Doigts pointés pour seulement se moquer des gens,
Et rire destiné pour décevoir sont aux alentours de moi !
Attaqué indirectement par les moqueries,
Largement lancée par tout une écurie.
Le seul remède pour moi est le silence.
À gauche les provocateurs,
À droite je vois des moqueurs,
Et Je ne sais plus encore par où aller.

Resté seul dans mon coin isolé,
Je garde mon dernier contrôle,
Ça m'aide aussi à avancer devant,
Sans être emporté par tous ces actes.
Ce n'est pas quand-même la fin du monde.
Moqueries successives,tristesses expressives,
En marchant,Je suis critiqué,
Jetté dans la mer,subissant l'injustice.

Entrain d'être noyé,de descendre tout au fond,
Puis soudain une grosse main entra dans l'eau,
Souleva tout un corps,le sauva et l'y faisant sortir,
Avec un câlin de considération et s'en est fini
avec les êtres menant cette opération.

Elle se présenta et dit qu'elle est lumière.
Je l'ai regardée avec mes deux yeux alarmés,
Je la fais un câlin,un câlin tellement précieux.
Je lui ai promis que je serai toujours à ses côtés.
Et j'aimerais raconter tout ça dans ma poésie,
Car le fait de narrer tout ça dans mon slam,
Me laisse avec un sourire au coin de mes lèvres.