Chapitre 23 - Mickaël

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Bordel qu’elle est belle !!! Elle est allongée sur le dos, la couette sans dessus dessous, comme si elle avait combattu toute la nuit. J’hésite puis je vire mes vêtements et va me coucher contre elle. Tant pis pour mes résolutions, si elle est malheureuse sans moi autant tenter de lui apporter un peu de bonheur même s’il sera forcément limité.

Ca c’est parce que tu le veux bien.

Je ne peux pas me mettre en couple avec mes activités. Hors de question.

Tu vas lui briser le cœur tôt ou tard alors.

Le plus tard sera le mieux.

Tu es égoïste, tu sais qu’elle va s’accrocher de plus en plus à toi.

Je fais ce que je peux et puis merde quoi ! C’est moi qui dirige ma vie, pas toi !

Démerde-toi !

Sa peau est chaude et douce. Elle grogne lorsque je pose ma main sur son ventre, vu comment elle est bouillante, la différence de température doit la déranger.

- Mick’ ? Demande t-elle ensommeillée

- T’as beaucoup de mec qui viennent te rejoindre au lit ?

- Non. Dit-elle en grognant à moitié.

Ma main descend sur sa hanche puis vient caresser le haut de sa cuisse. Ses jolis yeux s’ouvrent enfin, restent un temps fixé au plafond puis se dirigent vers moi.

- Je croyais que tu voulais plus dormir avec moi.

- Qui a parlé de dormir.

Elle tourne la tête vers moi et je lui souris. Ses yeux brillent et son sourire se dessine. Je ne peux pas résister et l’embrasse.

- Je crois que tu ne sais pas non plus ce que tu veux. Me dit-elle

- Si. Toi.

Ses bras s’enroulent autour de moi et mon cœur explose dans ma poitrine. Mon corps se pose sur elle et elle gémit sur ma bouche. Nos langues s’enroulent et ses mains caressent mon dos.

- Mick’…gémit-elle lorsque je dévie mes lèvres dans son cou.

- Tu veux ?

- Oui.

Je pose mes mains de chaque coté de sa tête et la regarde.

- Vraiment Marie ? Tu es sure de toi ?

Elle écarte ses cuisses et ma queue se pose sur sa chatte. Putain !!!

- Bébé, est ce que tu prends la pilule ou un truc du genre ? Dis-je

- J’ai un implant.

Pourquoi elle a un implant ?

- Ma mère a voulu que j’en porte un lorsque j’avais un copain, au cas où…Dit-elle comme si elle m’avait entendu penser.

Ok, merci Madame Rainot.

- J’ai été testé à l’hôpital et t’es saine…je veux te sentir sans capote.

- Moi aussi.

Putain elle va me rendre dingue là !

- Comme ça, ça sera une première fois aussi pour moi. Dis-je en lui posant un petit baiser

- T’as jamais couché sans préservatif ? Demande-t-elle étonnée

- Bah non, normalement on met une capote demoiselle mais là, toi et moi bah on va déroger à la règle, ok ?

- D’accord.

Je sens qu’elle appréhende.

- Je vais être doux bébé.

- Je sais.

Je l’embrasse de nouveau et ma queue tape contre son corps tellement j’ai envie. Je me décolle d’elle et glisse ma main entre nous pour aller vérifier son état. Je trouve son clitoris bien sorti, je lui caresse et sa tête bascule en arrière, m’offrant son cou que j’embrasse.

- T’es si belle.

Elle gémit à chaque fois que je lui caresse, ses cuisses sont largement ouvertes et je vois qu’elle n’a pas perdu sa souplesse de danseuse. Je fais glisser mes doigts sur sa fente et enfonces-en un doucement en elle. Putain ça résiste grave !!! Ca me fait mal au bide de devoir lui faire mal. Je la regarde et elle fronce des sourcils.

- Qu’est ce qu’il y a ? Me demande-t-elle

- T’es très serrée bébé.

Je l’embrasse comme pour me donner du courage alors que je pousse un peu pour la travailler mais c’est peine perdue. Il me faudrait des mois pour l’assouplir. Elle se crispe et j’arrête immédiatement.

- Ca va faire mal, c’est ça ? Me demande-t-elle

- Un peu ouais.

Je ne compte pas lui mentir.

- Je veux que ça soit toi Mick’.

Voilà de quoi faire battre mon cœur un peu plus vite. Mais je n’ai pas envie de lui faire mal, ça fait chier putain ! Je reviens sur son clitoris pour la faire gémir et la rendre encore plus humide. Son bassin ondule pour réclamer à être comblé. Je veux qu’elle soit déjà très excitée, très mouillée pour que ça lui fasse le moins mal possible. Je laisse mes doigts la découvrir, et je bande tellement fort que j’en ai mal au gland.

Ta punition pour la douleur que tu vas lui procurer.

Elle se tortille sous mes caresses et jouis alors que je lui branle son clitoris tout en lui suçant son téton dressé. Je joue de ma langue, descends le long de son corps et vient lécher ce qui est désormais à moi.

- Oh mon dieu !!! Ouiiii !!! Encore !!! C’est bon Mick’ !!! Crie-t-elle alors que je roule une pelle à son clitoris.

Je reviens l’embrasser et pose ma queue sur son petit capuchon sensible. Elle grogne sur ma bouche alors je fais glisser ma queue le long de sa fente. Je pousse un peu et tombe sur son hymen qui me barre la route. Mon torse caresse ses seins, mes mains caressent ses tempes et je la regarde. Son regard est suppliant alors je pousse un peu plus et mon gland s’écrase contre la fermeture. Putain même moi ça me fait mal.

- Je suis désolé bébé.

- Vas-y Mick’, je veux que ça soit toi, seulement toi.

Je recule et pousse plus fort, mon sexe est le bélier de son intimité, il frappe fort pour faire céder ce barrage naturel et dans un râle plaintif je l’ouvre.

- Oh putain !!! Dis-je en me crispant contre elle par la sensibilité de mon gland qui vient de la déchirer.

Son corps tremble, elle est crispée et gémissante. Je me stoppe en elle pour qu’elle se fasse à moi.

- Ca va ? Dis-je inquiet

- Oui ça va. Continue stp.

Je bouge un peu et elle grimace tout en gémissement. Je glisse ma main entre nous et lui caresse son clitoris et enfin je l’entends gémir comme j’aime.

- Mick’ !!!

Son corps devient dur puis se détend et se recontracte de plus en plus vite.

- Jouis bébé.

Elle se tend sous moi et lâche ce son que je ne me lasse pas d’entendre. Elle est magnifique. Mon cœur bat à toute allure et je bouge en elle pendant qu’elle gémit. Doucement son corps se modèle à moi et je peux bouger plus facilement. Je n’ai jamais ressenti autant de plaisir dans une femme. Nos baisers aspirent nos soupirs de plaisir, alors que je visite cette profondeur limitée par son inexpérience. A force de baiser elle va être moins douloureuse, moins serrée, plus profonde. Je veux la travailler jusqu’à être le moule parfait pour ma queue. Je pousse un peu mon gland contre le fond de sa chatte et elle se crispe.

- Désolé.

- Non continue stp, c’est…bon.

Putain cette fille est faite pour moi !!! Je glisse mes doigts dans les siens et je tente encore de m’enfoncer plus en elle puis me cale sur un coté, là où je suis bien et elle aussi. Ici c’est chez moi, j’y suis trop bien putain !!! Je pousse mais je n’irai pas plus loin ma beauté se tend de plus belle alors que ma queue ne peut plus avancer. Putain ce qu’elle est peu profonde, c’est dingue d’être si petite de la chatte, faut vraiment qu’on baise régulièrement si je veux mettre ma queue entièrement en elle, si toutefois c’est possible. Tout se contracte autour de moi et je jouis au fond d’elle pendant qu’elle jouit autour de ma queue. Je retiens mon corps pour ne pas m’effondrer sur elle. On est bien, on s’embrasse, on se regarde, et on bascule sur le coté car j’ai plus de force.

(hoc)

- Oh non (hoc)

- J’adore.

Je trouve ça toujours aussi adorable son hoquet post baise.

- Comment tu te sens ? Dis-je

- Ca va (hoc), je me sens moins…comprimée là (hoc)

- Normal j’ai débandé.

Elle pince les lèvres comme si elle était gênée et ravale son hoquet.

- J’ai beaucoup saigné ? Me demande-t-elle

Je sens que ça la gêne d’avoir saigné sur moi alors que putain j’en ai rien à foutre qu’elle me salisse, la seule chose qui me fait chier c’est de lui avoir fait mal mais elle à l’air si bien que je regrette pas du tout. Je sors d’elle et ma queue est sanglante comme si elle avait eu ses règles. Je remonte son menton pour pas qu’elle voit.

- On s’en fout bébé.

- Dis-moi Mick’

- Oui t’as saigné mais vu comment t’étais fermée, c’est normal. Je suis désolé, j’aurais voulu que ça soit moins douloureux mais…

- C’était parfait Mick’

Parfait ? Oh putain !!!

J’avoue t’as géré.

Me voilà comme un médaillé olympique ou un mec qui vient d’avoir un oscar. Je suis fier, fier de lui avoir offert une première fois parfaite. Jamais elle ne regrettera ce moment, jamais elle ne l’oubliera. Je suis gravé à jamais dans sa mémoire.

Et son cœur.

- Toi aussi t’avais l’air d’avoir mal, non ? Me demande-t-elle

- Ouais un peu, t’étais très serrée et tu m’as donné du fil à retordre.

- Désolée.

Je suis obligée de rire là.

- Ne le sois pas, c’était parfait bébé.

Elle me sourit et je lui roule une pelle. Ma queue se dresse mais j’ai plus la force de baiser là, faudra qu’elle patiente.

- Et maintenant on fait quoi ? Me demande t’elle.

- T’as envie de quoi ? Me dit pas de recommencer stp, j’en suis incapable là.

En effet c’est bien une première ça aussi, j’ai jamais eu les jambes en coton après une baise.

Tu n’es pas sous effet de la came aussi.

- J’en suis incapable aussi. J’ai envie d’une douche et j’ai faim aussi. Dit-elle

- Ok, si je viens avec toi sous la douche et que je te lave.

- D’accord. Mick’ ?

- Oui bébé.

- J’aimerais qu’on reste dans la chambre aujourd’hui. Je…je me sens pas de descendre et voir Ju’ et Jack.

- Ca me va.

- Tu resterais avec moi ? Je n’ai pas envie d’être seule pour autant.

Elle me veut moi, juste moi !!! Elle pourrait avoir envie de parler à sa meilleure amie mais non, elle m’a choisie moi !!!

- Je ne te lâche pas, sauf pour aller chercher à manger car on ne va pas demander à nos colocs de faire le service quand même.

- Mick’ ?

- Oui bébé.

- Ca sera aussi bien à chaque fois ?

- Je ferais en sorte que ça soit même mieux.

- Mieux c’est possible ?

- T’as pas idée du nombre de chose qu’on peut faire avec nos corps.

Elle pince ses lèvres gênée. J’adore !!!

Je nous essuie un peu puis nous allons sous l’eau chaude. On s’embrasse, je nous lave et elle met un pantalon de gym et un long pull qui la moule bien sans soutif. Pendant qu’elle est à la salle de bain pour finir de s’habiller je change les draps et refais un lit propre.

- T’as envie de manger quoi ?

- Je ne sais pas, des trucs à picorer.

Je descends et les deux me regardent avec un sourire alors qu’ils sont en plein tournois de « qui est ce »

- Elle va bien ? Me demande Julie

- Plus que bien. Dis-je avec un sourire scotché sur ma gueule depuis que j’ai jouis.

- T’as du bol, tu vas encore vivre.

- Fais pas la méchante petit oisillon des neiges.

- Connard.

Je n’ai même pas l’envie de lui faire un doigt alors je ne dis rien et remonte vite retrouver celle qui ma manque déjà. Je rentre dans la chambre et elle est assise sur le lit les jambes sur le coté.

- T’as encore mal ? Dis-je

- Oui ça me lance un peu.

- Je t’ai pris du paracétamol.

- Merci. Dit-elle en avalant les cachets.

Je pose le plateau sur le lit que nous partageons. Je me couche sur le lit car j’ai filé mes dernières forces dans la préparation du plateau repas. Je n’ai jamais été aussi bien de toute ma vie, je caresse ses cheveux pendant que je la regarde manger. Putain cette fille m’a complètement conquis.

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