6 juin 2025
Et voilà que tout s'envole
Sous les éclats des néons
Au milieu des basses qui déchirent les oreilles
Dans l'arène sauvage des hommes sans âge
Tout s'envole parce que tout disparait
Les pavés sont recouverts de souvenirs
Que je redécouvre pour la dernière fois
C'est une ville de pierres peuplée de fantômes
Et j'arpente les rues comme j'arpente mon coeur
Suivant des chemins, appris par coeur
Mais mes yeux saignent dans toute cette fureur
Fureur de vivre, de ressentir, d'être enfin
Et sous les éclats des néons
Voilà que tous s'envolent
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