Ennemi très cher,

Telle une ortie dans un champ de coquelicot, vous détonnez dans la splendeur de votre laideur que vous eûtes malheureusement attiré mon attention à m'en faire perdre toute joie de vivre.

Votre intelligence n'a aucune égale dans cette abyssale bassesse dans laquelle je vous positionne, que tout son sortant de votre être ne saurait écorner le prestige de mon âme.

La noirceur de votre coeur, vous pourrissant de l'intérieur, ne fera que de s'étendre dans les méandres de l'infime connerie que vous êtes.

Cher vainqueur nauséabond de mon écoeurement, je vous prie de ne plus jamais faire preuve de votre présence vis-à-vis de la mienne pour m'éviter une fin soudaine.

Votre méprisant.