MD comme mirage décollant
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J’ai sonné, le cœur net, au dix-sept, rue d’Cicé. Etonné, mes reufs pèsent le gramme beige pas très net. Carottés, on pense l’être, la MD nous traverse. Apaisés, on s’apprête à danser sans arrêt. Le bien-être, allégé nous affecte jusqu’au sex. Plein d’idées, on devient empathiques, des câlins à nos traîtres, oui cette came, est magique.
La drogue de l’amour est un mirage qui ne tardera pas à faire face à son dark side sans détour. La descente, insultante, encombrante et si lente nous prépare au pire jour. Cette molécule abîme notre tour, on cumule une pénurie de sérotonine et on boude. Le plaisir de vivre est au trou. La technique du rire, elle est floue
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