est loin d'être con, il savait qu'on était que des plans cul lui et moi.

Mais il ne m'a pas beaucoup parlé durant mes années de fac, je me demandais bien pourquoi d'ailleurs. Je savais qu'il avait des problèmes, qu'il ne trouvait pas de boulot dans l'audiovisuel pornographique, mais je ne comprenais pas pourquoi c'était moi qui ramassais les pots cassés.

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