Walking nours
Moi a mon bisounours, je lui fait des bisous. Des bisous partout, sur le nez dans le cou...
comme chaque matin au réveil, Grosbisou chante la chanson des bisournours. Il rejoint ensuite ses amis pour le petit déjeuner. Une journée bien calme s'annonce. Grosbisou se penche par dessus son nuage blanc, il observe le bonheur des humains. Absorbe par la vie tranquille d'un petit lapin blanc, Grobisou tombe dans le vide. La chute durent longtemps, le choc avec le sol est d'une telle violence que Grobisou perd connaissance.
A son réveille, Grobisou se sent complètement deboussole.la nuit est tombée depuis bien longtemps déjà, la rue semble vide. Un sentiment nouveau s'installe au fond de Grobisou, l'insécurité. Il perçoit des bruits de pas. Le sourire aux lèvres, il se dirige vers ces personnes qui l'accueilleront les bras ouverts et plein d'amour. Plus il s'approche, plus les gens lui paraisse étrange. Le regard vide, la bave aux lèvres, la démarche laborieuse. Il se dit qu'ils ont besoin d'une bonne dose d'amour. Il met son ventre en avant et de la forme de cœur dessine dessus sort un rayon d'amour. Non seulement cela n'as aucun effet sur les individus, mais ils s'approche de façon dangereuse. L'un d'eux dont la peau est tombée depuis bien longtemps, essaye d'attraper Grobisou. Un coup de feu retenti, la tête de l'agresseur vole en éclat, projetant du sang partout. Quatre hommes arrive en courant et décapitent les monstres. L'un deux se tourne vers Grosbisou.
Tu cherches à te faire tuer ?
Je voulais leur donner de l'amour.
On n'est pas au pays des Bisounours ici ! Réveille toi nous sommes en enfer.
Je ne comprends pas c'est quoi l'enfer ? Où se trouve les gens heureux ?
Il est pire que l'autre celui là, je regrette ce docteur boiteux qui se prenait pour le centre du monde. Allez suis nous, on t'expliquera tout en chemin. Pourquoi faut il que tout le monde vienne dans notre univers, on peut pas se retrouver dans le leur un peu ?
Le groupe pénètre dans une prison, ils se présentent à Grobisou. l'homme qui à tirer sur le mort vivant se nomme Rick quand à celui qui à lever la voix c'est Glenn. Il lui explique ensuite qu'une faille c'est former entre chaque film, série, dessins animées et que les personnages principaux se retrouve sans aucune raison dans un univers qui n'est pas le leur. Personne ne sait comment s'en sortir, tout ceux qui ont atterri dans ce monde de zombis n'ont pas vécus assez longtemps pour retourner chez eux. Ils essayent de le convaincre d'apprendre à se battre pour avoir une chance de vivre. Grosbisou paniqué se met à pleurer. Le jeune Carl, fils de Rick déclare qu'il n'y a rien à faire et qu'il vaut mieux le tuer tout de suite. Grosbisou bombe le torse et envois un rayon d'amour à toutes l'équipe. De survivant sans pitié, ils passent tous en être plein de compassion. Les morts vivants finissent par entrer dans la prison, ils dévorent plusieurs personnes trop amourachés pour se battre. Les courent sans trop réfléchir, ils se retrouvent sur le toit, la horde de zombis s'approchant de plus en plus et eux reculant lentement. Ils sont sur le bord du toit, ils n'ont plus aucune alternative, Rick et son fils ainsi que Glenn et Grosbisou se jettent dans le vide. La chute est longue. Ils heurtent violemment le sol. Quand ils reprennent connaissance, ils sont déboussolés. Au lieu du bitume, ils sont sur de l'herbe fraiche, au loin, ils perçoivent une petite maison tout en bois. Glenn regarde les autres tout affolé et déclare
C'est encore pire que chez nous, nous sommes dans "la petite maison dans la prairie"
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