Luxure I

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Noémie se cachait sous ses draps. Elle avait froid et cherchait par tous moyens de se réchauffer comme elle le pouvait. Dans son pyjama difforme, qui ne mettait guère en valeur son corps jeune et si adulte a la fois, elle ne cessait de caresser son con. Ses doigts frottait doucement ses lèvres et son clitoris, multipliant les vagues de chaleur. Sa main libre caressait ses seins, démesurément développés pour une fille de son âge. Elle empoignait fermement sa poitrine, la pétrissait en silence et appréciait son plaisir monter à toute vitesse.

Elle retenait son souffle, tâchait de se faire discrète. Elle ne voulait pas être entendue, ni surprise. Son oncle et sa tante dormaient dans la chambre voisine, mais cela ne l'inquiétait pas. C'était son cousin, qui dormait dans le lit voisin, qu'elle ne voulait pas réveiller par ses gémissements. Aussi, elle avait enfoui son visage dans un oreiller pour étouffer les cris qu'elle laissait parfois échapper tant le plaisir était fort.

Entre deux bruissements, elle entendait un tapotement, un son régulier de peau contre peau et un souffle rauque. Elle arrêta ses caresses pour écouter, et alluma sa lampe de chevet. Elle découvrit Thibault, son cousin, a demi-nu, le sexe en main et le pantalon aux chevilles. Il avait repoussé la couette à ses pieds, comme s'il voulait être vu, comme s'il voulait être surpris dans ses caresses. Il regarda Noémie dans les yeux, sans lâcher son sexe ni stopper ses va-et-vients. La jeune perverse ne cessait de regarder le sexe tendu qui, elle l'aurait juré, l'appelait. Elle voulait le rejoindre et l'aider dans sa besogne, mais elle se contenta de lui lancer :

  • Je rêve ou tu te branles à côté de moi ?
  • Et toi ? Tu ne te caresses pas la fouf', peut être ?

Noémie prit conscience de ses doigts qui n'avait pas quitté ses lèvres et avait même commencé a glisser entre elles. Ensevelie sous les couvertures, elle transpirait de désir et son sexe coulait à flots. Son visage brûlait de plaisir. Elle glissa sa main libre sur ses mains qui la réclamait et jouait avec ses tétons, ses deux noisettes saillantes et dures, qui ne réclamaient que son attention. Le souffle saccadé, elle continua comme si rien n'était :

  • Je n'ai pas le droit ? Je suis invitée, après tout, je n'ai pas quelques privilèges ? Come par exemple, te voir faire d'un peu plus près ?

Noémie s'écoutait parler comme s'il s'agissait de quelqu'un d'autre. C'était son con qui s'exprimait, ce fruit ardent qui réclamait n'importe quoi qui pourrait nourrir sa faim de sexe et de caresses.

  • Rejoins-moi. Allonge-toi a côté de moi, chevauche-moi, fais ce qui te chante, mais donne-moi un coup de main, supplia Thibault.
  • J'ai froid, je ne peux pas sortir de sous cette couette.

Sans un mot, il se leva, se débarrassa de ce qui lui restait de pantalon et s'installa à califourchon sur le ventre plat de Noémie. Il caressait toujours son sexe qu'il plaçait face au visage de sa cousine. Elle n'avait jamais vu de sexe d'aussi près. Elle n'en avait même jamais vu en vrai. Elle avait assouvi sa curiosité grâce à internet et l'anatomie masculine n'avait aucun secret pour l'adolescente de quatorze ans. Elle observait de près la verge tendue face a elle, ses veines saillantes et le gland, rose et humide qu'elle apercevait entre chaque caresse dont Thibault se gratifiait. Elle ne cessait de jouer avec ses tétons, bien au chaud sous ses couvertures. Son cousin voulait en voir plus, et arracha d'un geste sec les draps, dévoilant les seins de l'adolescente. Elle se plaignait d'avoir froid. Thibault porta ses mains brûlantes à la poitrine généreuse de sa cousine. Voilà des années qu'il admirait ses volumineux attributs et qu'il les imaginait secrètement. Il jouait avec allégresse avec les téton dont il avait tant rêver, pétrissait la chair molle et enveloppante. Noémie saisit la verge qui restait tendue là, seule et délaissée au profit de ses seins. Elle entama quelques caresses et, sans crier gare, Thibault explosa de tout son corps sur la poitrine et le visage de sa cousine, déversant tout son flot sur elle. Noémie, elle, ne réalisa pas ce qu'il se passait. Elle poursuivit ses caresses jusqu'à en extraire la dernière goutte du sexe en éruption.

Une porte s'ouvrit à la volée, laissant entrer un rai de lumière jusqu'au lit où Thibault se dressait cul nu au-dessus de sa cousine. Noémie reconnu de suite la voix de sa tante, dont le cri d'horreur déchira les râles de jouissance de son fils.

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