Collaboration

Une minute de lecture

Face au drame humain évoqué au chapitre « Ligne Maginot », un mouvement de solidarité envers les réfugiés germaniques a émergé dans notre beau pays. Il faut bien reconnaître que les épreuves qu’on vécues ces hommes ont de quoi bouleverser tout être humain qui mérite ce nom.

Combien de ces réfugiés se sont noyés en traversant la Meuse ? combien ? dans des conditions extrêmes, la police des frontières leur tirant dessus avec des canons et des mitrailleuses. Honteux ! Heureusement que l’association « Stukas sans Frontière » est intervenu pour faire cesser ce massacre indigne.

Comme je le disais, face à l’urgence humanitaire, des hommes se sont levés. Venant de la Gauche généreuse, des hommes comme Jacques Doriot, du parti communiste, Marcel Déat, socialiste, ou encore René Château, radical socialiste, ont fondé des organisations d’aide aux réfugiés, marquant de leurs noms l’histoire humanitaire de notre pays.

Hommes dignes et respectueux de la légalité, ils ont toujours agi avec l’aval du gouvernement de Vichy.

Malheureusement pour eux, des mouvements xénophobes et racistes, financés par des pays étrangers, les ont combattus et finalement vaincu, souvent assassiné, puis ont déshonoré leur mémoire.

Les malheureux réfugiés furent expulsés manu militari, dans des conditions inhumaines. Beaucoup y perdirent la vie.

Une page cruelle et injuste de l’histoire de France.

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