Les petites souris de mon cœur, arrachées sans pitié. Pour les autres, des nuisibles à éliminer. Mais pour moi, c'étaient des êtres aimants et charmants, doux et amoureux. Les retrouver dans un état de désespoir, affamés et assoiffés, dévorant les uns les autres... Cette cruauté me hante encore, laissant des cicatrices profondes dans mon âme. Alors, j'ai dessiné une souris-zombie, symbole de leur perte et du vide qu'elles ont laissé dans ma poitrine, un rappel constant de la douleur qui me poursuit. Que l’humanité ne devrais que disparaitre.