SOLEIL
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Je ne puis qu'ardemment désirer mon soleil,
Puisque ses caresses n'ont nulle autre pareil.
Ses rayons de chaleur fendent la brise et dansent,
Puis transpercent mon cœur, comme une providence.
Derrière ma peau, esseulé sans aucun pouls,
Bat de nouveau la chamade d'un rythme fou ;
Le rouge palpitant, à la flamme qui prime ;
Irradiant à son tour de l'amour sublime.
À la blonde lumière.
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