« Il vaut mieux être seul que mal accompagné »
Ce proverbe est vrai lorsque l'on est jeune car on doit vivre à sa façon et faire ses propres expériences. Mais lorsque l'on vieillit, c'est une autre histoire...
Seul, il faut être robuste, courageux, faire face aux épreuves. Ce n'est pas toujours simple.
La solitude est selon moi associée à la fin de vie. On se retrouve seul(e) parce qu'on a perdu son conjoint(e) ou ami(e). Disons la personne avec qui on partageait sa vie.
La solitude est pesante car on a beau parfois aimer le silence, souvent il est embarrasant. Ne plus pouvoir parler à quelqu'un mais seulement à son chat, à son chien, à son poisson rouge. D'un côté, l'animal n'est pas contrariant et il ne nous contredit pas. C'est pratique. On peut tout lui dire. Mais il ne faut pas attendre de réponse. Les échanges ne sont pas possibles.
Laisser la radio ou la télé allumée pour avoir « une compagnie ».
Je plains les personnes âgées qui sont dans la solitude. Si au moins, elles ont la santé, c'est déjà ça...
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