À mes yeux, tu es la plus belle jolie jeune fille du monde. 

Quand je te regarde, j'ai l'impression d'être aux Balkans.

On raconte que la mer dansait avec le ciel quand tu es née. 

Que les étoiles peignaient le ciel d'un coloris immaculé. 

Que le tout était d'une joliesse impressionniste.

Quand tu as ouvert les yeux, tous les oiseaux fleurissaient de leurs chants par-delà le bord des montagnes et des limites du ciel.

Quand je te regarde, je me mets en danger, de trop aimer, de mourir par amour.

L'étreinte de nos yeux est la liqueur qui coule entre deux étoiles.

Tu es le temps qu'il fait à l'intérieur des quasars, des aurores boréales, des étoiles filantes. 

Tes cheveux en feu, ton teint d'or, ton rire d'airain, tes joues moirent.

Tu es mignonne, ton rire est fait de petits papillons entrelacés et d'abeilles joyeuses.

Le miel de tes hanches, le pimenté de tes accès de colère cachés.

Épris de tes courbes, je vacille entre des rimes éternelles, des songes réels, des émotions crues qui se gravent dans la chair de mon cœur.

J'écrirai pour toi jusqu'à ce que le soleil ne s'éteigne, que la nuit ne revienne et qu'ils s'embrassent en aube, tous les jours, tous les temps, jusqu'à la fin des temps.

J'écrirai pour qu'il te pousse des fleurs dans le cœur, pour tes joues, ton cou, tes cuisses rougissent en chœur.

Quand je te vois, mes yeux se liquéfient d'entrain et mon cœur s'éparpille en l'air. 

Quand je te regarde, j'ai le goût de mille couleurs dans ma bouche et je tombe en moi-même.

Tu es aussi douce que de la vanille.

Je t'écrirai des poèmes avec des lettres qui n'ont jamais existé, je te peindrai en noir et blanc, avec le ciel et la mer.

Je veux être l'Ulysse de l'odyssée de ton cœur

Un jour, assis au bord de ma vie, je t'ai vue rentrée, tu as volé quelque chose et tu es repartie.

Et depuis tu joues avec, tu te trompes, ce n'est pas une flûte.

Tu fais chanter mon cœur.

J'écrirai une nuit pour t'éclairer, parce que je suis de l'intérieur de la nuit, des contrées du songe.