NDA : Avertissement ! Ce chapitre pourrait choquer des personnes sensibles. L’équipage étant composé de Panos et Alec qui ont déjà montré leurs appétits. Ce chapitre montrera leurs penchants homo et hétéro.

### Iona ###

Marc mit donc une ligne de traîne dont l’extrémité scintillait par la vitesse du bateau. Le seul convaincu que sa pêche serait fructueuse c’était Marc. Il avait beau nous dire que lors de sa croisière avec Corina il avait sorti un poisson qui leur permit de faire un excellent repas, personne ne le croyait. Seul Panos n’était pas trop sceptique, il dit seulement qu’il fallait une bonne dose de chance.

Une demi-heure plus tard le grelot attaché au sommet de la canne de pêche s’agita et Panos et Marc se précipitèrent pour ramener la prise.

– Ce n’est pas n’importe quoi, dit Panos, je crois que tu as un petit thon au bout de la ligne car il se défend bien !

– Olympe, diminue la vitesse du bateau s’il te plaît, cela nous permettra de remonter plus aisément la prise.

Nous étions tous debout dans le cockpit, de temps en temps le poisson faisait surface pour replonger aussitôt.

– C’est un thon dit Panos, il a l’air assez gros quand même.

Il prépara la gaffe et un grand filet pour faciliter la sortie de l’eau de l’animal qui se défendait bien. Lorsqu’il fut près du bord, Panos avec l’aide de la gaffe amena le poisson dans le cercle du filet ce qui permit de le sortir. Marc laissa tomber la prise sur le tableau arrière qui permet de descendre aisément dans l’eau. Panos immobilisa la bête et le tua d’un coup de couteau.

D’après mon évaluation, il devait faire bien un mètre de long. En m’approchant je vis que le fil de pêche était bien gros, je demandai à Marc :

– Ce fil ne risquait pas de casser ?

– Oui, Iona, c’est la raison pour laquelle j’ai demandé à Olympe de ralentir la vitesse du bateau, cela diminuait la traction sur la ligne. Le matériel est solide mais on ne peut pas juger du poids de la prise. Autant mettre la chance de notre côté.

Marc descendit aussi sur la plateforme pour vider le thon et rejeter les entrailles à la mer après qu’il ait pris une photo avec son téléphone. Puis d’un jet d’un seau d’eau, il rinça la plateforme.

– On a de quoi manger pour plusieurs jours ! dit Thalia.

– Oh oui, je vais couper des sections qu’on cuira ce soir, heureusement il y a encore de la place dans le congélateur pour conserver un bon morceau pour les jours suivants. Si on retrouve la crique de Peristera où je m’étais ancré la fois passée on pourra le cuire sur la plage avec le brasero/barbecue qui se trouve dans le coffre sous les coussins du cockpit.

– Tu as pensé à tout, dis-je.

– Non, Iona, c’est Panos qui m’a suggéré cet achat du temps où on faisait de la plongée pour cuire nos prises.

Marc mit le poisson pour le repas du soir dans un grand sac en plastique pour le garder dans le fond de l’annexe à l’abri du soleil. Plusieurs heures plus tard, nous étions ancrés dans une crique bien abritée pas loin de la plage. Olympe et Panos s’occupèrent de la manœuvre pendant que Marc fit dérouler la chaîne d’ancre à son maximum.

– Si on reste seul cette nuit on ne devra pas s’inquiéter si le vent se lève, on est bien abrité.

– Marc, on peut se baigner ? demanda Thalia

– Oui, Je vais sortir l’annexe pour porter le brasero sur la plage. Vous pourrez nous rejoindre pour le repas.

Thalia, ne se fit pas prier et défit son polo pour plonger nue dans l’eau.

– Venez, elle est délicieuse !

Marc défit son short et plongea sans remords. J’eus juste le temps de voir ses fesses blanches avant qu’il ne disparaisse dans la flotte et je l’imitai aussi. Je n’avais pas de problème car je me bronzais fréquemment en intégral et je n’avais donc pas de traces.

Marc en bon nageur vint harceler sa secrétaire qui hurla de plaisir lorsque Marc la prit par surprise.

– Marc, j’ai cru que c’était un requin !

– Bien sûr, mais le requin ne t’aurait pas pincé les tétons, il aurait mordu ton sein ou tes fesses !

– Oui, je te crois Marc, viens plus près, j’ai cru voir un serpent blanc près de toi !

– Oui, dis-je je le vois aussi ! Marc, tu n’es pas gêné ?

– Non, Docteur, c’est la nature ! dit Marc.

Il grimpa sur la plateforme exhibant son érection qui me fit vibrer. Il sortit le canot à moteur du logement, qui démarra à la première sollicitation. Je profitais pour grimper à bord espérant profiter de sa proximité. Hélas Thalia eut la même idée, mais Marc dut l’aider à grimper dans le canot. Elle s’assit directement à côté de lui pour se lover dans ses bras. À l’approche de la plage je sautai dans l’eau en les éclaboussant, par dépit et par petite vengeance de ne pas avoir pu profiter d’un peu d’intimité avec Marc.

Je ne fus pas longtemps solitaire car Panos et Alec nageaient dans ma direction. Olympe, elle était remontée à bord pour prendre un tuba et des palmes.

Lorsque les garçons furent à proximité, je pus voir qu’eux aussi étaient accompagnés de « serpents » blancs ! Je profitai donc pour plonger et d’attraper tour à tour leurs sexes par la bouche. Ils ne furent même pas surpris !

### Thalia ###

Marc, guida le canot vers la plage, je profitai du rebord qui masquait la vue pour les autres pour caresser le sexe érigé de mon patron. Marc fit atterrir le bateau puis se tourna vers moi.

– Tu désires quelque chose, ma douce ?

– Oui, Marc mais ce sera pour tout à l’heure, à l’abri des regards. Je ne suis pas pressée comme Iona qui pèche en apnée !

– En effet, je crois qu’ils ont trouvé le plaisir malgré leurs penchants opposés. Ils vont certainement rééditer leurs exploits de l’autre nuit.

Effectivement, les garçons poursuivirent Iona qui retournait vers le bateau. De loin j’entendis Iona qui cria sa jouissance lorsque Panos s’approcha dans son dos. Je vis distinctement que Panos labourait la doctoresse qui s’accrochait à la plateforme.

Olympe émergea à quelques mètres de nous.

– Eh ben, dit-elle, qui aurait cru que Iona se ferait enculer d’une façon aussi brutale devant tout le monde, et Alec qui attend son tour.

– Non, répliquai-je, Alec n’attend pas, il est dans le dos de Panos, je parie qu’il rend la pareille à son copain.

Malgré la distance on entendit les gémissements de Iona et les grognements des garçons. Olympe défit son masque et ses palmes et nous rejoignit dans le canot sur la plage.

– Marc, dit-elle, moi je ne tiens plus ! J’ai l’impression d’assister en live à un film porno ! Thalia, viens avec moi ! je veux jouir, je veux profiter de Marc. Si le trio s’amuse, je ne vois pas pourquoi nous, on resterait simple spectatrices ! Marc tu devras te dévouer, lèche mon minou maintenant !

Olympe s’assit sur la bouche de Marc en se tournant vers moi. Je caressai la hampe de mon patron et finis par l’avaler au fond de ma bouche. Marc eut un spasme profond mais continua de lécher l’intimité d’Olympe. Son gémissement devint très bruyant et je sentis qu’elle agrippa mes seins avec passion avant de hurler son orgasme.

Elle me céda sa place, Marc ne dut pas faire de grands mouvements avec sa langue avant de provoquer mon bonheur. Malgré les vibrations intenses de mon bas-ventre, je pus rejoindre mes mains à celles d’Olympe qui briquaient le mat de Marc. Son éjaculation fut brutale, toutes les deux nous nous penchions pour recueillir les jets de sperme.

Olympe en voulut encore et m’embrassa pour récupérer le fluide que j’avais encore en bouche. Marc ne cessa de nous regarder, car Olympe n’était pas satisfaite. Nous regardions toutes deux, le pieu de Marc toujours dressé. Marc comprit le message.

– Mes chéries, il serait temps de penser au repas de ce soir. Je vais chercher le barbecue, le charbon et je vous demanderai de préparer les tranches de poisson.

– Oui Marc, dit Olympe, mais regarde ce qui se passe sur le bateau. Les deux hommes et Iona sont sortis de l’eau et Alec est très occupé !

Je levai mon regard vers l’Eileen pour constater que Alec s’activait avec sa bouche sur le sexe dressé et impressionnant de Panos pendant que la doctoresse recevait des coups de langue dans sa fente.

– Oh Marc attend un peu et laisse-nous jouir de ce spectacle !

– Je vois, dit Marc, je vais pousser le canot dans l’eau et m’éloigner du voilier. Le bruit du moteur les avertira qu’ils doivent se dépêcher de terminer leur besogne.

Olympe et moi on ne pouvait pas décrocher notre regard de ce spectacle. Marc non plus sauf qu’il passa sa main sur mes cuisses pour récolter le fluide qui s’écoulait de mon sexe. Olympe me regarda brièvement avant de constater que ses cuisses aussi étaient mouillées !

– Marc, tu n’es pas en meilleur état, je constate que ton pic demande aussi d’être calmé.

– Oui, mais je ne vais pas faire la file devant ce trio pour avoir ma part ! dit Marc. Je voudrais manger avant le coucher du soleil. S’ils veulent continuer ils pourront reprendre leurs jeux sur la plage !

– Marc, tu reviendras nous chercher avec le poisson et le matériel pour manger ? demandais-je.

– Oui, bien sûr.

Lorsque Marc atteignit le bateau après une large boucle, le trio avait fini et Panos nous regarda pour accrocher le canot, il avait un sourire de bonheur.

– Merci de nous avoir donné du temps pour finir, j’ai réalisé trop tard que je vous empêchais de revenir à bord !

– Pas de problème Panos, les filles et moi on a apprécié la vue. Passe-moi le brasero et le charbon. Je vais allumer le barbecue pendant que les filles vont apprêter la nourriture.

Panos nous aida à monter à bord, mon regard fut quand même attiré par son impressionnant attribut, calmé sans doute mais encore bien ferme. Iona vint me rejoindre dans le carré, l’espace cuisine nous permettait d’évoluer sans se bousculer. Olympe prit une partie du matériel pour dîner et redescendit dans le canot.

– Thalia, désolé de cet incident, mais les garçons ne se maîtrisaient plus, jamais je me suis fait tringler ainsi ! Ensuite durant la fellation, Panos m’a prodigué des caresses d’anthologie ! Et toi pendant ce temps ?

– On était tous aussi excités que toi ! Marc a bu à tour de rôle tout notre jus qui coulait entre nos jambes. Quel spectacle tu nous as offert ! J’en tremble encore !

– Alors viens dit-elle, je vois que tes tétons sont toujours érigés. Je vais te caresser dans la cabine, tu me masseras avec de la crème entre mes fesses car Panos ne m’a pas épargné. C’était une première sous l’eau, mais je préfère quand même au sec avec une bonne dose de lubrifiant !

Iona, glissa ses doigts dans ma fente, avant que je pusse réagir et saisir ses seins je fus prise de tremblements. Je dus me tenir à la table du carré pour garder mon équilibre durant un nouvel orgasme.

– Thalia, tu es vraiment belle lorsque tu jouis, j’envie Marc, il doit t’apprécier beaucoup !

– Oui, même si je dois le partager avec Olympe, à nous trois on se donne beaucoup de plaisir.

Comme promis je passais la crème calmante de Iona entre ses fesses, elle aussi fut prise de spasmes et gémit longuement durant mon massage.

– Merci, dit-elle en reprenant sa respiration, préparons ce poisson car tout cela m’a donné faim.

– Oui les épices et les herbes se trouvent dans l’équipet en face des feux de cuisine, on a encore le temps de les mélanger à l’huile pour les laisser imprégner.

Puis nous fûmes occupées à la préparation de la salade, les tomates, les oignons et le riz froid, le tout généreusement épicés.

Lorsque j’entendis le canot revenir, nous étions prêtes pour remonter les plats dans le cockpit. C’était Olympe qui conduisit le canot, elle fit une belle manœuvre pour accoster au voilier. Panos nous aida à monter dans l’annexe. Lui et Alec décidèrent de regagner la plage à la nage. Olympe avait le visage serein, j’étais certaine qu’elle avait encore profité de la présence de Marc à la plage, car elle avait encore su sable collé dans son dos. Je profitais qu’elle était absorbée par la conduite du canot pour éliminer le sable de son dos. Elle me fit un bisou de remerciement. Elle comprit que je n’étais pas naïve de ce qui s’était passé sur la plage en mon absence.

NDA : Encore merci d’apprécier et d’accepter mes maladresses dans ces ébats.