À L’époque où les bêtes disent des bêtises ; les biquettes bêlent de plus belle

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Cada matin, dauna Dubois passeja lo can. Qu'ei apelhada de missa .

Autorosa, lo nas au cèu, qu'espia de haut la gentalha. N'a pas un sòu qui valha, tampòc l'aubit que s'aubira, e's cred hòra comun.

A nhaspahaut atau, desdenhosa, Ne ved pas lo garlòp on l'escarpin que's pauhica sobte. La maganha deu trepader davanteja la caduda e lo can s'aigasseja d'aiga viva : saussat.

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Causez-moi biquets et biquettes

Lancé par sortilège

Il existe toutes sortes de niveaux de langages, toute sortes de dialectes, d'argots, de parlers régionnaux.

Garder le texte qui suit et traduisez le en langage châtié des beaux quartiers, en vulgaire langue, dans votre parlé régional ou en ce que vous voulez.

"Chaque matin madame Dubois proméne son chien. Elle est apprêtée comme pour un dimanche de messe.

Hautaine, le nez pointant vers le ciel, elle toise la foule ordinaire. Elle, qui n'a pas un sou vaillant, ni l'intelligence qu'elle imagine, se croit hors du commun.

À lever ainsi le menton, dédaigneuse, elle ne voit pas la flaque d'eau où son escarpin s'enfonce brusquement. Le défaut du trottoir entraîne sa chute et le chien prend l'eau jaillisante : il est trempé."

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