Chapitre 8

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Caleb

Je suis actuellement dans mon bureau, devant le mur spécialement dédier à elle, et à elle seule. Je suis Caleb McLean, je suis à la tête de la famille mafieuse la plus puissante d’Ecosse, je descends aussi d’une longue lignée de chasseurs.

Ma famille à chasser toute sorte de monstre, ça va des vampires (oui oui des vampires), aux loups garous ou aux métamorphes, les fées, les elfes, toute les bizarreries qui ne sont pour vous que des mythes et des légendes sont pour moi une réalité. Nous ne sommes pas les seuls à pratiquer la chasse, nous sommes des milliers à travers le monde, je sais qu’en Ecosse, la plupart de ces bestioles ont disparu grâce à ma famille. Je crois que la seule espèce qui existe encore et qui est pour moi la plus dure à dénicher ce sont ces pétasses de sorcières.

Mon père a dû parcourir une partie de la planète pour retrouver celle dont il fût jadis amoureux parce qu’elle été une sorcière puissante russe, mais cette pute à épouser un écossais avec qui elle a eue des enfants. Je me souviens que mon père avait fait son deuil de ses années où il l’a aimer, car il a épousé ma mère qui elle aussi été une chasseuse, mais quand elle est revenu en Écosse pour une visite avec son mari et ses enfants, la communauté des Chasseurs diriger en partie par l’Église n’a pas laisser le choix à mon père. Il l’a donc suivit en Russie deux ans plus tard je crois (et là vous me demandez pourquoi ne pas le faire directement en Écosse ? bah c’est simple mon père été déjà flic et un meurtre à son actif ça fait pas joli sur le CV). J’avais six ans quand ça s’est passé, quelques jours après nous en avons entendu parler à la télé, parce qu’en plus d’être une sorcière puissante, elle s’est entichée d’un mec appartenant à la mafia russe.

Depuis que je suis petit, on m’a tout enseigné, j’aime ce que je fais, la chasse est juste jouissif surtout quand tu as de gros gibier à choper, comme elle. Mais de nos jours, on ne peut plus chasser comme avant, faut de la patience, c’est pour ça que depuis qu’elle a débarquée à l’aéroport d’Edimbourg je la suis, la surveille. Un de mes hommes la traque à chaque secondes, chaque putain de minute de ses journée, je connais presque tout d’elle, son emploi du temps, ses fréquentations, d’ailleurs parlons s’en de ses fréquentations, ce minable n’est pas pour elle, il ne saurait même pas quoi faire d’une nana comme elle. Ce mec je l’ai en horreur, alors savoir qu’il fait mumuse avec ma proie et loin de me plaire.

Je dois tout faire pour l’amener dans mes filets, je dois la faire mienne, j’ai de grands projets pour elle, tellement de projet. Tous les jours je lui envoie des cadeaux qu’elle renvois, le livreur m’a appelé pour me dire qu’elle refuser tous les présents que je lui fais parvenir, bien sûr je suis au courant j’étais là quand elle l’a fait et ça m’a mis dans une colère noire mais je n’ai pas bouger, je mettrais la main sur elle est à ce moment-là je ne la lâcherais plus. Et là je la briserai pour qu’elle m’appartienne, qu’elle soit mienne à jamais, parce que je jure devant Dieu, jamais je ne la laisserai partir.

En tant que chasseurs, nous sommes liés aussi à l’église, sans elle nous ne saurions pas que tel ou tel personne soit un monstre. On nous donne un ordre de mission, la plupart du temps ce sont des ordres d’exécution, ça faisais longtemps que je n’avais pas refait de chasse. Et franchement, ce petit intermède ordonnai par l’Église, me donne des frissons parce que je sais que la finalité de cette chasse sera d’une jouissance exceptionnelle pour moi. D’après les renseignements que j’ai reçus sur elle, c’est une femme de caractère, toujours pure, et ouais mon gars cette garce est toujours vierge et je me ferai un plaisir de la salir, la remplir de ma semence et pourquoi pas l’engrosser, un enfant avec elle pourrais nous être d’une grande utilité. Rien qu’à l’idée de la souillée je bande sévère, je l’imagine attachée, impuissante pendant que j’abuserai de son corps de déesse. Voilà faut que je baise, merde cette sorcière me retourne le cerveau. Il faut que je prépare un plan, je dois l’avoir, il serait inconcevable qu’elle ne m’appartienne pas.

De ce que je sais, les McLean ont toujours été des chasseurs, ça remonte au temps des premiers rois d’Ecosse, ouais ça remonte à loin. La sonnerie de mon téléphone interrompt ma rêverie.

- McLean.

- Patron, vous m’avez dit d’appeler si jamais elle bougeais de chez elle, et elle est en ce moment au QG des Hell’s Wolf.

- Pardon ? que fou-t-elle la bas bordel de merde ??

- D’après ce que je vois de là ou je suis, c’est un barbecue, son fils et son chien sont avec elle patron.

- Falbh 's tarraing*, continue de la surveiller je veux savoir ce qu’elle fait à tout moment, tu m’as bien compris ?

- Oui patron, attendez patron, une rousse viens d’arriver et ça a l’air de chauffer avec Carter.

- Carter ? ah mais oui son ex-femme, laisse tomber on s’en fou de ça

- Euh boss, votre proie viens d’arriver et l’échange n’a pas l’air cordiale, Carter est en train de s’énerver, et la petite en rajoute… ouah, je n’ai jamais vue ça patron, elle est forte, très forte.

- Pourquoi tu me dis ça ??

- Elle vient de stopper l’alpha des loups, et d’envoyer au tapis la poupée rousse.

- Bien préviens moi s’il y a d’autre soucis.

- Bien boss, je vous ferai mon rapport tout a l’heure.

Je raccroche et m’assois derrière mon bureau en verre, cette pièce est faite de luxe, bureau de verre, vase et tableau coûteux, deux piliers blanc avec des dorures en or, une bibliothèque qui cache bien sur mon coffre.

Je n’en suis pas peu fière, à 35 ans j’ai réussi à monter mon organisation, qui aujourd’hui est plus forte que tout, j’ai la main mise sur tous les marchés que ce pays peux avoir, non pas tous les marchés, il m’en manque un, que je n’arrive pas à avoir à cause de ce stupide président de bikers de mes deux. Le marché des armes me rapporterais beaucoup plus au profit que la prostitution. Ouais avec leur lois, le gouvernement est sur les dents par rapport à ça, même si mon paternel est le commissaire de la police, je ne peux me permettre de prendre plus de risque à ce niveau. C’est là que j’ai eu la brillante idée, pour compenser de faire en plus du trafic d’être humain de rajouter le trafic d’esclave sexuel pour les personnes puissantes qui y mettrons le prix. Bien sûr j’ai mon propre zoo personnel, des femmes que j’ai brisées au fil du temps et qui aujourd’hui feront tous ce que je veux, mais la différence est de taille elles sont toutes humaines. D’ailleurs je vais m’en faire une pour calmer la barre que je me tape depuis tout à l’heure. Je décide de descendre au sous-sol, bien sûr caché et protégé je ne tiens pas à ce que n’importe qui puisse aller n’importe où à sa guise. Une fois dans mon sous-sol, je me dirige vers la porte qui mène à mon zoo, il y a une dizaines de femmes, toute d’origines et d’ethnies différentes, ça va de la plantureuse danseuse brésilienne à la timide japonaise en passant par la française, l’italienne, la slovaque, l’algérienne, la grecque, la libanaise, l’australienne et la norvégienne. Toute avec de fort caractère, que j’ai su détruire pour les rendre malléable à ma guise. Et ce soir je suis bien tenté par la norvégienne Ada, grande blonde aux yeux d’un bleu turquoise, assez grande en taille avec une paire de seins aussi gros que ceux de Pamela Anderson, une taille de guêpe, des jambes longues dont on peut remarquer qu’elle les a entretenue avant de m’appartenir. Elle est celle aussi qui ne se plaint jamais de ce que je lui fais.

Quand j’arrive dans la pièce qui leur est dédiée, elles se mettent toute en rang tête baissée et main dans le dos. Je suis fière d’elles, tellement obéissantes et soumises franchement il n’y a rien de mieux. J’attache ma laisse au collier d’Ada, car aujourd’hui c’est elle que je veux pour me vider les couilles. Une fois fait, elle se met à quatre pattes et me suis comme la bonne chienne qu’elle est, nous nous dirigeons vers ma salle spécial baise hard, elle comporte tous les objets qu’on peut trouver dans une chambre rouge sauf que mon vice va bien plus loin qu’un simple BDSM, j’aime torturer et voir la douleur traverser leurs yeux.

Elle se met en place dos à moi sans que je lui dise et je commence par le fouet, j’aime entendre le bruit du fouet déchirer la peau et claquer contre celle-ci, voir son sang couler me procure une joie immense, je l’entends geindre doucement parce qu’elle sait que si je l’entends je serai beaucoup plus violent. Je fouette une, deux, trois et même jusqu’à dix fois son dos je me décharge de ma frustration, de ma haine. Après je passe à la cire de bougie, pour cela Ada se place à quatre pattes et attends. Je peux voir ses larmes, mais ça me laisse de marbre, j’allume une bougie et me déshabille en attendant qu’elle fonde un peu. Ensuite je me place derrière, prend ma queue bien raide en main et je la place à l’entrée de son vagin, et d’un coup puissant je la pénètre et en même temps je verse la cire chaude sur les plaies de son dos, elle hurle mais je m’en balance comme de l’an 40, je la pistonne sévère, je ne pense qu’à mon plaisir et au plaisir que j’aurais dans quelques temps à casser ma petite sorcière et ça me rend encore plus fou, je me déchaine, mais je change de trou, même si son anus doit avoir l’habitude, elle saigne toujours par la quand je la baise. Au bout de cinq minutes je jouis, je m’écarte d’elle, la jette à terre et je me dirige vers la minuscule salle d’eau que j’ai aménagé dans la salle. Une fois rhabiller, je sors en la laissant en plant.

De retour dans mon bureau, je me remets au travail, il faut que je trouve un moyens pour la coincer, faire en sorte qu’elle ne pourra pas demander de l’aide à quelqu’un d’autre, il me faut un moyen de l’approcher sans éveiller ses soupçons. Et surtout pas celui de ce connard de Carter, il est pire qu’un chien qui se renifle le cul.

Je reprends son dossier avec toutes les infos que j’ai sur elle, Malia Orlov, orpheline de 29 ans, sorcière, mère célibataire et c’est une bosseuse. Je sais presque tout sur elle, sauf d’où elle vient vraiment et qui sont ses parents, c’est la seule part d’ombre qu’il y a au tableau de sa vie. Et aussi la partie de sa carrière en tant qu’avocate au bureau du procureur, son dossier a été scellé et ce qui m’énerve le plus c’est que je ne sais pas pourquoi. J’aime pas les mystères.

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