Un weekend inoubliable : Samedi, fin de journée…

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Elle sursaute à chaque instant de suspense, se serre contre moi avec ardeur, ma main caresse maintenant ses cheveux, passant sur sa joue. Je sens son sourire, son bonheur, mais aussi ses tourments, je sais qu’elle est heureuse ici à cet instant, mais aussi que lorsque ce weekend sera fini, elle retournera à sa vie de peine et de tristesse.
Ma main glisse maintenant sur son dos, je la sens frissonner contre moi, je suis si bien avec elle, elle m’apaise, me calme, et je me retrouve enfin. Je caresse son dos, de haut en bas, et ses mains viennent se poser sur mon torse, me caressant à leur tour, elles passent rapidement sous mon t-shirt, venant découvrir ma peau tiède, et je tremble moi aussi.
Elle glisse contre moi, remontant légèrement pour poser ses lèvres sur les miennes, la valse reprend de plus belle, j’adore nos baisers, c’est la première fois que ça me fait cet effet. Elle s’installe à califourchon sur moi, ne décollant pas ses lèvres des miennes, mes mains glissent sous son débardeur noir, et remontent sur sa peau douce, jusqu'à l’agrafe de son soutient gorge, je reviens en arrière, ne voulant la brusquer et passer pour ce que je ne suis pas.

Elle s’allonge alors sur moi, ses seins contre mon torse, son bassin collé au mien, ses mains caressant mes cheveux et mon visage, les miennes descendent sur ses petites fesses rebondies, des fesses de jeune fille, fermes et attirantes que je malaxe avec envie.

« - Hey, les jeunes hommes bien élevés ne font pas des choses pareilles…
- Ah bon ??? T’es sûre ?
- Il me semble oui…
- Tant pis alors… Je suis pas un jeune homme bien élevé…

J’en profite pour la pincer tendrement.

- Hey !!! Mais tu es vraiment malpoli…
- Possible en fait. Nonobstant, il nécessitera de vous en accommoder gracieuse damoiselle. C’est là que j’ai vraiment compris que nous étions faits l’un pour l’autre
- Diantre, ce ne sont point là des agissements décents…
- Faisons fi de ces banalités et profitons-en pour absorber une agréable collation.
- Et qu’avez-vous ainsi à me proposer gent damoiseau ?
- Mais tout ce que vous désirez gente dame… »

Je ne peux pas terminer ma phrase et éclate de rire, voilà pourquoi elle me plait tant, non seulement elle est jolie, gentille, bien élevée, mais en plus elle est aussi tarée que moi, elle me suit dans mon délire, y prenant plaisir, alors que le moment paraissait si tendre, calme et sensuel.
Je quitte donc le canapé, alors que le film tourne toujours, et file à la cuisine.

« -Chocolat chaud, thé, bière, coca ?
-Heu… Coca pour moi !
-Ok »

Je prépare les boissons, un coca et une bière, et la rejoint au salon, attrapant au passage un paquet de pop-corn sucrés. Je m’installe, adossé au mur, elle vient s’installer entre mes jambes, le sachet de friandise entre le siennes. Je coupe le film, ayant loupé une bonne partie, et zappe cherchant un programme intéressant, et nous tombons d’accord sur une chaine musicale diffusant un documentaire sur Marilyn Manson.
Je me penche, attrape un cendrier et mon paquet de cigarettes et en allume une, elle m’en prend une. Nous partageons nos avis sur le documentaire en expédiant les gourmandises.
Mes mains ne tardent pas à reprendre leurs agissements dorsaux, qui se transforment bien vite en un massage délassant.

Les bretelles de son débardeur, et celles de son soutient gorge s’avérant bien gênantes cela ne la perturbe pas que je les fasse glisser le long de ses bras, me laissant ainsi accès à ses épaules nues, si sensuelles, attirantes.
Les trouvant gênantes à son tour, elle les fait donc passer sous ses bras, libérant un peu plus ses mouvements.
Elle se détend, soupire de bien-être, se laisse aller à quelques encouragements à mon égard.
Mes gestes se font plus puissants, plus insistants, descendant le long de sa colonne vertébrale, mais la position n’est pas pratique. Elle quitte donc mes jambes et s’allonge sur le ventre, me laissant accès à son dos. Je file récupérer un peu d’huile d’amande douce, histoire de réduire les sensations de frottements, et m’installe sur ses fesses, mes mains reprennent leur travail, allant de ses épaules à ses reins.
Mais une barrière subsiste, en la présence de son haut, et de son soutien-gorge. Je le lui fais gentiment remarquer, et elle m’autorise à lui enlever son débardeur, et dégrafer son soutient-gorge, mais c’est elle qui me surprend et le retirant entièrement.

‘Je suis là, assis sur ses fesses entrain de la masser… Elle est allongée sous moi, sur le ventre, les seins à l’air… Ses deux petits seins si appétissants, nus, écrasés sur le canapé… Avec leurs deux petits tétons que j’imagine durcis… Son ventre musclé…J’ai un temps d’arrêt, je divague complètement, faut que je me reprenne…’

Je reprends mes activités manuelles, perdu dans mes pensées, imaginant les sensations qu’elle peut ressentir, je navigue entre ses omoplates et le creux de ses reins, profitant de sa peau douce et chaude, dénouant pas à pas chacun de ses muscles.
Mais c’est qu’elle se laisserait presque glisser dans les bras de Morphée la vilaine, je lui pince une nouvelle fois les fesse histoire de la faire réagir. Elle pousse un petit cri, et se tortille, j’en profite donc pour éprouver sa résistance à la plus douce torture que le monde ait inventé : les chatouilles. J’ai maintenant à ma mercie une véritable anguille, elle ondule dans tous les sens, espérant pouvoir se soustraire, mais je suis plus lourd qu’elle, et elle ne peut que s’avouer vaincue et dans un éclat de rire cristallin elle capitule, j’adore son rire, si clair, si enfantin.

Je relâche mon étreinte et arrête mes caresses, lui laissant reprendre son souffle. C’est là qu’elle me surprend, se retournant vivement, torse nu, ses magnifiques petits seins que rien ne cache, sous mon regard, allongée sur le dos, je ne peux pas en deviner la taille ni la forme, mais ses petites auréoles roses et ses tétons qui dardent vers le plafond ne me laissent pas de marbre.

« - Tu fais quoi là ? Exhibitionniste !!!
- Ben quoi, ça te dérange ?
- J’irais pas jusque-là, mais je suis surpris en fait, gêné, enfin, je vais pas me plaindre non plus.
- Pervers ! Arrête de mater !
- Ben rhabille toi, ou attrape une couverture.
- Non merci, je suis bien comme ça moi. C’est pour ça que j’ai demandé une chambre seule à l’internat, pour pouvoir me promener dans la tenue qui me chante quand je veux…
- Te plains pas si je profite du spectacle alors… »

Et elle éclate de rire, devinant tout de même ma gêne, ma première paire de seins, et oui, je suis débutant en la matière, et en dehors de certaines photos ou certains films pour adultes, les seules paires que j’avais pu admirer étaient celles de certaines femmes d’âge mûr à la plage et on ne peut pas dire que le spectacle vaut le coup d’œil à chaque fois…
Je reste donc en admiration devant elle, ne pouvant détacher mon regard de sa poitrine que pour me plonger brièvement dans ses yeux. Je alors donc ma position dominante, plus par gêne que par timidité, et m’allonge à côté d’elle.

« - T’es une grande malade, j’en suis sûr maintenant.
- Mais non, pourquoi tu dis ça ?
- Ben on se connait à peine, tu te pointes chez moi à l’improviste, acceptes de passer le week-end seule avec moi ici, tu te mets à moitié nue devant moi, avoue que c’est un peu troublant pour moi.
- On va dire que je te fais confiance, pour mercredi j’avais pas spécialement envie de rester enfermée, pour ce week-end, c’était ça ou seule chez mon père, le choix a été rapide, et pour le reste… Je me sens à l’aise avec toi et avec le regard que tu portes sur mon corps, ce que tu m’as dit mercredi m’a fait comprendre que je n’avais pas à avoir peur, et puis Sarah a discuté de toi avec Jéjé, et à priori je n’ai rien à craindre.
- C’est bon de savoir que t’as confiance en moi, ça me rassure. Merci… »

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