Révision du Brevet

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Après se soir la ou j'avais envoyé la photo plutôt chaud qu'il avait supprimé, Martin et moi on était de plus en plus proche, mais l'un comme l'autre avions peur et on n’oser pas sortir ensemble.

Non pas a cause de se que les autres penserait, sa on s'en foutée, ses que la fin d'année arrivé a grand pas, on aller devoir passer notre brevet bientôt, et l'un comme l'autre ignoré se qui aller se passer.

On était sur que d'une seul chose c'était que Martin redoublerai si il le raté, et que moi même si je le raté je chercherais un lycée.

En gros on était tout les deux chaud pour sortir ensemble mais on avait peur du résultat du brevet et sa nous empêcher de concrétisé notre relation.

Mais le pire ses qu'on était déjà ensemble sans même s'en être rendu compte, on s'envoyé des messages tout le temps, toujours accompagniez de petit cœur ou de petit mots doux, on se fessait des câlin et passion tout notre temps ensemble.

On était déjà en couple, juste qu'on ne c'était encore jamais embrassé.

Martin était très tendu à l'approche du brevet, les révisions étaient difficiles et il n’avait pas beaucoup travaillé cette année. Contrairement à moi qui avais bien travaillé, surtout du a la mise à l'épreuve du a l'accident mais aussi avant car je ne voulais pas raté mon brevet.

J'ai donc demander a Martin si il accepterai que je l'aide a révisé en venant cher lui.

Après avoir demandé a ses parents, j'ai appris que le père avait rigolé en apprenant qui son fils invité cher lui, il ma même dis en arrivant.

- Après le couteau le pansement ?

- Euh... disons que ses en quel que sorte sa, je dirais plus une pommade cicatrisante.

- M'ouais... sa revient au même.

- Papa ste plait, elle et venu m'aider pour les révisons.

- Vraiment ? Que pour sa ?

- Putain papa qu'es que tu insinue la ? Bon on va dans ma chambre pour réviser.

- Ouais, travailler bien. Sa s'entendait qu'il ne croyait pas une seconde au faite que j’étais venu pour travailler.

Il s'attendait pas a se que se sois moi qui vienne, encore moins que je le propose, et surtout il était persuade que j’étais venu pour coucher avec sont fils en prétextant que c'était pour le brevet.

En arrivant dans sa chambre je vis directement les gands de boxe poser sur sont bureau.

- Ho tu boxe ? Lui ai-je demandé en les prenants.

- Ouais, a mes heures perdu sa m'arrive, mais sa fait longtemps que je n'en n'est pas fait.

Je les et enfiler et j'ai commencé a bougé et faire semblant de le taper comme un boxeur pro, sa le fessait sourire.

- On dirait que tu t'y connais.

- Mon père et gérant d'un club de boxe, j'y et passer la plupart de mon enfance, et un jour j'ai eu envie d'essayé et depuis j'en fais.

- Hoo, sa explique pourquoi tu et si menaçante et tu tape toujours aussi fort, autant physiquement que verbalement.

- Haa non, le verbal je les appris toute seul.

Juste après je lui et donner un légers cou dans la tête

- Bon, on s'y met ? Me demanda-t-il en ricanant et essayant de ne pas s'en prendre un autre.

- Ouais ok.

On se mit ensuite au travaille et on a était sérieux une bonne heure, franchement on avait bien avancé.

Mais plus l'heure passer, plus on ne regarder plus les cahiers et on se regarder mutuellement. Au début c'était juste de petit regard rapide, puis ensuite c'était des regards discret un peut plus long, puis petit à petit ses devenu long, l'un regarder l'autre travailler, réfléchir et parler, puis vise versa.

Et a un moment on ses tout les deux arrêter de travailler pour se regarder droit dans les yeux

A cette instant le temps ses comme figer, j’entendais plus l'horloge de la chambre, je n’entendais même plus mon cœur qui battait pourtant de plus en plus fort.

Puis au bout d'un moment, sans même se concerté, on ses penché l'un vers l'autre en tendant nos lèvres

Et on ses embrasser.

Mon premier baiser.

Se bisous et petit à petit devenu à baiser, puis on a continué, se laissant entraîner part se délicieux moment, nos baiser devenait de plus en plus passionnée et langoureux.

Puis il ma allongé sur le dos sur toute les feuilles de révision qu'on c'était fait chié a réécrire, mais on s'en foutée, se baisé était trot délicieux pour qu'on réussisse a s'arrêter ou comprendre sur quoi on venait de s'allonger.

Se baiser a durée une éternité mais aussi une fraction de seconde, c'était très étrange, le temps c'était comme arrêter et accéléré a l'infini en même temps.

Mais on ne ses pas arrêter la, après m'avoir embrassé les lèvres, il commença à descendre sur mon cou me l'embrassant, sentant mon odeur l'enivrant dans cette passion soudaine.

Moi j’étais comme sur un nuage, me sentant au paradis, mon cœur battait a en déchiré ma cage thoracique, plus il s'approcher de ma poitrine, plus il battait fort.

Mais il ses arrêter avant et il et remonté jusqu'à mes lèvres pour les embrassé de nouveau.

On n'avait rien vue venir, rien prévu, et on était entrain de partir dans une direction ou la fin et facile a deviner. Mais on y aller sans réfléchir, t'elle des ados inconscients qu'on était.

M'emportant dans l'ivresse du plaisir, je l'enlaça dans mes bras pour le serrer contre moi alors qu'il m'embrasser langoureusement, mes jambes s'entortillant au sienne, serrant fortement nos bassin l'un contre l'autre.

Ses mains étaient derrière ma tête et dans mon dos, me serrant sur ses lèvres et contre lui.

Je me mis soudainement à le retourner sur le dos dans un élan incontrôlable, écrasant au passage mes cahiers de cour.

Une fois Martin sur le dos et moi sur lui, j'ai commencer a embrassé a mon tour sont cou langoureusement, mes mains se baladant partout sur sont torse et sont dos, je lui releva le t-shirt pour lui embrassé le torse.

Il enleva sont t-shirt et le jetta sur mon sac se trouvant sur la chaise de sont bureau.

Le voyant torse nue je n'avais plus qu'une envie, tout lui montré, tout lui donner.

Je me redressa et me retrouva a califourchon sur lui t'elle une amazone, et attrapa le bas de mon t-shirt pour l'enlever d'un cou. Mais cette fois je porter un soutien-gorge ne voulant pas avoir de problème cher lui.

Et alors que j'aller l'enlever il m'arrêta et se redressa mettant sont visage en face du miens.

- Attend... tu... tu et sur que tu veux faire sa ?

- Ta gueule.

Je l'embrassa et le coucha sur le dos puis je me remis comme avant en tenant d'une de mes mains sont torse, de l'autre je décrocher mon soutif, le laissant ainsi tomber l'instant d'après sur lui, dévoilant ma poitrine.

Etant sur lui je senti sont pénis durcir rapidement a la vue de mes seins. Je me suis pencher sur lui, posant ainsi ma poitrine nue contre lui, avant de l'embrasser en fessant glisser doucement ma main sur sont torse en direction de sont pénis.

Et sans demander d'autorisation, j'ai faufilé ma main sous ses vêtements pour atteindre directement son sexe déjà tendu et dur, manquant de place.

Je descendis ma tête jusqu'à se membre bouillant et impatient que je le libère.

Quant je le sorti de sont pantalon je vis la taille de se sexe, il était presque aussi imposant que celui de Monsieur Bernard, je dirais même plus long.

Je regarda Martin droit dans les yeux en sortant doucement ma langue, puis je lui lécha le sexe de bas en haut dans un mouvement de langue lent et baveux le fessant devenir dur comme la pierre et gémir sous la sensation de plaisir ressenti.

J'enleva le pantalon de ses genoux et le baissa aussi bas que possible avant de commencer a le masturber doucement d'une main en me caressant le sein de l'autre.

Je le sentais, il était dans tout ses états, il ne savait plus quoi ou comment faire. Mais il réussi à s'asseoir et passer une main jusqu'à mon deuxième seins pour le toucher et joué avec. Quant il ma attrapé le téton entre ses doigts j'ai eu comme une sorte de décharge en moi me fessant gémir sous la surprise, heureusement se gémissement n'était pas trot fort.

Le laissant joué avec mon seins, j'ouvris la bouche et me mis à le sucé avec profondeur, le fessant pousser des gémissements de plaisir des plus excitant. Je le sentais résister a l'envie de jouir trot vite, je sentais son pénis se contracté et vibré dans ma bouche.

Mais il ne réussi pas à tenir longtemps la pression et éjacula dans ma bouche et sur mon visage.

Il aller parler, surement pour s'excuser, mais je mis ma main devant sa bouche, puis je les regarder droit dans les yeux en m'essuyant de l'autre main le sperme se trouvant sur mon visage et après suçant mes doigts, se regard voulait dire "t'ai toi et fessons l'amour".

Je m'allongea sur le dos en virant toute nos affaires parterre, enlevant rapidement mon pantalon et ma culotte pour me retrouvé nue devant lui.

Me voir nue lui donna un second souffle. Mais alors que je m’attendais a se qu'il me pénétré et qu'il prenne ma virginité, il ses baisser au niveau de mon vagin et ses mis à me lécher.

La seconde ou sa langue et rentré en contact avec mon intimité j'ai poussé un gémissement sous la surprise de cette sensation surprenante, et celui-ci ses possible que quel qu'un les entendu.

Gardant ma main sur ma bouche, il continua de me lécher, chaque cou de langue était tellement délicieux !

Cette chaleur, cette texture sur mon intimité, sentir sont souffle chaud contre ma parti la plus intime, puis quant il bougé la langue, hooo c'était un novice mais étant la première fois qu'on me lécher sa ne fessait aucune différence.

M'écrasant la bouche pour ne pas hurlé de plaisir, mes yeux se révulsant a chaque cou de langue, mes hanches bouger toute seul, se contractant violemment fessant venir petit à petit mon orgasme.

Mais il senti le cou venir et juste avant que j'ai mon orgasme, il me mit sont coussin sur la tête pour que j'étouffe le bruit avec, puis, pour m'achevé, et ayant surement vue sa dans des vidéos porno, il enfonça sa langue dans mon vagin me fessant perdre la tête et avoir mon premier vrai orgasme de ma vie.

Hurlant dans l'oreiller et tremblant comme une feuille, je n'en pouvais déjà plus et il ne m’avait même pas encore pénétré.

Sur se cou la il fut sois impatient sois intelligent car, après l'orgasme une femme et très très sensible, et donc la pénétré après multiplie les sensations et sa peut faire mal si ses trot brutal.

Mais étant dur comme du béton et tendu comme la tour Eiffel, il me pénétra peut de temps après mon orgasme.

Heureusement il n'y et pas aller comme un bourrin et il y et aller petit à petit car il savait que la rupture de l'imène dans certain cas peut faire mal, merci les cours d'SVT...

Quant mon imène se déchira je ne ressenti pas vraiment de douleur, se fut comme si je m’étais pris une châtaigne en touchant un objet métallique.

- ça va ? Me demanda t'il m'entendant soudainement gémir alors qu'il me pénétré.

- Oui, continue...

Il continua de s'enfoncer en moi, et une fois sont sexe entièrement en moi il commença a bougé, c'était de petit cou, doux et hésitant, étant notre première fois a tout les deux... enfin moi j'avais déjà eu un avant goût mais je n'avais pas était jusque la.

C'était étrange de vivre sa, ressentir se long pénis en toi, chaud et dur, rentrant et sortant, c'était très agréable et perturbant a la fois, au début j'ai eu du mal à me laisser emporter part le plaisir, mais a chaque cou s'enfonçant en moi je m'y abandonné un peut plus.

Nos lèvres s'entrelaçant et nos langue l'une contre l'autre, on était heureux et ne pouvais l'être plus a se moment.

On continua de faire l'amour jusqu'à sont deuxième orgasme qui ne fut pas très long a arrivé, il sorti bien avant sont sexe de moi, déjà que nous le fessions sans aucune protection il ne fallait pas qu'il me mette enceinte, il alla jusqu'à l'orgasme a la main et éjacula sur mon ventre.

Après se moment exquis, on ses nettoyé comme on le pouvait et on a remit nos vêtements.

Mais avant que je remette mon soutient gorge, Martin attrapa mes seins et les toucha, n'ayant pas pris le temps de les toucher pendant l'acte.

- Tu les a finalement vue en vrais, la preuve tu les a dans les mains.

- Oui, et sa en valait largement la peine.

Souriant, je les embrassé en posant ma main sur sont entre jambe.

On était enfin officiellement ensemble et plus vierge. Sont père ses rendu compte de rien car il c'était endormie sur le canapé bien avant qu'on commence a s'embrassé et Martin la réveiller pour qu'il me dise au revoir lors de mon départ.

Pour se qui fut des révisions bas... on ses bien revue une fois ou deux mais... disons qu'on a fait 50% de travaille et... 50% de plaisir.

Baaa faut nous comprendre aussi, on venait de découvrir le plaisir des relations sexuel et plus on le fessait plus c'était bon donc bas on continué, mais cette fois on était protéger, ses moins agréable je trouve, ses moins plaisant mais je préfère éviter les maladies ou d'avoir une surprise dans le tiroir a bébé...

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