A Tokio
POUR DES RAISONS DE COH2RENCE CETTE HISTOIRE SE PASSE IL YA 50 ANS
La rencontre avec Freddy
Bonjour, je m'appelle Mabolala et j'ai 27ans. Je suis seule et desséchée. Je vais vous laisser avec la stupide Lienli que j'étais. Je m’appelais comme ça avant... Elle n'a encore rien vu de ce qu'est la souffrance.
Bonjour je m'appelle Lienli et j'ai 14 ans. Je vis avec mon père et ma mère. Mon père travaille dans une station d'essence où il vend du lait périmé, ma mère, elle, court en ville toute la journée pour jouer à des jeux d'argents.
Je suis en train de renter de l’école quand soudain je vis un poisson, un poisson?! Là par terre dans la rue, devant moi?! Beaucoup de questions tourbillonnaient dans ma tête. Perplexe, je continuais mon chemin sans regarder devant moi. Par mégarde, je cognai une vieille dame: «Eh oh fais attention où tu vas jeune fille» me lança-t-elle. Au moment où j’allais me retourner pour m'excuser, je tournai la tête et je vis la dame entourée d'une lueur violette. La dame s'était transformée en sorcière, sans m'excuser je pris mes jambes à mon cou et couru le plus rapidement possible en direction de chez moi.
Arrivée chez moi, je fermais la porte et m’assis contre en criant: « mais qu'est ce qui ne tourne pas rond chez moi ?!». J'avais très peur. Après avoir vidé toute l'eau de mon corps, je me ressaisi, la bibliothèque était ouverte ; si j'y allais maintenant, ça m’éviterait de croiser mes parents, et en plus j'y trouverais peut-être un livre sur les hallucinations. Je me mis en route. Arrivée là-bas je comptais bien me dépêcher, j’avais tout simplement envie d’être seule. J'aperçu des filles de ma classe. Je ne comptais pas aller leur parler car je ne les aimais vraiment pas. Je ne m'entends avec personne au collège. J'ai la plus part du temps des surnoms comme: La solitaire, la bizarre, la sorcière ou encore la psychopathe.
Oh et puis zut, je ne trouvais rien, je rentrai chez moi. Chez moi je savais quoi faire pour obtenir un livre sur les hallucinations. En entrant dans le salon, ma mère était en train de compter son argent et mon père lisait un journal.
-Isabelle, papa (ma mère refuse que je l'appelle maman car ça fait selon elle trop «maternel»).
-Que veux tu création du mal dis ma mère en ne levant pas les yeux de son argent.
-Venir avec vous à la brocante du samedi de demain.
-bien mais sache que tu ne seras qu'un poids lourd pour moi et ton père.
Les commentaires désagréables de ma mère ne me font même plus rien. J'y suis tellement habituée. Nous arrivons rapidement au lendemain, j'ai eu beaucoup d'hallucinations la nuit précédente.
-Bon aller tu viens dis mon père?
-heu oui toute suite.
Je grimpe dans la voiture et nous partons. La brocante est réputée et est connu car elle est très grande et c'est pour ça qu'on y reste une après-midi. On passa devant des tas de personnes vendant des choses tout à fait différentes un criait: «achetez mon livre achetez le il a réponse à tout!»
Bahaha un livre ayant réponse à tout? Et puis quoi encore. Le monsieur ayant remarqué que je me moquais de lui me foudroya du regard. Hélas nous avions finit la brocante et je n'ai rien trouvé. Nous rentrons à la maison. Dans la voiture ma mère me dit :
-tu vois ça n'as servi à rien que tu viennes. Tu aurais pu rester étudier à la maison. Etudier je pense que ça pourrait t'aider vu ton manque d'intelligence haha.
Mon père se contenta d'acquiescer par un petit rire et moi je me contentai de lever les yeux au ciel. Arrivée chez moi, je monte dans ma chambre et ouvre mon sac pour y sortir mon téléphone. Quand soudain, j'y vis le livre du monsieur. « Quoi mais je ne l’ai pas acheté » m'exclamais-je! Par curiosité je l'ouvris, avant même que je ne puisse lire un seul mot un petit bonhomme ou devrais-je plutôt dire lutin en sortit.
-Ehh que fais-tu ici petit monstre
-Je m'appelle Freddy dit ce petit lutin verre enjoué
-sors de ma chambre immédiatement ! Criais-je
-Hélas c'est trop tard une fois que je suis devant toi tu ne peux plus me tuer ou me faire partir. Je te donnerai souvent des petits conseils.
Cela me faisait trop d'informations à ingurgiter je suis donc partie me coucher. Le lendemain nous étions dimanche et Freddy me réveille de bonne heure. J'avais envie de lui envoyer mon coussin sur la tête, mais il avait préparé des cookies, il s'assoit sur mon lit et me fait goûter ces petites pâtisseries qui étaient réellement délicieuses. Je le remercie et nous discutons:
-Je suis tout à fait perdue, comment a tu pu sortir de ce livre comme ça par magie ?
-Je suis plein de surprise Lienli (il me sourit)
Finalement, il ne parait pas si méchant ; nous avons passé la journée à rigoler et parler, un moment dans l’après-midi, la mère de Lienli passa devant sa chambre et l'entendit parler toute seule (car pour le moment Lienli ne le sait pas mais personne ne voit ni n'entend Freddy sauf Lienli). Elle prit en vidéo sa fille parler toute seule, Lienli, étant plongée dans la conversation n'entend pas sa mère qui la filme. Le lendemain matin Lienli prit vite un cookie de la veille et prit Freddy sur son épaule. Ils arrivent devant l'école.
- Cache toi non? Tout le monde va te voir
-Ne t’inquiète pas, personne ne peut me voir, sauf toi hehe
Je lui fait des grand yeux avant de rentrer dans l'enceinte de l’école et évidemment en rentrant en classe ma prof dit: « prenez une feuille du collège c'est interro, j'espère que vous avez correctement révisé ». Oh non ce que je suis bête avec tout ça j'ai complètement oublié de réviser mais durant l'interro Freddy m'a soufflé toutes les réponses. Il a réussi aller sur le bureau de la professeur pour voir les réponses, il est vachement pratique le Freddy.
Un hopital psychiatrique
Soudain l’éducateur entre en classe et dit : « Lienli je peux te voir? ». Moi mais mais de règle général je suis très sage et je ne fais rien, tremblante je le suis jusqu'à son bureau où il me montre l'enregistrement de ma mère où je parle toute seule, il me dit: « tu vas dans un hôpital psychiatrique je t’y conduis, elle t’a laissé une lettre que je te donnerai dans la voiture. En attendant vas dire au revoir à ta classe. Je me dirige vers ma classe les yeux larmoyants. Arrivée dans la classe, je me mets sur l'estrade et dit: « pour des raison personnelles je dois quitter l’école pour aller dans un hôpital psychiatrique ». Un blanc s'installe alors, puis une élève populaire crie alors dans toute la classe : « Je comprends tout, tu es une grosse folle tu étais à la bibliothèque vendredi soir. Je l'ai vuE dans le rayon problème psychologique. »
- Je savais que t’étais bizarre, mais à ce point? Me lance le petit ami de cette fille.
- Non mais attendez dis-je, les larmes coulant sur mes joues.
- Je pense qu'on en a assez entendu dit alors la prof,
L’éducateur t'attend dans sa voiture Lienli. J'arrive proche de la voiture de l’éducateur qui me remet alors la lettre que ma mère a fait pour moi. Je m’installe dans la voiture et l'ouvre, je ne savais pas trop à quoi m'attendre.
salut chéri,
je suis la plus forte et je suis une véritable génie, j’ai réussir à me débarrasser de toi c’était si dur, mais j'ai trouvé la solution qui tue. Plus d’enfant à nourrir et même quelqu'un qui va te conduire dans ton nouveau chez toi ne t'en fais pas j'ai déjà donner tes habits à ton éducateur.
Au revoir.
Je m'attendais à pire de sa part mais j'ai quand même une larme de déception qui coule sur ma joue. Freddy, la voyant, l'essuie avec sa manche verte fluo, et me réconforte. Ca m'as fait chaud au cœur. On arrive là-bas.
-Désolé Lienli j'ai du travail, par conséquent je ne pourrai pas t'aider à t'installer, tu rentres par l'entrée qui se trouve devant toi, me dit-il en pointant la porte du doigt. Je soupire et m'en vais sans broncher. A l’intérieur, à l'entrée du bâtiment, une jeune dame, avec un corps légèrement enveloppé, m'attendait avec un large sourire.
-Tu dois-être Lienli n'est-ce pas ?
-heu oui c'est ça.
-Bien, donne-moi ta valise, je vais la déposer dans ta chambre, vas manger, tu es déjà en retard! Me dit-elle en souriant.
Je suis arrivée rapidement dans une grande salle avec plusieurs tables collées pour n'en former qu'une. Il y avait une dame distribuant de l'eau des plateaux avec des petit pois du riz et des petits poissons congelés, très banal. Je vais chercher mon plateau et me mis à la seule table qu'il y avait. Elle était longue. Devant moi se trouvait un grand roux vraiment mignon, il me sourit, au bout de la table je vis une jeune fille qui semblait avoir de l'assurance avec une veste en jeans. Je vis également un jeune garçon bien garni, avec des lunettes. Toutes les personnes ici présentes ne ressemblent vraiment pas à des personnes avec des problèmes mentaux. La suite de la journée se passe avec Nathalie et sa tonne d'administration, elle a cinq tasses de café sur sa table (qui est vraiment désordonnée) puis après elle me pose des questions comme: avais-tu de bon liens avec tes parents etc.....C'était vraiment parfait pour me mettre mal à l'aise.
Après cela on me laisse aller manger et défaire ma valise. A ce moment là j’étais toute seule dans ma chambre avec Freddy sur mon épaule, je rangeais mes habits etc... Et je parlais à Freddy en même temps.
-Dis Freddy à toi, ils sont où tes parents ?
-Moi, hihi je ne sais même pas comment j'ai été créé et comment j'ai été foutu dans un livre, me demande pas mon âge non plus je ne saurai pas te répondre.
-ah bon? C'est marrant ça, en tout cas une chose qu'on sait tous les deux c'est qu'on restera pas longtemps ici, je veux qu'on fasse le tour du monde, tu sais rien qu'à deux, ça serai bien non ?
-Oh oui tu as vraiment raison m'affirme Freddy.
Soudain j’entends quelqu'un se rapprocher du dortoir, je sens bien que notre conversation va être perturbée. C'est Whalter.
-S'lut, t'es Lienli toi non ?
-Heu oui c'est ça, dis-je timidement.
-alors j'imagine que t'es passé au questionnaire mega ennuyeux de Nathalie hahaha.
-Heu oui en effet, dis-je avec un petit rire nerveux.
-Tu veux que je t'aide à ranger deux trois trucs?
-Non ça va merci j'ai bientôt fini.
Le restant de la soirée, j'ai continué à parler avec Walther, Freddy était vachement fatigué alors il s'est installé sur un fauteuil de la salle commune pour faire une sieste. Au moment d'aller dormir je vais chercher Freddy et lui dis qu'il est temps de dormir mais il me dit que la sieste l’a fatigué alors je lui propose de sortir par la fenêtre du dortoir pour se glisser dehors. Nous marchions et parlions depuis 30 minutes quand soudain :
-Alors, tu parles toute seule la nouvelle.
Je me retourne en sursautant.
-HAN tu m'as foutu une de c'est trouille
-Réponds
-Non, je parle a Freddy mais tu ne le vois pas il est sur mon épaule.
-hein hein c'est ça, me dit-il en s'approchant de moi et en glissant une de ses mains dans la mienne.
J’eus un frisson en sentant sont odeur quand soudain on vit une lumière. Sans réfléchir il m'attrapa le bras pour me descendre, et mit un doigt sur ma bouche. Il y avait une lumière. Je voulais lui poser des questions mais je devais me taire. une fois la lumière partie, je demande a Walter:
-C'etait quoi ça ?!
-Une ronde, Nathalie fait toujours ça, on ferait mieux de rentrer.
J'ai eu du mal à dormir cette nuit-là. C'était à cause de Whalter, la manière dont il me regarda et me parla, je ne savais pas trop si c'était de l'amour, le lendemain matin lors du petit déjeuner Whalter me glisse un mot :
Ce soir 23h00 près du chêne
Ce petit mot m’a bien réveillée. Ce mot m'a bien tortillé le cerveau toute la journée, j'ai pensé à son petit mot. On reçoit des cours là-bas et évidemment nous sommes dans la même classe, je sentais bien qu'il me regardait mais je faisais comme si je ne le voyais pas. Durant le midi, je m'installe à la seule table qu'il y'avait et je parle a Freddy.
-Freddy, tu as vu la manière dont Walther me regardait ?!
-Évidemment, tout le monde l'a vue.
-Oh mon Dieu, ce soir à 23h00 sous le chêne, cette phrase me reste dans la tête Freddy.
-Oh Lienli c'est bon il ne va rien se passer.
Je mourrai d'envie de dire à Freddy que j’étais trop amoureuse de Walther mais je n'ai pas osé. La suite de la journée se passa normalement et le soir arriva rapidement. Avant de se mettre au lit, Whalter me regarda et me fit un clin d’œil, je rougis jusqu'aux oreilles, j'attendis 23h25 avant de descendre de mon lit pour me glisser dehors. Je me mis au pied de l'arbre.
-Alors ça te mets si mal quand je te regarde en classe.
-hiaaaaaaaaaa plus jamais Whalter.
Il sourit et me dis: « en fait Lienli, ça ne fait pas longtemps qu'on se connait mais au plus je te vois, plus je tombe amoureux ». Il s'approche de moi et je sentais qu'il essayait de m’embrasser, je ne savais pas quoi faire alors j'ai juste dis:
-heu.....Je suis fatigué je vais dormir.
Il soupira, et je m'en suis allée. Je suis vraiment déçue de moi ; en réfléchissant je pense que j'aurai voulu l'embrasser. Mais si ça se trouve il n'essayait pas de m’embrasser...Si? Je me couche à côté de Freddy qui dort à points fermés, lui au moins il ne s'en ira pas me dis-je. Le lendemain je vis que Whalter n'avait pas beaucoup dormi, je le vois vraiment très bien avec ces cernes. Il me regarde avec un air de chien battu, à mon tour d’être sympa avec lui, je griffonne.
Ce soir 23heure sous le chêne
Lienli
J'abandonne et glisse le mot dans ma poche pour me diriger au prochain cour. Sans le remarquer le mot s’échappe en dehors de ma poche et arrive chez Whalter quelques minutes plus tard. J'ai passé tout mon temps libre a préparer mon plan avec Freddy pour s’échapper du pensionnat, on le fera, si je calcule bien dans 5 jours. Le soir j'avais besoin de prendre l'air, j'ai pris Freddy, et je le mis sur mon épaule. On s’échappa comme prévu par la fenêtre, on se baladait, quand soudain je sentis un doigt me tapoter l'épaule.
-ah....Salut Whalter dis-je timidement après l'accident d'hier.
Il tourne autour de moi:
-Je dois dire avoir été un pt'it peu déçu du rejet de mon baiser.
Ca y est, il l'as dit. Je mis ma tête dans mes paumes de main et distribuant
-oui mais en fait c'est que …..
-chut Lienli, acceptes tu le baiser que je te proposerai?
En règle général j'aime pouvoir avoir le temps avant de donner ce genre de réponse pris au dépourvu je dis « oui d'accord ». Il se rapprocha de moi et me fit un tendre baiser avant de dire bonne nuit ma douce et de partir.
-waw c'était digne d'un film, me dit Freddy.
-rooh ça va toi, dis-je les joues rouges.
Avec ça je n'ai pas pu dormir de la nuit. Le lendemain, au petit déjeuner Whalter vient s’asseoir à côté de moi et me dit: «bien dormi?» J'avais envie de lui dire comment veux-tu que je dorme avec hier soir?! Mais j'ai préféré m'abstenir à un «très bien». Le restant de la journée je l'ai passé avec Freddy. Notre plan était parfait pour s’évader, il serait prêt pour dans 4 jours. Je n'avais pas trop envie de le dire à Whalter, donc j’attendis. Le soir même, moi et Whalter nous regardions et il me fit un signe de tête en direction de la fenêtre. J'en déduis qu'il souhaitait une petite balade, je me levai et il m’imita. Il ouvrit la porte délicatement avent de lancer: « honneur aux femmes » J'escalade la fenêtre d'un pas léger puis il fit de même. Après notre balade nous revenons, je savais bien que j'allais me séparer de Whalter d'ici peu et cette idée me donnait des frissons mais je devais partir de cet endroit pour Freddy, je lui ai promis de faire le tour du monde. La journée du lendemain se passe très rapidement. C'était...la dernière...la dernière nuit ici. Je me devais d'aller faire un dernier petit tour au chêne. J'arrive au chêne et là-bas je parle des derniers petits désagréments pour notre voyage avec Freddy. Tout est prêt et on partait le lendemain soir à la même heure.
-Freddy...dans 24h on est plus ici.
-Oui. Et ?
-Ça ne va pas un peu te manquer.
-Non, t'inquiète ça va passer Lienli.
-Lienli....tu pars dit Whalter que je n'avais pas remarqué, il parlait d'une voix tremblante.
-Whalter laisse-moi t'expliquer.
-Ça va ,va-t’en avec ton lutin.
Il avait l'air tellement triste et en colère que je me suis tue et l'ai laissé partir. Je l'ai suivi quelque minute plus tard. Je rentre et Freddy me console et je m’endors de fatigue. Le lendemain, je me réveille avec tristesse. Je vois que ça n'a pas l'air drôle pour Whalter non plus. Je sais qu'il n'allait pas parler au éducateur du centre, il a du respect pour moi. Le lendemain soir, 30 minutes avant le départ de cet endroit, j'avais du temps pour retourner au chêne. J'ai trouvé une lettre de Whalter, il était écrit : pour ma petite Lienli. Stressée, j'ouvre la lettre.
Lienli, ,j’ai assez souffert, tu étais la seule personne qui fait que je restais en vie...Mais là, tu me quittes et moi je m'en vais à mon tour .rejoindre mes parents, ils sont morts....c'est ma tante qui m'a emmené ici, elle voulait se débarrasser de moi ,et elle a réussi.....,au revoir Lienli je t'aime, mais maintenant je t'aimais....
Vis ta vis et accomplis de belle chose.
La journée était ensoleillée, c’était magnifique.
Whalter Delar
Quoi, c'est impossible, je retourne en courant dans la chambre et je vois Whalter couché dans son lit pâle comme une feuille. C’était trop tard...Il s'est suicidé, moi je n'ai rien vu. Mais Freddy ne me laissa pas longtemps pleurer sur lui, et il me dit: «Lienli,on doit y aller». J’ai a peine eu le temps de sentir la peau fraîche et pâle de Whalter, je pris le médaillon qu'il portait au tour du cou, je n'en revenais pas. Par la suite Freddy me fit la courte échelle pour que je puisse monter dans la bouche de ventilation qui menait au dehors de cette endroit. Nous arrivons dans la rue où je vis des poubelles, l'endroit idéal pour ne pas se faire remarquer. J'y reste dans une position très peu confortable, ni moi ni Freddy ne parlions soudain une petite voix dit timidement :
-Il y'a quelqu'un ?
Camping et Chamalow
-Oui...dis-je d'une petite voix
-Laisse-moi t'aider, viens loger chez moi.
Au point où j'en étais, j'ai accepté, elle me guida vers chez elle, c’était une petite maison coquette, une grande dame blonde ouvre :
-Soumicha, tu as réussi à ramener quelqu'un ?
-Oui maman regarde je te présente..
-Lienli
-Enchanté, dit une voix plus masculine derrière. Un grand monsieur qui ressemblait à un bûcheron se tenait a côté de sa femme.
-viens Lienli, me dit-il je vais te nettoyer la grosse plaie que tu as sur le visage, je t'expliquerai plus en détail comment tu te retrouves ici.
Il m’installe dans un endroit qui ressemble à une pièce de médecin.
-Attention ça va peut-être un peu piquer.
Pendant qu'il désinfectait ma plaie avec un coton il me dit:
-Soumicha a neuf ans et chaque soir, nous l'envoyons dans le quartier pour trouver des sans-abris. Nous avons pitié d'eux, nous voulons les aider, mais je dois t'avouer avoir été quelque peu surpris de voir une enfant devant ma porte.
-heu j'ai eu des soucis, ça vous dérange si je passe la nuit ici ?
-Non, non dit-il en bafouillant, tu veux qu'on prévienne tes parents?
-Ils sont mort dis-je. (je mentais)
-Toute mes condoléances ,tu dormiras dans la chambre avec ma fille, nous sommes dans une petite maison. Allez au lit, il commence à se faire tard
J'arrive à petit pas dans la chambre de Soumicha.
-Coucou, j'ai fait ton lit, j'ai mis de nouveaux draps et...je t'offre un doudou, il est sur le bord du matelat. Soumicha avait préparé ce qu'elle allait me dire ça se voyait.
-Merci Soumicha, c'est vraiment gentil de ta part. Elle rougit.
Cette nuit-là, je dormis aussi bien qu'un bébé, même si leurs explications de pourquoi ils m'ont recruté chez eux étaient un peu farfelues. Je leur faisait confiance, je me sentais en sécurité et c’était la première fois depuis un bout de temps. Le lendemain je me réveille après tout le monde, je descends dans la cuisine où j'y trouve un mot :
Salut Lienli, nous imaginons que tu n'as pas de carte de banque, nous ne sommes pas pauvre alors nous t'avons acheté cette petite carte de banque. Nous ne savons pas qu'est-ce qu'il t'arrive. Nous sommes partis en randonnée alors nous t'avons écrit ce petit mot.
Bonne aventure Lienli.
Sur un autre coin de la table se trouvait une autre lettre avec une écriture beaucoup plus enfantine j'ai immédiatement compris qu'elle avait été écrite par Soumicha.
Salut Lienli, cette nuit à tes cotés fut géniale, je suis désolée mais je dois t'avouer avoir ouvert le médaillon qui se trouvait à tes pieds. (Ho c'est le médaillon de Whalter.) Tu étais trop mignonne quand tu étais petite.
Bisous Soumicha (en bas de la feuille, il y'a un petit doudou girafe, il est pour toi en souvenir de ton logement ici).
Leur hospitalité me faisait chaud au cœur mais une chose me serrait la gorge... Le médaillon de Whalter, comment a t-elle su que c’était moi sur la photo, ça pourrait très bien être un membre de sa famille, elle a dut déduire que c’était moi car elle pense que c'est mon médaillon. Par curiosité je l'ouvris quand même, une bouffée de chaleur m’envahit. C’était bien moi sur cette photo.
-Waw c'est quand même louche me dit Freddy.
-C'est vrai ou a t-il pu avoir une photo de moi enfant?
-Digne d'un épisode d'Agatha Christie.
-Freddy, j’hésite, je prends ou pas la carte de banque que les parents de Soumicha veulent m’offrir.
-Lienli, t'es trop mignonne, j'te rappelle que t'es en cavale, t'as pas le choix, avec ça t'as une chance de survivre.
-He ho NOUS sommes en cavales j''te signale.
-Oui mais moi j'peux pas mourir.
-t'as gagné.
Je pris difficilement cette carte bancaire, mis ma veste, pris le doudou de Soumicha et m'en alla.
-Pour commencer je pense qu'il serait bien d'acheter un sac pour y mettre tout le nécessaire, un sac de randonnée.
-Excellente idée m'assura Freddy.
Je rentre dans un magasin d'aventure pris une tente pliable et un sac.
-Freddy!!! Regarde-moi ce prix.
-La vache, il ne te reste plus que voler.
-Non! Il en est hors de question Freddy.
-T'as cru que quoi? Il n’y a pas tout l'or du monde sur cette carte. Regarde vas aux caisses automatiques et mets la tente pliable dans le sac, le sac est pas trop cher tu pourras le payer facilement.
Anxieuse, je savais que je n'avais pas le choix, je m’exécute, j'avais l'impression d’être une vraie criminelle. Freddy l'ayant remarqué me regarda droit dans les yeux avant de me dire:
-Eh Lienli, ça va t'as tué personne et c'est pour la survie.
Je me répétais cette phrase dans ma tête mais ça n'avançait à rien. Depuis ce matin j'avais remarqué que Freddy ne me rassurai plus comme avant. Et je ne me sentais plus aussi bien qu'avant. C'est peut-être à cause du décès de Walter. Je me dis que ça va passer. Le soir venu moi et Freddy arrivons après des heures et des heures de marche dans une formule 1. Nous étions touS les deux couchés sur le lit. Je m’apprêtais à dormir, mais je n’arrivais pas à me sortir de la tête tout ce qu'il nous était arrivé. Freddy s’en foutait complètement, parfois j'ai l'impression qu'il est un peu mort. Je ne le sentais plus de faire ce tour du monde avec Freddy. Je m’endormis de stress. Le lendemain matin, je dépose les clefs à l'accueil avant de demander une autre formule1 qui se trouve à 23km. Ça allait encore, la journée se passa dans un silence des plus total jusqu'au repas du soir. Nous allions nous diriger dans un restaurant, arrivés là-bas, nous commandons puis il se lança:
-Désolé Lienli, j'aurais pas du te forcer à voler c’était pas cool.
-Merci de t'excuser, en effet ça me met vraiment mal, en plus la carte de crédit....
-Lienli, on l'a fait pour la survie, je te jure que tu peux être tranquille. C'est ma faute j'aurai vraiment pas dû insister à voler ni à prendre la carte crédit. Tu me pardonnes ?
-Oui t’inquiète c'est pas grave, ça doit être à cause du décès de Whalter.
-Bon Lienli, il serait peut-être temps d'installer la tente, pas loin il y'a un camping
-Ok
UN PEU PLUS TARD....
-C'est enfin fini, la tente est prête aller j'entre.
-waouw t'as vu comment c'est spacieux.
Soudain, on entendit des gens nous demander d'ouvrir la tente
-Bonjour, qui êtes-vous?
-Services de recrutement des enfants F.O.T.P.
-Je vous demande pardon?
-Centre de recrutement des enfants qui ont fugés, sont orphelins ou qui ont des problèmes psychologiques.
-Heu...Mais ce n’est pas mon cas.
-Arrête de cogiter et suis nous....
A suivre...
Lienli (partie 2)
-Qu'est-ce que vous voulez ?
-Rien, nous allons simplement t'emmener dans une famille d’accueil.
Je soufflai et regardai par la fenêtre, le temps était mauvais, le ciel gris et brumeux. La dame que j'avais devant moi me rappelait Whalter, ces traits de visage ressemblaient à ceux de Whalter. C'est terrible je le vois partout.
-Je vais passer un coup de fil j'arrive, me dit la dame.
-Freddy. J'ai peur.
-De quoi ?
-Rien, laisse.
La dame revient le sourire aux lèvres.
-Bonne nouvelle, nous avons déjà trouvé une famille pour toi, mettons nous en route.
Je regarde Freddy l'air de dire que ce n'est pas une bonne nouvelle, nous montons dans la voiture. Je regarde par la fenêtre j'appréhende et je ne savais pas si je devais…. Par la fenêtre je vois le mauvais temps. Cette situation est mélancolique. J'arrive devant un manoir. Une dame ouvre. J'entre et la dame qui m'as déposé s'en va. Soudain, un homme grand et fort arrive et hurle: « MAAAAAX arrête de manger des éponges ».
-LIENLI, LIENLIIII, réveilles toi !
Tout à coup, je me réveille en sueur, tout va bien on est au camping, c'est juste Freddy qui me réveille.
-Quoi Freddy?!
-Il y'a quelqu'un qui veut te parler devant la tente.
Non, non, non, c'est impossible. Une nouvelle bouffée de chaleur m’envahit. J'ouvre avec précautions.
-Bonjour, auriez-vous du Gel douche ?
-Heu non désolé.
-d'accord bonne journée.
Qu'est-ce que j'ai eu peur.
-Ca va Lienli ? Tu as l'air préoccupée.
-J'ai fait un rêve bizarre, c'est tout.
-Allons faire des courses pour se vider la tête.
Freddy et moi nous mirent en route vers le super marché. Après avoir acheté quelques bricoles nous arrivons à la caisse. Je dégaine ma carte bancaire pour payer mais... Paiement refusé. Non c'est impossible. La dame derrière moi me propose son aide et paie mes courses.
-Merci c'est super gentil de votre part.
-Tu es au camping n'est-ce pas?
-Oui comment savez-vous?
-J'y suis également. Mais je t'en prie ne me vouvoie pas! Mais où sont tes parents?
-J'ai fugué...
-Je te propose de venir manger des chamalows devant ma tente se soir. Ça te convient?
-Oui je vous remercie.
Je m'en vais pas à pas. Freddy me regarde d'un air craintif. Je l'ignore et attend 18h00. Une fois que nous y sommes elle me propose de m'installer
-Tu veux des chamalows ? Me dit-elle en me les tendant avec un sourire.
J’accepte. Un blanc d'un court instant s'installe.
-Je suis vraiment désolée me lance-t-elle...
-Je te demande pardon ?
-J'ai fait quelque chose que je n'aurai pas dû faire. Tu vois, il y'a quelques années j'ai appris que j’étais stérile. Suite à cela, mon mari est parti sans rien dire.
Je vois les larmes monter au yeux de cette dame. Elle poursuit :
-alors j'ai adopté un enfant. Je l'aimais et nous étions très proches. Mais quand il a eu 14ans, comme toi mon seul et unique fils a fugué. Elle fait une petite pause avant de se reprendre. Je m'en veux c’était mon seul et unique fils dit-elle avec une voix étouffée dans les sanglots. Tu m'as rappelé mon fils et donc...J'ai appelé le service de fugue.
Mon expression se change et ma compassion devient de plus en plus néant. Je vis une camionnette arriver.
-Coucou Lienli. Monte !
Vite Lienli,...Fuie
Je monte perplexe. Ça ressemblait vachement à mon rêve...Étonnant ! Nous n'avons trouvé personne pour t'accueillir alors nous allons t'installer dans un couvent, avec des sœurs. Je sortis du sac, le doudou que Soumicha m'avait offert. Le réconfort que ça m'a apporté est inexplicable. La camionnette s’arrête et la dame me dit d'aller vers l'entrée. Cette situation me rappelle mon entrée à l’hôpital psychiatrique. Je vis une dame habillée en blanc avec un voile et une croix qui lui tombait jusqu'au ventre. Elle avait les joues bouffies et roses. Elle était très chaleureuse. Nous traversons un jardin d'une beauté inexprimable. Nous arrivons au printemps. Cet endroit est magnifique et me rappelle fortement l’hôpital psychiatrique.
-Bienvenue dans la maison de Dieu,me dit-elle d'un air enthousiaste. Voyant que je ne comptais pas lui répondre elle poursuivit...Tu dormiras avec Erin et Maxime. Elles se sont fait abandonnées.
Je t'emmène dans ta nouvelle chambre. Les couloirs avaient une odeur particulière. Nous traversons divers endroits comme la salle à manger, la salle à prière, une chapelle, et une église. Avant d'arriver enfin à la chambre, un enfant en bas âge de plus ou moins 4 ans est dans un berceau et une fille de plus ou moins 13 ans me regarde avec un large sourire et se lève dès qu'elle m'aperçoit.
-Salut, tu es Lienli n'est-ce pas, me dit-elle.
-Oui enchantée, moi c'est Maxime.
-Oh c'est mignon les filles. Ce n’est pas tout mais Dieu m'appelle, je vais me repentir. A plus les filles, dit la sœur.
-« patir » lance une petite voix. Elle était trop mignonne
-Voilà ma sœur Erin.
-Enchantée petite demoiselle dis-je d'une voix un peu gaga.
-Viens je vais te faire découvrir.
Nous passons la soirée à rire etc... Je me sentais très proche d'elle. Le soir venu, je fis un petit au revoir à Erin qui commençait à s'endormir et je parlais un peu avec Maxime.
-Dis max t'es ici depuis combien de temps ?
-4 ans, à la naissance de Erin.
-Je veux m'en aller.
-Tu veux dire t'enfuir, me dit-elle comme si l'idée lui paraissait absurde.
Je lui raconte alors toute l'histoire avec Whalter, l'hôpital psychiatrique etc...
-On pourrait partir demain. Amélie me fait tellement confiance que j'ai les clefs pour sortir de cet endroit.
-Je ne t'oblige à rien. Mais je pars.
Elle jette un œil sur Erin. Puis elle me regarde
-Je te suis, me dit-elle d'un air sûr.
-Je souris.
Le lendemain soir quand il fut l'heure de s'en aller. Elle ouvrit la porte
GRIIIIIIIIIIIING
-Non, flute si quelqu'un nous voit, je vais me faire réprimander, dit-elle.
-Bah non puisque tu pars haha.
-Les filles revenez immédiatement! C'était Amélie. La sœur.
-Cours vite, dis-je.
Je suis desolée Lienli, je ne peux pas pour le bien d'Erin. Elle me lança son numéro de téléphone.
-Me voilà bien, marmonnais-je à Freddy.
-Je vis un flyers par terre.
C'était un train de nuit.
J'entrai dans le train, quel hazard, ce train était spécial étudiant et était donc gratuit. Une dame ressemblait presque à un robot. Elle m'apporta toute sorte de petits fours. Cela tombait bien. Je mourrai de faim. Je vis toute sorte de paysages défiler. C'était juste magnifique. Après 5 jours de train intense sans pause. Nous arrivions. Nous étions enfin à Tokio.
Une aide«précieuse»
Bon maintenant que j’étais sortie il fallait que je m'y retrouve. Impossible, je regardais partout autour de moi. Il y avait plein d'indications. Les indications étaient en Japonais! Ce n’étais même pas les mêmes lettres! Comment allais je m'en sortir soudain j'entendis quelqu'un toussoter pour attirer mon attention.
-Je peux t'aider ? Tu parles français non ?
-Oui comment le savez vous?
-Tu pars d'un train qui vient de France.Et ne me vouvoie pas s'il te plait. Tu fais comme tu veux, mais je t'accueille chez moi avec plaisir
Après tout, je n'avais pas beaucoup le choix, je ne pus qu'accepter, il sourit d'un air machiavélique, j'eus du mal a voir ses yeux qui était caché avec ses mèche rousse
J'entre dans cette appartement. Jean Paul s'asseoit sur une chaise autour d'une table ronde.
-Viens assied toi je t'en prie
-je m'assois.
-Tu veux une bière
-J'ai 14ans
-Oh,on dirais pas haha.Tu paraît bien plus vieille.
Au plus il parlait,au plus j'avais peur.De lui,il était imposant je me entais obligé de lui répondre. Je ne me sentais pas très bien.
-Viens je vais te guider vers ta chambre. A moins que tu ne veuillent dormir avec moi haha.
Quel blague de mauvais goût,pensais-je. Je me couche dans mon lit et me dis : «mais qu'est-ce que je fais là ? A tokyo,chez un parfait inconnu ». Je ne trouvis pas le sommeil soudain la porte s’ouvrit. Je faisait semblant de dormir. J'ouvris un œil il avait une seringue de la main je ne suis plus sur de la suite je me souviens juste qu'il m'as piqué et qu'il m'as bloqué les poignet.
Le lendemain matin,je me dirigai vers la cuisine et dit:Merci beaucoup pour l'accueil dis-je.Mais je vais m'en aller.
Ah oui?Dis moi jeune fille tu veux aller où ? Je baissa les yeux. Répond dit t-il en haussant la voix avent de me donner un coup de point au visage. Maintenant,j'étais devenu dépendante de lui. Bon vas faire la vaisselle puis repassé le linge. Je ne pouvais rien faire de plus. I l me fesait si peur...
je me mis directement a travailler Freddy m'aidais en séchant les assiètes.
-Lienlii me dit-il avec un sourire en coin
-Freddy c'est vraiment pas le moment
-Lienli où est passé ton cerveaux d'inventrice ?
-Linge...Fenetre...nuit
-Non Freddy,tu penses à se que je pense ?
-Seulement si toi aussi tu pense a se que je pense
tortiller des linges pour en faire une corde pour s'évader par la fenetre dit-on en coeur.
Le soir arriver,j'avais caché les draps dans ma chambre. Tout était parfaitement parfait. Une fois descendu,je voyais la rue devant moi,jamais je ne me suis senti aussi libre.
-Hep Hep Hep où vas-tu comme ça
oh non c'etait lui. Il jetta sa cigarette ar terre avant de s' pprocher de moi et sans que je n'eu le temps de dire quoi que ce soit me pris par le poignet avant de me monter dans la chalbre et de m'envoyer une vingtaine de coup violent. Je saignais de partout et j'avais plein de bleu . Quand il est parti,je me suis evanouie et puis réveiller en pleine nuit avant de me reendormir.
Le matin,je me réveille et j'avais des douleurs atroce. Quand soudain il ouvrit la porte violemment.
Les invités
-Ce soir,des gens viennent manger à la maison je ne veux pas qu'ils voient t'es bleue. T'as des habit propre dans la salle de bain. J'ai fermé lafenetre de ta chambre...impossible de se fofiler a travers cette fenetre. Je veux qu'à 18h tu sois prete il n'attendait pas ma réponse...logique,cétait un ordre.
J'esayais de me lever,j'en pouvais plus. Je ne sais pas comment j'ai réussi à me lever ça à été les pas les plus dur de ma vie pour arriver a la salle de bain. Waouw le nombre de tonnes de maquillage qu'il avait mis à ma disposition était incroyable. Le seul problème là dedans est que...Je n'ai jamais touché a du maquillage de ma vie. Je ne savais pas comment faire.Je mourrais de douleur. Lienli vient on vas jouer un peu.
Freddy sais très bien qu Linli est très très mal. Qu'elle ne vas pas tenir longtemps.
-Assis toi sur le rebord de la baignoire dit Freddi
Lienli était trop fatigué pour discuter alors elle accepta. Et Freddy avait raison il l'as fit rire. Et ils rigolèrent encore et encore jusqu'à en oublier les heures déffiler; Soudain Jean Paul entra :«où est ma cuisinière préféré?»
-Oh non! Avc tout ça on s'etait maquillée n'importe comment et ça Jean Paul vas pas aimé.
-Haaaaa mais qu'est-ce ue tu as fait a ton visage
je m'enpecha de rire.Il s'assit sur le bord de la baignoire pris un pinceaux et le frota sur mon visage.
-Comment t'as tu procurer tout se maquillage?
-Hehe je travaille dans une agence mannequina
Jean-Paul n'était pas le meme,ce n'était pas celui qui me donnait des coups.
-Et te voilà prete dit-il en me regardant dans l'ensemble.
Aller vas cuisiner me dit-il
Je souris et m'en alla vers la cuisine. Je ne comprennais pas se qu'il se passait. Je sortis le rotis de boeuf du frigo.
-Ça peut pas etre bien dur de faire à manger hein chuchotais-je à Freddy.
-Je t'aide quand tu veux Lienli mais là franchement tu te débrouille
dit-il couché sur le frigo s'appretant à faire une bonne sieste.
Je vais aller loin. Soudain j'entendis la sonette de la porte retentir. Ca doit surement etre les invités,me dis-je. Il les installa leur donna des petite mises en bouche. Pendant qu'il rigolait avec ses invités j'inspectais la cuisine. En dessous de l'évier il y'avait une armoire. On y retrouvais du produit pour la vaiselle etc...
Et au fond du placard j'y retrouve un produit. C'était pas un produit de vaiselle. Je lis l'etiquette sur le produit.
Putain c'etait du poisson. C'était un gros psychopathe.
Je regardais le flacon.Aurais-je le cran de le tuer?
Il se leva et s'avança vers moi,il me toucha le bas dos,je frissonai de dégout. C'est bientot pret? M'a t-il en me regardant de ces yeux bleu ocean perçant. Heu oui répondis-je.
Je passa le reste de la soirée dans la cuisine. Je nettoie les assiète et passais un coup de plumeau par ci par là.
La soirée terminer,nous disons au revoir au convives et je retournis dans ma chambre. Il toqua a la porte de ma chambre.
-Demain il y'a un congrès. Je veux que tu y vienne.
-Moi?
-Qui donc d'autre tu veux ? Bref,en tout cas je veux que demain tu sois prete a 9h,nous partons au centre commerciale te trouver une petite robe.
Le lendemain matin je me reveillai une heure plutot pris le veiux sweetscheart rose que je portais depuis déjà quelque temps et qui ne sentais pas très bon et ce pantalon bleu rempli de boue.
Une fois dans sa voiture il me regardai de ces yeux bleu perçant. Et je vais peut-etre aussi t'acheter du Schampoin . Je voyais des adolecente de plus ou moin mon age,qui menaient une vie plutot simple. Voir ça me fit verser une goute de larme.
-Oh non tu vas pas te mettre a chialer quand meme
je ne luis repondis pas
Arriver au centre commercial je voyais tout ces visages me jugeant surement à cause de mes habits et a quoi je ressemblais.
Nous voilà à la caisse nous payons et la dame nous souris avant de lançé:Bonne journée père fille. Heu non c'est mon amoureuse dit-il assurement.
Quel enfoiré,il adore choqué les gens! Me dis-je.
Et j'était encore très loin de mes surprises.
On passa devant des tas de boutique. On acheta tu champons,des petit accesoires comme une brosse acheveux ou du gel pour plaqué les cheveux. Nous rentrons à l'appartement.
Il pris 2heure pour me maquiller me bichonner me coifer,me voilà toute pomponner.
-Aller ! Direction le gala .
Le gala et l'étrange Valentin
Je me regardais dans le miroir poser devant moi. Je ne me reconnaissait plus. Je sentais la rose. Mais je veux parfaitement lisser tombait sur mes reins. Et oui,ça fait déjà quelque temps que je n'ai plus couper mes cheveux.
J'était résplendissente. Aussi psychopathe qu'il soit,il a pris soin de moi,de mon hygiène.
En m'achetant des produit pour cheveux très couteux ainsi qu'une robe époustoufflante qui me mettais en valeur,qui était sois ditant passant d'une somme d'argent astronomique.
Il m'avait éberger. Mais ils m'as tout de meme fait des choses atroce.
Nous arrivons devant la porte du gala.
Il s'abaissa à mon niveau tout en gardant ces main enfuient dans ces poche et me chuchota:Contente toi de sourire et de ne pas te faire remarque.
Ce n'était pas dans mon habitude de ne pas me faire remarqué,je suis très maladroite.
Je leva les yeux au ciel avant de le suivre à l'entrée du gala.
-Jean-Paul quel plaisir de te voir ici dit un monsieur avec un sourire forcé.
-William,quel surprise dit Jean Paul également d'un sourire non sincère.
Il se passait quelque chose entre ces deux là,j'en était certaine. Soit il cachait un secret a tout le monde soit il se détèstais.
-Cette jeune fille doit-etre Lienli n'est-ce pas?Haha Jean Paul m'a tant parlé de toi.
Quoi ?? Jean Paul à déjà parlé de moi???
C'est-ce que je voulais dire. Mais je me suis contenté d'un sourie forcé. Je ne sais pourquoi depuis ce début de soirée,il n'y a que des sourires forcé. A l'autre bout de la salle,j'aperçus quelqu'un que je connaissait. J'en était sur. Evidemment,c'est le monsieur qui est venu chez Jean Paul. C'était sont invités. Je voyais qu'il me scrutais.
J'imagine qu'il a oublié qui je suis mais il reconnais un air familier. Me dis-je.
Plus tard dans la soiréece monsieur s'approcha de moi. Il le me donna un petit papier avec écrit appel moi,fais-moi confiance puis son numéro de téléphone.
Pouvais-je vraiment lui faire confiance ? Après tout c'était un amis du psychopathe alors bon... Je ne pouvais pas vraiment lui faire confiance.Enfin qui sais....
Rentrer à la maison le sadique s’excita. Et toi là commença t-il je me tournai en le regardant dans ses yeux froid sa mâchoire était si contracté que j’ai cru qu'elle allait tomber en 1000 morceaux.. Tu n'as pas nettoyé ma chambre! Me dit-il d'une rage indéniable.
Mais tu ne me l'as jamais demander et on a passé la journée dehors! Rétorquais-je.
En plus tu me répond petit insolente. Dit-il en se rapprochant de moi. Voyant cette action je me recule jusqu’à être coller contre le comptoir. Il s'approcha et pris d'un coup sec ma robe avant de la déchirer en 2 et de me donner un oup de poing sur la machoire. Je saignais. Il alla chercher la trousse de secour puis me l'a montra avant de me lancer: j'ai pris la trousse de secour,ne cherche pas a réparer t'as blessure dit-il en se léchant les babines d'un air malsain,ca te vas si bien le sang mélanger au mascara qui coulent sur tes joues. Il claca la porte en disant qu'il allait faire un tour et je me mis en boule dans le coin de la pièce. J'avais tellement mal,j'était a deux doit de m'évanouir. Puis je pris le numéro du jeune homme qui se trouvait par terre. Je cessai de pleurer avant de le ramasser,de me regarder dans un miroir,enlever le sang qyi dégoulinais de ma bouche. Je pris le téléphone fixe qui étais poser sur la table basse sur le salon. J'appela se numero après une sonnerie il répondit :
-Allo,Jean Paul
-Heu,c'est Lienli.
-Oh Lienli,je ne pensais pas que tu aurais le courage de m'appelé,je vais te sauver de se sale pédophile.
-Heu mais c'est votre amis non ?
-Non hors de question,c'est un collègue de travail. Tu ne veux pas savoir ce qu'il dis de toi au boulot.
J’arquai un sourcil en regardant Freddy qui écoutais de très près la conversation et qui était autant surpris que moi.
-Pouvez-vous me prescisez de quoi vous voulez parler
-Eh bienn au travail il n'hésite pas à dire qu'il t'aime et des choses comme ça. C'est un pédophile. Ne t'inquiète pas,je vais te sauver de ce sale type.
Ce bonheur que jai ressenti était incroyable. On allait m'aider,cela fesait tant de temps que je n'avais pas entendu ça.
-Après demain,notre chaine:«méga beauty» Sortira une nouvelle teinte de fond de teins il y'aura un nouveau gala,Jean-Paul vas t'y enmmener.
-En-fait je n'en suis pas si sur. Aujourd’hui,il m'as déchirer la robe avec laquelle je suis venu en prétextant avoir oublié de nettoyer ça chambre. Le seul soucis là-dedans c'est qu'il ne me l'as jamais demander.
-C'est Jean Paul. D'ici là,sois prudente et fais très attention à toi.
-Ok,qu'est-ce que je fais si il ne me propose pas de venir ?
-Je m'en charge,ça n'arrivera pas.
-Ok merci de ton aide,vous vous appelé comment ?
-Valentin ,C'est normal,à bientôt Lienli.
Quel soulagement. Freddy me regarda dans les yeux avant de me dire que tout arrangera,il me le promettait.Soudain,j’entendis le bruit d'une clef dans une serrure. Ça devait-être, pris par la peur je couru rapidement mais discrètement en direction de ma chambre. Parfait dans le timing. A tout allure je me mis sous mes couettes. Je fermais très fort les yeux en attendant de voir ce qui allait se passer. Evidemment,je m'y attendais,il entra dans ma chambre. Je ne voyais pas bien. Mais je vis qu'il tenait quelque chose de lourd. Il se rapprocha encore plus proche de moi. Ma respiration se couppa et mon coeur battait à milles a l'heure. Il renversa un seau d'eau glacée sur ma tete ce qui me fit pousser un cris strident.
-C'est quoi ça ? Me dit-il en me montrant le numéro de téléphone de valentin.
Je ne repondis pas
-C'est quoi ça bordel !? S'impatienta t-il.
-Je ne sais pas dis-je.
-Jte jure que si j'apprend que c'est des mensonges se que tu me dis là, je te tuerai a main nu dit-il. La lumière du couloir était allumé et la porte était ouverte un peu de lumière étaient imprimés sur sont visage fermé.
Il s'en alla en me jetant le seau dessus.
Je n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi sec que lui.Quelque minute plus tard je me rendormi.
Tu t'en ai enfin rendu compte
Le matin,a mon réveil,je vis un mot sur la table. Aujourd’hui il y'a une réunion. Trop bien je vais pouvoir me reposer.
Je suis restée le reste de la journée a visiter sont énorme bibliothèque.
J’étais perplexe. Et si il ne me parlais pas du gala.
Vers 18h j'entendis des pas en direction de la porte d'entrée. Il allait rentré.
Il s'avança et ouvrit la porte. J'avais décidé de l'ignoré. Soudain,il brisa le silence
-T'as preparé quoi à bouffé
Suite a quoi je ne répondis rien(ce qui ne lui a pas du tout plus)Il s'avança vers moi. Mon coeur battais si fort qu'on pouvait l'entendre à 1000km heure mais je restais impassible il m'aggripa la machoir d'une tellement grosse force qu'une larme coula sur ma joue. T'as pas assez compris hier ? Je ne te laisserai jamais prendre le dessus tu me respecte. J'ai ru que ces yeux allaient exploser ! Il reçus une notification qu'il l'arreta net. Ouf sauvez par le gang.
-il y'a un gala demain soir commenca t-il. Mais vu ton attitude,tu n'ira pas au Gala. M4AIJE FAIS COMPRENDRe ?
-J'irai au Gala.
tu es vachement stupide Lienli,je fermerai bien la porte dérrière moi dit-il en rigolant. A présent tu es a moi Lienli,faut etre stupide pour croire qu'un inconnu qui te propose de venir chez toi c'est pas normal. Il émit un rictus avant d'aller dans sa chambre. J'allais y aller. Je ne savais pas comment j'allais m'y prendre mais j'allais le faire. La journée de demain fut longue. Très longue. Pendant que « monsieur » étais au travail je réflèchissait à un moyen de m'évader. Ca me rappelait la fois ou moi et Freddy nous étions échapper de l'hospital psychiatrqiues.Ver 1h30 je sens la fzatigue m'en ivrer.
-Freddy on a encore demain pour réflèchir j'aimerais dormir
-Ok,on voit sa demain me chuchota Freddy.
Je m'endormis en m'enfonçant dans on matelas. Soudain je me réveilla en sursaut.
Freddy Freddy Freddy criais-je pour que mon petit amis verts se réveille.
-Quoi dit-il d'un air faussement énèrver les yeux ébourrifé.
-Tu te souviens la première nuit ?
-Heuu oui me dit Freddy d'un air interrogateur
quand Jean-Paul est venus dans ma chambre et que j'ai vu qu'il tenait quelque chose dans la main...C'étais une seringue. Il m'as drogué et... il a dépassé des limites de mon intimités...
-Quoi,il t'as violé pendant que je dormais .
-T'as taper juste Lienli hehe me dis une voie sournoise que je reconnaissait parfaitement
-Je comptais revenir faire ce que j'ai fait le premier jour mais apparament tu t'en es rendue compte dit-il en se léchant les babines. Il tenait dans sa main une seringue. J'avais confirmation que ces intentions était loin d'etre bonne. Il poursuivis : mais si ma petite créature préférer veut dormir,je vias la laisser. Bonne nuit Lienli
je fis un mine dégouter avant de me retourné vers Freddy qui m'imitais. Il étira ces lèvre avec un petit sourire narquois. J'étais sale impur et plus vierge.
Un téléphone
Le matin je pris un yaourt à la banane avant de m'installer sur le canapé. Sur la table basse il y'avait la télécomande à coter je vis une boite. Par curiosité je l'ouvrit. Quel fut ma surprise en découvrant à l'intérieur un petit mot : « coucou Lienli,je savais que t'allais ouvrir la boite,je te connais asez pour savoir a quel point tu es curieuse haha. Bref soulève ce petit papier tu ne vas pas le regretter ». Je réfléchis 5 seconde. Et si il avait mis du poison ou quelque chose comme ça ? Je me fis tout les pires scénario possible et immaginable. Bon aller Lienli ouvre le tu peux le faire. Je pris mon courage a deux main et enleva la petite feuille où il y avait écrit son petit mot. Un téléphone ! Bon je vais cmmençer par l'ouvrir et éssayer de voir comment ça fonctionne tout ça. J'alla dans un logo avec un petit téléphone et j'entradans un répèrtoire. Mon preier contact étais : l'homme de ma vie. J'écarquillais les yeux avant de regarder sa photo de profil. S'était Jean Paul à la plage. Quel idée stupide de s'appeler sur mon téléphone: « l'amour de ma vie ». C'étais mon seul contact. Il y'avais beaucoup trop de touche différentes a mon gout. En bas à droite du téléphone. Il y'avait une touche « communauté ». J'appuya alors sur ce bouton. Dessus il était écrit: Makeup. C'est le seul mots que j'ai compris. Les autres mot était incompréhensible c'était du japonais donc il étais impossible pour moi de savoir ce que tout ces messages voulaient dire. Il y'avait quelque phrase en englais que j 'essayais de comprendre mais ce n'étais pas facile. Ca faisait très longtemps que je ne m'étais plus entrainé car j'ai arreté l'école. Soudain,mes pensées se figérent. Je n'étais plus allé à l'école. Ma vie s'arretais là! A présent,en plus d'etre sale j'étais foutu,je n'avais plus d'avenir. Soudain,mon téléphone sonna:L'homme de ma vie etais afficher sur l'écran.
-Coucou banane je suis au travail j'ai été obliger de t'inviter au gala dit-il en grognant.
Mon coeur allait exploser de joie ! Je vais pouvoir voir valentin ! Et il allait me sauver de cette enfer. Enfin je l’espère...
-Qu'est-ce qui t'as fait changer d'avis,lui demandais-je?
-Lui dit-il en tournant la caméra vers Lucas qui me souris. Je sentais qu'il me criait j'arrive te délivrer,je lui rendis son sourire.
-J'arrive bientot pour te ponponner,m'informa Jean Paul.
Il raccrocha. Je souffla et regarda l'heure. Me yeux dévillèrent vers la date du jour.
-Freddy,demain ces mon anniversaire...
-Demain tout rentrera dans l'ordre tu seras accompagnés de Valentin. Je souris.freddy avait le dont de me remonter le moral. Je l'enlassai. La porte s'ouvris.
-Je suis rentréééé cria Jean Paul
-comme si j'avais pas remarquéééé murmurais-je a Freddy.
Bon on à pas énormément de temps alors on s'y met. Comme la dèrnière fois je m'assis sur le rebord de la baignoire et il me maquilla.
-Jean paul,je n'ai pas de vetements propre.
-J'ai été faire quelque emplette dis-i avec un grand sourire.
Il avaot acheté des tas de petite chose. Des plus banale a des vetements de haute classe.
-Tu mettra celle-ci me dit-il en désignant du doigt une robe doré avec une fente jusqu'à la cuisse. Elle faisait un p'tit trop «madame » à mon gout,mais bon ça s'étais le prix pour etre sauvé par Valentin. Après qu'il se soir lui aussi préparé nous pouvons s'en aller,je regardais pour une derniere fois cette chambre et cette prison dans laquelle j'étais réster une dizaine de jour. Et j'étais encore en vie ! Freddy avais raison,je commençais un nouveau chapitre de ma vie. Mes 15ans allais etre quelque chose de nouveau. Jean Paul m'ouvris la porte. Je franchissais le seuil. J'entra dans cette ascenseur où nous y croisions une jeune dame qui me regarda et me fis un clein d'oeuil. Je me sentis renaitre. Nous entrons dans cette voiture.
Je reconnaissais le chemin qu'on prenait et je voyais ce magasin de vetement dans lequel j'ai pu voir des filles de mon age s'amuser,des gens banalent et heureux. Je regardais par la fenetre quand soudain je sentis une main arrivé sur ma cuisses je me crispai. Je regarda Jean Paul qui avait l'air de sentir ma crispation se qui avait pour don de le rendre trés heureux. Il aimais me voir térrifier. Soudain,il murmura : « que tu le veuille où non je te garderai près de moi toute ma vie »dit-il avec un sourire mauvais. Je le détèstais mais je me demandais qu'est-e que j'aurai fait si il n'étais pas là. J'aurai dormi dans la rue avec des drogués dans la rue. Meme si il etais complètement fou. Il allait me manqué. Soudain la voiture se gara je vis l'entrance. Je m'engaga avec Jean Paul à mes cotés. Je vis Valentin. Quel joie. Mais noud devons faire comme si nous nous étions vu une fois seulement au diner de Jean Paul. Jean Paul qui d'ailleur,ne me quittait pas des yeux. Ca s'annonçais très très compliqué. Je vis Valentin me faire un signe léger de tête en direction des toilettes. Je compris rapidement qu'il voulait me parler au toilet et échaffauder rapidement un plan pour que je puisse aller avec lui. Dés que nous arrivions il regarda en dessous des portes des toilets pour etre certains qu'on est seul
-Voilà mon numéro de téléphone si tu l'avais perdu,ça vas t'aider au cas où tu le perdrais où que le plan foirerai,il voulait continuer mais Soudain,il se stoppa je regardi a l'entrée des toilet
-Tien Lienli;Valentin quel surprise
-Coucou Jean Paul,oui je me suis souvenue d'avoir vue Lienli quelque part mais oui elle étais chez toi et nous avit préoarer un super plat,dit-il naturelement.
-J'en suis ravie. Venez donc boire quelque chose.
Moi et Valentin sentant qu'on devrait repartirje pris sont numéro de téléphone que j'enfonça doucement dans la petite poche intérieur d'un gilet.
-Oh regarde Lienli,c'est les slow,vient danser avec moi,avant sue j'eu le temps de dire quoi que ce soitil m'attrapa les cotesen m'enmmenant sur la piste de sance. Il se rapprocha de moi avant de murmurer a mon oreille
-Tu sais Lienli,je sais se que tu mijotedit-il en retirant sa main de mes cotes pour remonter vers mon gilet puis il entra dans la poche de mon gilet et pris le numéro.
-Je sais tous Lienli tache de d'arreter de me mentir dit-il en se penchant vers l'arrière pour jeter le mots a la poubelle. Il continua le slow,j'éspèrais que ça passerai vite. A la fin du slow il me pris la main et me dis : Je n'aime pas trop Valentin alors nous allons rentrer à la maison.
Il me tira dehors. Le plan avait échouer. Je m'assoia dans la voiture dégoùter que mon plan soit tomber a l'au,a l'ppartement,exxténuer,je me coucha sur mon lit sans mm mettre mon pyjama soudain quelqu'un frapppa a la porte,Lineli ?
-Valentin ?
Une croisière
J'esssuya vigoureusement les larmes qui coulainet à flo sur mes joues.
-Lienli viens. Il avait accroché une échelle. A ma fenetre.
-Attend 5minute lui demandais-je.
-Non Lienli...
Troptard j'étais déjà partie. J'ouvris la porte de la chambre de Jean Paul,m'assura de ne pas avoir de flesh et le prix en photo.
Je pris un sac avec mes vêtementsrrrr mon téléphone et le doudou de Soumicha avant de m'en aller. Il devait-être au alentour de 2h du matin. Je vais au coter passager de Valentin. Valentin m'expliqua qu'on avait 7h00 de route,de Tokio jusque Kanazawa. Arrivé a Kanazawa on devrait prendre un bateau. Et on aurai 2jour de bateau. Je m'endormais lentement tout doucement pendant que Valentin me parlais d'horaire.
*
5h00 du matin
Je me reveillis doucement à cause de la lumière qui traversais la fenetre. J'ouvris un oeuil et je voyais le soleil se lever. J'ignorais quel heure il était alors je m'asseya correctement pour regarder sur le GPS l'heure indiqué. Quoi il étais 5h00 du matin déjà! Je pensais qu'il serait 8h00 moi! Je n'ai dormis que 3heure. Mais bon je n'étais pas fatiguée.
-On arrive dans 4h00 me dit-il en ne quittant pas les yeux de la route.
Je remarquais qu'il avait garder son costume. Dessus il y'avait une petite carte avec écrit dessus: «Valentin Delar». Je souris en voyant ça.
-Pourquoi tu souris me demanda-il?
-C'est idio mais tu a le meme nom de famille que... un amis Whalter.
Ses yeux s'écarquillèrent
-Whalter...Whalter Delar
-Heu oui. Dis-je en essayant de comprendre.
-Oh mon Dieu comment vas-il tu le connais ?
-Heu oui mais comment vous le connaissez ?
-Je suis son père.
Donc c'étais lui qui l'avait abandonner et l'avais laisser périr chez sa tante. Mon corps de referma violemment.
-Comment vas-il pronnonça t-il comme une dur labeur ?
-Il est mort...
Des larmes jayssèrent de ses yeux. Mes poing se déssèrerent et de la compation commençèrent a m'envahir. Mais il avait peut-être des réponse a mes questions. Ce collier appartiens a Whalter dis-je en montrant du doigt le collier. Dedans il y'a une photo de moi bébé. Savez-vous pourquoi.
-On vas s’arrêter pour acheter un café et je t'expliquerai tout.
*20minutes plus tard station d'essence
-Voilà Lienli,si j'ai fais tout ça c'est parce-que je suis ton oncle
Mes yeux s’écarquillèrent. C’était un membre de ma famille. Et donc son fils était mon cousin. C'est pour ça que je l'aimais tant. Si seulement il n'était pas mort...
-Êtes-vous sur de ce que vous avancer ?
-Ton nom de famille est bien Lezuras?
-Heu oui
-Alors oui nous sommes de la même famille.
Je ne savais pas quoi dire a se moment là.
-Pourquoi avez-vous pris autant de temps à le me le dire.
-Je n'étais pas meme moi sur que c'étais le cas. Et tutoie moi s'il te plait.ma niece
J'étais en contact avec quelqu'un du meme sang que moi !
-On se remet en route on à encore 1h30 de trajet. Mais en effet on se ressenblais. Nous deux ressemblion à ma grand-mère et donc sa mère. Une peau pàle presque sans imperfection et des cheveux noir entre bouclés et ondulés. On quitta le café et prirent place dans la voiture. La voiture démarra.
-Tu comptes faire quelque chose quan tu arrivera angletterre ?
-Je voulias faire le tours du monde. C'est pour ça que j'étais a Tokio.
-J'aimerai que tu reste au moin un peu a la maison en Angeleterre avec ma femme et moi. Juste pour faire une pose dans toute tes aventures.
J'haussai les épaules. Il n'avait pas tort j'avais besoin de repos.
-Ok si tu veux,mais j'ai une question,comment sa se fait que je ne t'ai jamais vu dans des repas de famille ou que nous n'ayons jamais eu l'ocasion de se voir alors que tu es mon oncles. Tu n'es pas un cousin éloignés,jutse la soeur de mon père.
-Enfait si tu veux tout savoir il y'a eu un schisme. Et la famille c'est coupé en deux. Un jour ton grand-père est parti en Australie pour retrouvé une perle mauve très rare. Normalement,la société Australienne confirmais qu'elle avait été complètement perdu et qu'elle étais introuvable. De plus qu'elle étais dangereuse . Il était très courageux et n'yy croyais pas. La foret dans laquel on trouvais la perle mauve à été baricader et interdite à l'entrée. Greg,c'étais comme sa qu'il s'appelait. Dit-il en ravalant ses larmes. Il a toujours dit que les règles sont faites pour etre enfreinte.
-Et ensuite ?
-Les autorités Australiennes l'on retrouvés et l'ont torturés et suite a quoi il est mort. On en a parlé au repas de famille. Il y'a eu des histoires apres ça tes grand-parents du cotés de tas mère trouvait qu'il méritais d'etre tuer ainsi que tes parents. Nous,de l'autre cotes étions pour Greg.
-Pourquoi mes parents ne m'ont jamais parlé de Greg ?
-Vas savoir,ils savent peut-être qu'ils ont tort me dit-il avec les yeux humides. Nous sommes arrivés dans 10minutes Freddy me chuchota à l'oreille.
-Se que c'est touchant cette histoire.
Je lui souris contente d'avoir pu avoir des explication sur ma famille Tout ça étais trop complexe. Au moins je viens d'apprendre que toue ma famille n'etais pas comme ça. Je me rendormi quand soudain je senti une main me tapoter l'épaule.
-Nous sommes arrivé Lienli.
J'ouvris doucement les yeux et quel fut ma surprise en constatant que devant nous il y'avais un bateau énorme. Cela ressemblais presque à une croisière
-Désolé,comme nous sommes partis en éxprès ducoup le bateau n'est pas très grand
-Vous rigolez?
-Non et au fait on est de la mm famille alors je tiens a se que tu me tutoie.
-D'accord.
Soudain la voiture entra dans le grand bateau. On se gara et quitta la voiture. Nous arrivons sur le ponton où je vis pour la derniere fois Kanazawa. J'étais dans mes pensés quans soudain Valentin s'approcha et dis-je.
-Déjà nostalgique haha?
-Ducoup j'ai pas pu bien profiter du paysage car j'étais casiment rien vu a part pour aller au Gala et e revenant de l'aéroport. Mais ça semblait etre beau. Peut-etre reviendrai-je ici dans 40ans haha.
Valentin souris et dis doucement
-Je vais à la cafetaria me chercher un autre café,je suis crevé. Tu veux un truc?
-Non merci
Il s'en alla et disparu de mon champs de vision. Je regarda devant moi-Pas de Jean Paul en tout cas dis-je sérieusement. Mais j’aimerais Bien revenir quand je serais plus vieille,c’est un joli pays.
-Mhouai c’est vrai,je vais à la cafétéria chercher un café,tu veux quelque chose ?
-Non merci c’est gentil. Je regardais par la barrière la mer avec Comptenpmation. Je me le cachais mais Jean Paul allait me manquer. Soudain je reçus une notification
T’es où ????????
Au revoir JeanPaul
Utilisateur bloqué
Je souris,heureuse d’avoir bloqué sont numéro. Soudain j’entendais Le moteur grondé. On allait enfin démarrer!
Valentin arriva avec sont café
-enfait j’avais vrm faim ducoup jnai aussi pris une grande pizza tu peux m’aider A la manger ?
-haha ok. Nous nous installons sur des place,toujours sur le ponton.
Nous priment une part de pizza
-Il était comment Greg ?
-Haha,c’etais un bon gars,il aimait beaucoup les enfants. Il était très drôle et au repas de famille il faisait rire tout le monde. Sauf….t’es parents. Il avait un emblème, l’aigle,tu as déjà remarqué que sur t’as maison y’a Déjà remarqué que t’avais un pigeon,j’acquiessa. C’etais un signe pour ce moquer de Greg,car les gens l’appelait L’aigle et tes parents le pigeon pour l’humilier. Ça le faisait rire,il aimait beaucoup l’humour.
Il faut une petite pause avant de le regarder puis le médaillon de son fils. C’est à wh…whalter…
-oui,à l’intérieur Il a mis une photo de moi bébé.
-quand vous étiez jeune vous étiez proche vous jouiiez constamment ensemble et c’etais le drame pour vous séparer ahaha.
jé bus ces paroles comme un breuvage rassasiant. Mais après le Schisme vous ne vous êtes plus Revu. Enfin si mais pas dans le même cadre que quand vous étiez petit. Sans même sans rendre compte on avait fini la pizza qui étais vrm très bonne.
-Eh Lienli ça te tente un petit saut dans la piscine ? Dit-il avec un large sourire.
-Oh oui,mais…je n’ai Pas de maillot. Doit yen avoir au magasin en bas.
Une nouvelle vie
Nous descendîmes ensemble dans la grande avenue avec dés magasin pour tout les gout.
-après je pourrai aussi t’acheter d’autre vêtements. Mais concentrons nous d’abord sur le maillot.
Après quelque essayage nous trouvons un jolie petit maillot. Puis nous sortons de l’autre côtés de l’autre côtés du ponton Ce trouavit une énorme piscine avec des toboggans De partout. Je le regarde admirativement.
-Bon bah on vas s’amuser !
Nous avons passé tout la journée A rigoler et bronzer sur des transats. C’etais la meilleure vie. On avait une cabine à nous avec un lit superposé. Après cette journée on étais explosé on s’était Trop amuse et on étais très fatigué. En haut dans mon lit j’installas Des réseaux ainsi qu’une Application Pour regarder des films et séries
-Eh Lienli vient je vais te montrer la trajectoire qu’on vas faire pour arriver en Angleterre.
Je descendis du lit et pris mon téléphone avant de lui montrer la Maps sur mon téléphone. Je lui donne mon téléphone. Il le pris dans ses mains avant d’écarquiller Les yeux et Dis rapidement: «merde». Il avait l’air Sérieux.
-Prend la carte de SIM dans ton téléphone m’ordonna t-il
-la quoi?!
Il souffla et pris mon téléphone dans ses mains et retira la carte de sim ouvra la fenêtre jette le téléphone par la fenêtre.
-C'est bon c'est fait
-Pourquoi t'as fait ça?!
-Jean Paul te géolocalisais jusqu'à maintenant maintenant il sais qu'on est dans un bateau direction Hangzhou. Il vas sûrement prendre le prochain bateau,je vais regarder il passe dans combien de temps.
Je culpabilisais,Jean Paul ne fais jamais rien avec pur Gentillesse Valentin qui avait remarqué que je culpabilise s’arrêta de tout mouvement et souris et dis.
-T'inquiète c'est pas grave il est pas si intelligent. Donc rassure toi il nous pistera pas. Je me préoccupe d'autre chose là,mon ventre!. On vas au resto?
-Haha Ok
Il se comportais comme si il était mon propre père. Je le sentais vraiment bien. Mais j'avais l'impression d'avoir dis cette phrase un peu trop de fois. C’était géniale on étais là assis su une table avec un brin de soleil juste agréable avec un paysage marin merveilleux a rire.
Après ça nous rentrons dans nos chambre nous nous dîmes bonne nuit et dormons.
Le lendemain matin,je senti une mains tapoter mon épaule.
-Lienli,il est déjà 12h réveille toi.
Je me redressa les cheveux en batatailles
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