Les 5 mousquetaires: point de vue du Comte
Voilà, je me décide enfin à écrire. J’attendais le bon moment, le déclic et le voila. Je brûle depuis ce matin d’extirper mes pensées de ma tête et de les transmettre au monde. Musique grisante et coeur battant me voila parti. Je me présente, je suis le Comte du Comptoir, William pour le King. Par où commencer.. Ayant vécu diverses épreuves dans ma vie je me suis juré très jeune que cette dernière ne me vaincrais pas. Qu’elle ne viendrait pas à bout de mon amour pour elle, et bien que par moment, je l’avoue je me suis retrouvé chancelant j’ai toujours fait de mon mieux pour tenir la promesse que je m’étais faite tant bien que mal. J’ai toujours eu le sentiment, peut être commun à l’humain pour se rassurer dans son conformisme que j’étais un être promis à de grandes choses, plus qu’une certitude, c’était un devoir envers le monde et le hasard qui m’a crée. Et avant de faire de grandes choses, je me dois d’abord de devenir un homme exceptionnel dans sa nature. Que l’excentricité, la bonté et l’étrangeté soit gravé dans mon âme et que mon aura déborde sur les personnes m’accompagnant pour les changer à tout jamais. Je dois gravé ça dans mon âme donc je me dois d’être sincère envers moi et le monde. Si je met un masque le monde le verra. Et même si pour le moment je ne suis pas encore ce à quoi j’aspire et que cette aura n’est pas aussi extra-ordinaire que je le voudrais je la fais évoluer en gravant minutieusement chaque changement en elle. Et plusieurs personnes que j’ai rencontré assez récemment, en attisant le feu ardent que je sens à chaque fois que je vois les formes hasardeuses d’un arbre et de ses branches, un oiseau intrigué par une existence qui nous sera à jamais inconnu et dont seul lui connaît le secret, un regard dont on ne peut percevoir que la surface des pensées mais qui transmet malgré tout des émotions si personnelles que l’on ne comprendra jamais totalement, ce que j’entends en laissant le souffle du monde accompagné ma vie et quand je ressent une atmosphère, une ambiance, inaudible à la majorité mais tellement belle et grisante quand on sait l’écouter. Ouvrez vous aux monde chez lecteurs changez votre regard et votre sensibilité votre feu vous le rendra en brûlant, brûlant, brûlant.. Je m’égare. Qu’il est difficile de suivre ses pensées sans partir du point d’origine.
Mais il faut comprendre l’importance de ce feu qui s’apparente à mes yeux au fameux sacré dont m’a parlé le King dans un pub il y a deux jours.
Donc, j’allais vous parler de ces deux magnifiques personnes aussi envoûtantes qu’intrigantes.
Je ne vous parlerais que de ces deux personnes qui d’ailleurs sont celles qui ont écrit les textes adjacents car ces derniers temps, bien que ce fût le cas avant, elles revêtent une importance toute particulière à mes yeux de par leur feu que je retrouve en moi et me permettent d’évoluer dans une si belle direction.
Voyez braves gens ! Voyez cet homme ! Marchant fièrement sur la pointe des pieds comme pour rapprocher la hauteur de son corps à celle de son âme ! Cet homme que rien n’arrête et qui ose montrer sa joie et qui, d’un air de défi aux reflets humains sans profondeur veut leur montrer qu’il sera un bien grand homme, et que cet homme brûle et que sans même le connaître ses flammes sont trop importantes pour passer outre.
Je tiens à m’excuser si ce terme devient redondant mais je vois vraiment cet homme comme mon frère de feu. Ce feu dont je parle depuis le début. Ah son apparence ? Quelle importance honnêtement ?
Il est, à mes yeux le compagnon d’aventure et l’ami parfait, nous avons appris avec le temps à nous être de plus en plus sincère l’un envers l’autre jusqu’à dorénavant montrer le plus sombre de notre âme à l’autre sans crainte de se faire juger, dans une parfaite compréhension. Si je suis effectivement sincère avec le monde, j’aurais toujours un moment d’hésitation dans certains propos, moment qui malheureusement, changera définitivement le transfert de mes pensées en paroles. Chose que j’ai pour le moment réussi à étouffer mais pas encore à annihiler. Alors qu’avec lui, c’est une sincérité transcendante. Je ne lui ai sans doute pas tout dit mais je sais très bien que, si l’envie m’en prenais, mon instinct ne retiendrait pas une seule seconde mes pensées. Je sais que notre amitié doit encore mûrir, et si j’avais un souhait à prononcer pour cette dernière, ce serait qu’elle soit à la fois dérangeante pour le monde et que notre feu brûle en symbiose dans une harmonie parfaite. Que nous soyons deux pensées, deux corps, mais bien un seul et même esprit.
Le Duc Du Duché quant à lui, (Dieu que j’aime la sonorité de son surnom) est une personne dégageant l’aura la plus apaisante que je connaisse, Une personne sur qui l’on peut compter en toute circonstances et qui saura, tout en gardant une certaine douceur être d’une grande franchise dans ces paroles. Un homme que rien n’arrête, ce qui pour certains ne seraient qu’un fantasme, une rêverie est pour lui un objectif à atteindre et lui ne s’arrêtera pas avant de l’avoir atteint. L’utopie et la peur de vivre n’existent pas dans son monde. Il ose tout et un jour, si il le souhaite, il pourrait être à la tête du monde. Voilà ce qu’il est, un poète sur son long-board. Un exclus de la peur et un guerrier de la rage de vivre.
A mes yeux, les mousquetaires, notre amitié, a débuté durant un court voyage de 3 jours effectués ensembles. Nos liens, existant mais encore instables se sont renforcés dans la dureté du froid créant cette douleur mutuelle, les interminables discussions nous mettant à nue et dans l’horizon de la route attisant nos feus.
Voilà, je pourrais en dire plus, bien plus mais je préfère garder la suite pour mes prochains textes.
Au revoir et, je l’espère à bientôt autour d’une pinte !
A vivre, à être vivant, et à la vie !
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