Je redresse le visage, puis lève les yeux vers le ciel pour en admirer toutes les couleurs, les textures, les différents tons – ceux du ciel, mais aussi ceux des nuages – admirant au passage la danse des petites feuilles de cet arbre bientôt centenaire, de ses branches solides et souples à la fois, mais aussi le ballet gracieux des oiseaux, celui parfois improbable des insectes, sans oublier le bruissement du vent que je ressens dans mes longs cheveux et que je distingue autour de moi ; la nature est si belle, lorsqu’on ouvre les yeux et qu’on l’admire avec son cœur.