3/4. Un réveil très agréable.

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C'était au petit matin que Matteo fut brutalement réveillé par un rayon de soleil qui passait à travers le volet défectueux de sa chambre. Il grogna, frustré d'être une nouvelle fois réveillé trop tôt à son goût, mais son humeur s'adoucit lorsqu'il posa les yeux sur la femme de ses rêves à ses côtés. Adriana sa femme depuis peu, qu'il n'aurait jamais pensé séduire mais qui au final avait rapidement succombé à son charisme, son intelligence et surtout à son humour constant, elle était sur un autoroute du rire avec lui. Il la regardait avec un sourire niais sur le visage. Pour lui, elle était la plus belle créature au monde et il profitait chaque jour de cette vue au petit matin, Adriana endormie, détendue et nue à côté de lui. Son visage doux et enfantin mais à la fois sensuel aux allures de femme fatale, sa petite poitrine si mignonne qu'il aimait caresser et lécher tendrement pour rassurer sa femme complexée par celle-ci. Et ses longues et fines jambes dont il avait rêvé chaque nuit depuis sa rencontre. Il remit délicatement en place une mèche rebelle qui tombait sur le visage de sa femme. Cette dernière se réveilla après avoir senti une chatouille sur son visage, c'était la respiration de Matteo.

"Bonjour ma belle, bien dormi?

-Bien dormi et réveillée très agréablement. Tu as encore eu le soleil en pleine face, c’est ça ?

-Ouais."

Elle pouffa de rire, se moquant de lui comme chaque matin depuis quelques semaines, ce qui fit fondre le cœur de Matteo.

"Ne te fous pas de moi ! Ces saloperies de volets vont jamais être changés si le propriétaire ne bouge pas son cul.

-Oh mais c'est que monsieur est grognon et vulgaire ce matin ! On va arranger ça."

Matteo n'eut pas le temps d'assimiler les paroles de sa femme que cette dernière s'était déjà faufilée en ricanant sous la couette.

Quelques courtes secondes après, il sentit un souffle sur son sexe puis deux mains se poser dessus.

"Adri, ne commence pas la torture du grand matin."

Il l'entendit une nouvelle fois ricaner puis sans prévenir elle commença à jouer, laissant ses mains se promener sournoisement sur le sexe de son mari, qui était déjà excité avec seulement quelques effleurements. Il sentit tout son sang commencer à se concentrer dans sa région sud et il se retint de lâcher un gémissement.

Bien décidée à jouer, Adriana prit fermement mais délicatement en main le sexe de son mari puis le massa de haut en bas dans une cadence lente parce qu'elle savait à quel point Matteo se sentait tout autant excité que torturé de cette cadence. Elle frôla de sa bouche le bout de son gland, le mouillant très légèrement puis souffla dessus.

La respiration de Matteo se coupa, puis il respira de façon saccadée, indiquant à Adriana que sa torture fonctionnait. Elle augmenta la cadence de ses mouvements, ajoutant sa bouche et Matteo ne put se retenir de grogner d'aisance. Il souleva la couette pour voir sa femme en action, la voir s'activer sur son sexe l'excitait encore plus. Elle le savait, alors le regardait intensément pendant qu'elle s'affairait à lui donner du plaisir.

Après quelques minutes, il sentit qu'il allait venir mais il était hors de question pour lui de ne pas faire l'amour à sa femme. Il prit alors les devants, la ramenant vers le haut du lit, puis la plaquant contre le matelas.

"Hors de question que tu t'en sortes ainsi. À moi de jouer maintenant."

Il l'embrassa furtivement avant de déposer des baisers chauds de son cou à son bas ventre. Rien que ses baisers faisaient gémir et frissonner Adriana, il prit un malin plaisir à la torturer à son tour.

Il frôla à plusieurs reprises la petite boule de plaisir d'Adriana, qui se dandina, impatiente.

"Sois sage Adri."

Il lui plaqua ses hanches au matelas, la tenant fermement pour l'empêcher de bouger, puis commença à stimuler son petit bout de chair avec ses doigts, puis sa langue. Quelques secondes plus tard, il humidifia un de ses doigts avant de le placer en elle. Elle se cambra automatiquement, en respirant plus brutalement. Il commença à bouger son doigt en elle très lentement avant d'en rajouter un autre, toujours en continuant le rythme lent, alors qu'elle grognait impatiente d'avoir plus. Il augmenta le rythme de mouvements de sa langue, stimulant plus facilement le haut de son sexe et elle perdit pieds après quelques minutes, son corps parcouru de spasmes tandis qu'elle s'empêchait de crier.

Matteo sourit heureux de voir à quelle vitesse sa femme pouvait avoir un orgasme.

"Passons aux choses sérieuses Matteo, j'en peux plus, s'il te plaît."

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