Chapitre 2

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D'une annonce publique, le proviseur ordonne à tout le monde de se repose car les troisième année devront présenter cette fois-ci en direct le campus, étape par étape, mais d'abord on la journée de libre, pour emménager dans leur dortoir et se préparer pour leur futur rentrée dans trois jour, excité les protagonistes garçons et filles se séparent partant à l'opposé diriger par un troisième année, les mêmes qui donnait les bandanas, devant le long manoir impressionné par la structure en brique apparentes toutes paraissant plus coloré de prête, recouverts de manière artistique de lierre, tous d'un frisson à l'unisson d'une figure aveuglé par le soleil, sur les marches amenant au manoir, se regardants suspicieux, inquiet se rapprochant regarde un homme de grande taille musclé au limite de l'hypertrophie, pas très accueillant en tenue militaires et débardeur dévoilant bien les nombreuses cicatrices en tous genre sur son corps, avec cache-œil sur le côté droit, sursautant reconnaissent tous sans exception cette figure, très réputé chez Arcadia, craint et respecté un ancien sergent d’Arcadia, réputé pour sa droiture inébranlable, un vétéran à la retraite.

Souriant descend des marches lentement pour créer une tension, en survêtement de sport appuyé sur ce qui a l'air d'être une canne bien robuste et trop épaisse pour en être une.

Cet homme effrayant qu'ils ont déjà connu en tant que juge et légende vivante, commence cette journée par un discours ou plutôt un monologue sur la voie du guerrier honorable et digne, d'une voix stoïque sec mais passionné, soporifise les participants aux bords de l'ennuie souhaitant qu'une chose à dix heure du matin, pendant leur grandes vacances retourner dans leur lit, jusqu'à qu'une autre juge qui les accompagnait, d'un coups de pied retourner l'envoie manger du sable, s'énervant l’attrapant par le col se fait amadouer par un baiser, reconnaissant cette femme d'une cinquantaine d’année, de taille standard à la stature athlétique, même très bien conservé facilement reconnaissable par ses cheveux naturellement rose et yeux violet, son apparences ordinaire mais pourtant remplie d'un charme frustrant qui excite les personne autour de lui.

« Enchanté, je vais faire simple, vous devez déjà nous connaître, on est les Panze, moi c'est Lena et lui Duncan on est des anciens agents d'Arcadia, devenus professeur de survie et combat »

Disparaissant aussi vite qu'elle est apparue, grognant il invite ses élèves à rentrer, commençant leur visite par une vue sublime affabulé de ce manoir, à l’entrée passe par en dessous de scanner qui les illumine pendant quelques secondes d’une lumière verte, les analysant et éliminant toutes particules venant de l’extérieur, de même rangeant les armes qu’ils ont sur eux dans l’armurerie et/ou dans leur armurerie personnelle, ayant des armoires à chaussures sur les côtés, vide, passant leur main dedans, sont analysé et l’armoire leur donne leur chaussure, passant un marche-pieds en bois, leurs chaussettes et pieds sont nettoyés, donnant sur le hall vers le reste du manoir avec directement à leur gauche une sorte de guichet, ou les surveillants de la maison loge et vérifie.

De la moquette argentée à perte de vue, automatiquement tous lèvent la tête éclairée par un plafond peint d'un ciel, mais plus étonnés par des escaliers en spiral à rambardes en bronze, montrant à la vue de tous dix étages en cercles comprenant les chambres, toilettes et salle de bain.

« Les chambres, sont à partir du troisième étage, sur les deux premiers étages et au rez-de-chaussée vous avez les salons, les réfectoires, deux salles d'arcade, une bibliothèque, une source thermale et une salle de musculation et écoutez bien ce que je dis parce que je ne me répéterais pas, mais vous inquiétez pas dans votre manuel sur l'école tout est écrit, vous avez juste à le lire »

Regardant partout opposé l’un à l’autre ont les réfectoires se présente des portes automatiques avec le pictogrammes d'une fourchettes et un couteau, donnant sur une grandes pièces au sol en parquet avec une centaines de table circulaires, dispatchés un peu partout avec au fond le comptoir en deux bout comme dans la vitrine d'un restaurant avec la nourriture apparentes dans des bac métallique, choisissant, un deuxième comptoir mais plus petit pour les commandes déjà effectués, acquiesçant, suivent leur visite dans la pièce d'à côté le salon, avec pareil en face l’autre, aussi aux portes automatiques avec dessus un pictogrammes d’un fauteuil, assez simple mais beau, divisé en deux parties un côté au fond légèrement surélevé en arc de cercle, un long canapé s’encombrant parfaitement avec une énorme table basse en verre, à côté des fauteuils individuels ou à deux avec une table basse devant, dispatché un peu partout, chacun ayant une couleur différente, entre les deux une armoire remplie de mangas, comics, bande dessinée, roman […].

Encore à côté des toilettes publiques, puis deux pièces vides sans apesanteurs pour se détendre et se vidé l’esprits or cette fois-ci il y a deux portes, les premières automatiques, puis une blindé, pour finir une énorme salle d'arcade toujours avec ses portes automatiques à pictogramme de manette de console, dans une idée plus chaotique, une salle de jeu avec dans tous les sens une ranges dos à dos, des jeux d'arcade de combat en face des deux côtes de tir ou lancés de ballon, au fond des jeux d’air hockey[...], toujours avec une musique d'ambiance, dans un monde de festival excentrique très colorés et lumineux en contraste avec le salon toujours sombre.

Encore à côté une salle de musculation comme on en connaît, si bien et pour finir les sources thermales imitant à la perfection le style japonais, ou ressemblant peut-être à un bain public, rentrant dans un bain public où on se lave puis colle à un mur peint d’un paysage du mont Fuji, dans une piscine surélevé chauffé.

Sur les deux premiers étages qui sont en réalités deux étages en un, il y a une sources thermales sources thermales, reliés aux douches publiques pour se détendre après s’être lavé, des pièces de rangements et autres, puis important une énorme bibliothèque faisant tous un arc de cercle, comme ses bibliothèques qu’on voit dans les fils, sur deux étages, relié par un escalier avec des armoires rangées de livres à pertes de vues, des toilettes dispatchés individuel un peu partout, et une publique à chaque étages.

De même tous les dortoirs sont constitués de la même façon, à quelques détails prêts disposant tous d’un nom selon une créature mythologique, ayant le droit par la suite à un sermon, un discours plus ou moins encourageant sur leur maison, ou ils vivront pendant cinq ans, connus le nom de la maison Pegasus, et ce qu’elle symbolise.

Du côté des filles, jubilant prennent des photos.

« Les chambres, sont à partir du troisième étage, sur les deux premiers étages et au rez-de-chaussée vous avez les salons, les réfectoires, deux salles d'arcade, une bibliothèque, une source thermale et une salle de musculation et écoutez bien ce que je dis parce que je ne me répéterais pas, mais vous inquiétez pas dans votre manuel sur l'école tout est écrit, vous avez juste à le lire »

Regardant partout opposé l’un à l’autre ont les réfectoires se présente des portes automatiques avec le pictogrammes d'une fourchettes et un couteau, donnant sur une grandes pièces au sol en parquet avec une centaines de table circulaires, dispatchés un peu partout avec au fond le comptoir en deux bout comme dans la vitrine d'un restaurant avec la nourriture apparentes dans des bac métallique, choisissant, un deuxième comptoir mais plus petit pour les commandes déjà effectués, acquiesçant, suivent leur visite dans la pièce d'à côté le salon, avec pareil en face l’autre, aussi aux portes automatiques avec dessus un pictogrammes d’un fauteuil, le salon une pièce reflétant l'image cliché de la gente féminine mais pourtant si rafraîchissante, digne d'une famille royal fantaisiste romaine, se salon très lumineux et coloré, les murs recouverts de fresques colorés, de babioles en tous genres, vases, tableaux, sculptures, inutiles mais qui égaye une pièce, sinon la pièce est uniquement recouvert de poufs d'animaux, fruits, des toutes les tailles, couleurs dispatchés dans tous les sens, sur de la moquette rose bonbon.

Encore à côté des toilettes publiques, puis deux pièces vides sans apesanteurs pour se détendre et se vidé l’esprits or cette fois-ci il y a deux portes, les premières automatiques, puis une blindé, pour finir une énorme salle d'arcade toujours avec ses portes automatiques à pictogramme de manette de console, dans une idée plus chaotique, une salle de jeu avec dans tous les sens une ranges dos à dos, des jeux d'arcade de combat en face des deux côtes de tir ou lancés de ballon, au fond des jeux d’air hockey[...], toujours avec une musique d'ambiance, dans un monde de festival excentrique très colorés et lumineux en contraste avec le salon toujours sombre.

Encore à côté une salle de musculation comme on en connaît, si bien et pour finir les sources thermales imitant à la perfection le style japonais, ou ressemblant peut-être à un bain public, rentrant dans un bain public où on se lave puis colle à un mur peint d’un paysage du mont Fuji, dans une piscine surélevé chauffé.

Sur les deux premiers étages qui sont en réalités deux étages en un, il y a une sources thermales sources thermales, reliés aux douches publiques pour se détendre après s’être lavé, des pièces de rangements et autres, puis important une énorme bibliothèque faisant tous un arc de cercle, comme ses bibliothèques qu’on voit dans les fils, sur deux étages, relié par un escalier avec des armoires rangées de livres à pertes de vues, des toilettes dispatchés individuel un peu partout, et une publique à chaque étages.

De même tous les dortoirs sont constitués de la même façon, à quelques détails prêts disposant tous d’un nom selon une créature mythologique, ayant le droit par la suite à un sermon, un discours plus ou moins encourageant sur leur maison, ou ils vivront pendant cinq ans, connus le nom de la maison Licorne, et ce qu’elle symbolise.

La visite finit des deux côtés rangent leur chambre, oriente et réoriente la chambre où ils vont dormir, vivre durant les années à venir à leur façon qui les représente les plus, puis l'après-midi déjà arrivé bien trop excité par les événements à venir, ayant déjà manger et ne sachant pas quoi faire, comme prédit les premières années partent explorer leur campus, se donnant rendez-vous avec les filles devant la fontaines, en retard au moment Neven et Nathanaël s'approche la foule si joyeuse se tait et se recule, soupirant bien trop habitué à ses regards non effrayés mais intimidés les ignorent mais malheureusement pour eux, ont des amis qui eux n'en n’ont pas l'habitude, prêt à intervenir d'une idée, se font un clin d’œil criant de toute leur force, puis explose de rire.

« Vous êtes pathétique ! Oui je sais j'ai une sale gueule, mais vous croyez que j'ai choisie de naître avec cette gueule ! Avant de juger apprenez à nous connaître... »

« Voyons Neven calme-toi discutez avec de simple mortel c'est comme expliquer le fonctionnement d'un téléphone à un cafard, tu perds ton temps ils sont juste jaloux parce qu'ils ont des pouvoirs basiques et que nous on est invulnérable »

De signe hasardeux, d'un comportement que même Icarus et Klaus désapprouve s'attendent à une émeute et comme bien ressentie, de tous les côtés se font agresser, frapper par toutes sortes de pouvoirs, souriant se laissent faire car dans tous les cas aucune égratignure ne leur est fait, ne ressentent aucune douleur, blessure, rien, baillant d'un claquement doigt, d'une force étrange, tout le monde est mis en rang, sauf nos invulnérable, ne comprenant le pourquoi de comment, se retourne sursautant et d'un cri bien aigu de la part de Neven, tout le monde rigole et reconnaît un très célèbre super-héros devenu professeur.

Un homme caucasien aux traits asiatiques, comme un métissage entre deux belle culture, élancé et grand à la peau pâle, cheveux blond, mi long ses yeux sont hétérochromes : son œil gauche est bleu ciel et son œil droit est vert, arborant depuis des années qu'il soit en super-héros ou civil une de ses combinaison une pièce qu'on peut voir sur n'importe quel étudiant, à moitié bleu ciel et à moitié verte avec une ceinture utilitaire à la taille, un homme à l’âge indéterminée, paraissant comme l’homme dans la quarantaine mais selon sa carrière ça ne collerait pas.

« Le reflet de l’âme est synonyme à sa conscience mais pas à ses yeux » récite-t-il d’une voie douce et paisible.

N’arrivant pas à suivre son discours, sauf Karma et d’autre une partie des étudiants déjà partie vivre leur vie, une autre vient de s'envoler aussi vite qu'une respiration, les autres dont nos héros se regroupent réfléchissant à quoi faire, quand uniquement nos êtres invulnérables reçoivent un message du proviseur, demandant leur présence dans le bureau des maintenant, s'exécutant or ne sachant pas où se trouve le bureau du proviseur.

« Laissez-moi devinez, de ses deux idiots ça ne m’étonne pas, mais de toi sunny tellement déçu, bref suivez-moi »

Revenant en haletant et rigolant Cassia embrassant Nathanaël veut lui montrer quelque chose, bouche bée comme un amoureux transit la suit sans posé de question, envoyant un de ses clones accomplir son devoir, ainsi dix minute plus tard dans le bureau du proviseur, longeant les couloirs de leur lycée, des couloirs aux teints sobre mais apaisant, parsemé de baie vitré reflétant leur soleil sur le tension, en pleine introspection, toquant à deux grande porte en chêne gravé de bordure celtique, rentrant dans ce bureau ovale qui possède trois grandes fenêtres à l'extrémité sud de l'ovale.

Descendant presque jusqu'au sol, elles sont situées juste derrière le bureau du proviseur, un grand plateau, avec bord sculpté et dessus recouvert de cuir tendu, reposant sur deux caissons sculptés. Ces caissons, comme dans tout partners desk, abritent des tiroirs sur les deux côtés (un partners desk étant habituellement destiné à être occupé par deux personnes en face à face) tous dans l'idée du maître des lieux qui veut faire comprendre aux yeux de tous, sa puissance suprême.

Sur encore de la moquette mais bleu son posé, des murs tapissés de rayures bleu et blanche, placardé des portraits photographiés, certain en noir et blanc, d'autre en couleur, dont un tableau, tous des précédant proviseurs de cette école des meuble grand et riche, sinon une pièce vide se demande qu'une chose pourquoi ce chat humanoïde aime tant la moquette, s'installant sur un canapé, en face d'un ton bien solennel leur tend de quoi boire, une tasse de thé d'une douce odeur, en buvant une gorgés tous comme Karma et Klaus apprécies ce et le thé, d'autre comme Nathanaël ou Neven s'en est pas sa tasse de thé, ou comme Lara préfère l'opposé.

« Vous connaissez sans doute Monsieur Shield Marcus... »

« En tant qu'invulnérable nous-même et même de manière général pour une personne qui veut travailler dans le milieu de la justice, se serais inquiétant de pas connaitre cette surtout qu’el cavalier digne de ce nom ne sait pas qui est Marcus Shield, jusqu'à aujourd’hui il est l'agent d'Arcadia / super-héros le plus connue, réputé pour être uniquement invulnérable, faisant partie de la ligue originelle des sauveteurs de l'humanité, du top 5 des personnalités les plus respectés et aimés, il a sauvé la terre d’une fin désastreuse plus d’une fois, empêché des guerres […] » s'excite Neven

Remarquant qu'il lui à couper la parole s'en excuse.

« Paix à son âme, s'il était encore là, il serait plus qu'heureux d'entendre de jeune gens l'aimer autant, c'était un homme fabuleux, un cœur si gros que s'en était un défaut, bref dans son testament avant de mourir, dans ce lycée où il a fait ses études mûrit, aimé et grandit, à demander que si un jour d'autre invulnérable viennent, qu'ils soient réuni dans une même classe, il n’as pas toujours été l’homme dont vous connaissez la légende, il a même été l’opposé pas que ce soit une mauvaise chose, bien au contraire c’est ce qui lui permit de faire de lui, le combattant adoré et vénéré donc je vous laisse deviner la suite, mais ne prenez pas la grosse, être invulnérable ne signifie pas être imbattable…»

« On le sait très bien » assure-t-il d’une voie unique

« Avec plaisir mais ça ne va pas poser problèmes ? » Entend et demande Karma

« C’est le but justement, prouver leur que votre invulnérabilité n’est pas la cause de votre succès mais uniquement une des armes qui vous à aider à devenir qui vous êtes et qui vous serez »

Curieux et avare de savoir la composition de leur classe, s'apprêtant à partir en recherche active reçoivent une notification d'un dénommé V.DiAngelis comme quoi un groupe a été créer sur MessageMe plus connus sous le nom de MeMe, (une application mobile multiplateforme qui fournit un système de messagerie instantanée via Internet et via les réseaux mobiles) ou un groupe intitulé « Classe Spécial 1 » avec dix membre dans le groupe, en plus de eux cinq ou soit les treize étudiants qui compose cette classe, discutant se donne tous rendez-vous dans vingt minute.

Puis d'une curiosité soudaine ou malsaine, Cassia, demande son portable et ricanant imagine Klaus qui lui dit de ne pas le faire, innocent et naïf comme il est lui donne et ce qu'elle voit c'est un fond d'écran est Lara prenant une pose sexy, lisant ses messages curieuses de savoir avec qui il communique surtout qu'elle fille pourrait lui faire de l'ombre, pensant au fait qu'elle n'entend pas ses pensées, pour la première fois de ca vie, ne sait pas que la personne à ses côtés pense, la frustrant, l'angoissant puis se sentant coupable, d'un visage peiné voyant son petit-ami qui lui aussi incompris essayant de la réconforté l'embrasse.

« Je t'aime, je sais c'est ridicule toute ma vie, aussi loin que je m'en souvienne j'ai toujours entendu les pensées et je me suis toujours servie de ça pour me protéger, mais avec toi je n'entends rien, absolument rien et je ne veux pas... »

« Relax, ma belle, si tu veux savoir un truc demande tous simplement, je t'aime et je te rassure avec la gueule que j'ai t'auras pas de rival, ce n'est pas parce que Klaus est mon meilleur ami, que je suis comme lui, bref allons-y suis curieux de savoir y a qui dans ma classe »

Allant rejoindre leur camarade de classe, se retrouve devant la fontaine où sont déjà présent les autres membres, pensant être en retard se dépêche volant à toute vitesse, une jeune femme les dépasse et d'une glissade s'arrête devant eux, se jette dans les bras de Nathanaël, rigolant.

« Bizarre elle te connait et t’adores, toi qui me disais que je n’ai pas de rival » lui explique-t-elle par télépathie.

« L’amitié homme/femme ça existe, viens je vais te la présenter »

Appréciant même émue du geste, d'un sourire sincère ce visage d'ordinaire effrayant devient paisible et la rassure, regarde cette jeune femme aux origines oriental à la peau caucasienne, du même âge, mince et d'assez grande taille, aux cheveux longs de couleur brune soyeuse, descendant jusqu'au milieu de son dos, ses yeux sont de couleur marron avec des nuances d'orange, de stature athlétique, aux physiques plutôt avantageux.

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