Chapitre 7

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Malgré le fait qu’ils étaient dans leur club respectif depuis seulement quelque mois, le savoir s’abolir à cause des charge de travail des autres membres, les attristant d’une idée fulgurante les jumeaux se regardent puis ce levant, revenant en super-vitesse avec deux guitare dont une basse, donnant la guitare à Nathanaël, la basse à Lara, une mini batterie pour lui, se regardant Lara la main en l’air d’un compte à rebours, commençant Nathanaël puis d’une suite logique, joue d’une symphonie, sans faire de fausse note, sans ce gêner au contraire, d’une alliance soudaine forme une harmonie (faisant une cover de L’arc en ciel – Driver High) Nathanaël se mettant à chanter, sans aucune fausse note, d’un japonais parfait, quasi natif, d’une chanson venant d’un célèbre animé japonais, reconnaissant les paroles qui résonne en eux, avec leur désirs de liberté insouciant, étonnant tout le monde, le voyant chanter à la perfection, d’une voie de plus qui a été travailler, entrainer pour avoir un niveau professionnel en champs, rejoint par Lara qui d’une logique étrange mais naturel, changeant de musique (Saint Saiya – Pegasus Fantasy) d’un duo commençant par Lara, module leur voie, attenant des hautes notes aisément, combinant leur voie avec une harmonie naturel, se laissant prendre en jeu finissant d’un clin d’œil défit Neven et Inaya, qui rigolant, Neven prend la guitare, ne sachant pas chanter mais excellent guitariste, suivie par Inaya sans forcer les choses mais d’un naturel hors du commun, elle se met à chanter suivant ce même registre japonais, en chantant eux aussi une cover d’un animé japonais(Kids Alive – 2nd Stage) résonnant en eux, aussi doué les uns que l’autre, aucun d’eux ne pouvant gagner ce défi, Neven

« Je dois avouer que putain vous êtes doués ! » se félicitent-t-ils

« Mais je reconnais ses voies, cette façon de chanter, cette techniques… Je sais ! Vous êtes c’est célèbre duo de meilleure-amie masqué en tigre et en ours, qui font toutes sortes de vidéos sur O.W ? Ça fait cinq ans ?! On dirait que ça fait plus, j’ai l’impression d’avoir grandi avec vous ! C’est qui cette fameuse sourie ninja ? Trop de question, dire que mon duo préféré est dans ma classe » assure Inaya les yeux qui brillent, embarrassé de son haut de pyjama, à l’effigie d’un animé d’ours et tigre chantant, leur marque de vêtement.

« Yep je suis Tiger et lui c’est Bear, on a commencé pour oublier l’invasions à nos 10 ans, après une idée de nos parents, au début c’est ma mère qui géraient tous, maintenant c’est Karma qui s’occupe de la partie technique » explique Lara

« Donc ce fameux message pour dire que vous deviez vous absentés pour votre avenir, c’est pour ça ?! Donc quand ce fameux live ? Qui l’aurait cru » demande un élève

D’un sifflement résonant dans tous le salon chez les filles, d’une annonce évite une émeute de ce jeune duo célèbres auprès des jeunes et jeunes adultes.

Ils existent toutes sortes d’applications extrêment célèbre, MeMe, (prononcer mimi) une application mobile multiplateforme qui fournit un système de messagerie instantanée via Internet et via les réseaux mobiles, un combiné entre une application dans le style de What’s App, Kakao talk […] Mais l’application la plus connue, créer par un Marsien qui voulait réunir toute les plateformes existante en une, au début personne n’y croyait et ça prenait pas, mais maintenant tout le monde dans l’univers l’utilise, traduit sur Terre par ma Our World (ou simplement O.W, dit How), un site de partage de vidéos, photos, messages, musique, streaming de films et séries[…]

Puis suivant l’impulsion d’une idée Cassandra leur chuchote par télépathie une curiosité, après avoir finir la chanson d’un défi Lucius prend la guitare jouant des morceaux, suivant la musique, faisant de la place, un cercle ce forme d’un défi se mettent à danser.

D’un salto au centre se prenant au jeu, de mouvements break dance, Inaya s’amuse à casser son corps, des mouvements saccadés d’une suite logique donnant ensemble une harmonie, impressionnante à voir, glissant en dessous d’elle, se relevant sans les mains d’un salto arrière, passant au-dessus d’elle, Neven prenant la relève.

« Damn ! »

« Chérie depuis quand ? Toi Ina genre tu peux être autre chose qu’une brute ? Nana et Lara je savais c’est moi qui monte et films vos vidéos » compliment ou critique-t-elle

« Pourquoi pas ? Sinon plus sérieusement, avec nos talents on peut faire un groupe de musique entre style band, par forcément comme club, mais juste pour s’amuser entre nous » répond-elle

« Par curiosité avec vos talents pourquoi pas une carrière pro ? Pourquoi intégrer ce lycée ? » demande Lorenzo

« Pas du tout ! Moi mes parents à l’époque avaient décidé de faire de leur enfant, des enfants parfaits, comme mon père adore le jazz ils m’ont inscrit à six ans à des cours de saxophone, piano et chant, même si je m’entends plus avec eux, je peux les remerciés, je me suis découvert des passions, et même si j’aime énormément la musique ça me détends et tous, je ne me suis jamais vraiment vu en faire une carrière dedans, peut-être un jour, qui sais » raconte Inaya

« Avec sunny nos parents voulaient qu’on découvre plein de chose, développe des talents, ils se sont dit ça peut être toujours utile, ce que je confirme du coup on a été inscrit à des cours d’art, de musique, de sport, et comme pour Ina, on le fait avant tous pour nous, au début notre chaine, c’était un exutoire, après c’est devenue un moyen de partager nos passions, nos délires »

« Et je peux parler pour tout le monde en disant ça, ça s’est ressentie, vous avez des millions de gens qui suivent chacun… »

« On y réfléchie, on ne veut pas arrêter la chaine parce qu’après avoir vu tous les retours adorable, bienveillant, encouragent ça nous briserait le cœur d’arrêter, surtout qu’on adore ce qu’on fait, à chaque vidéo, même si c’est du travail, de la réflexion, quand on voit le plaisir qu’on y prend, ce serait du gâchis d’arrêter, mais le problème avec notre vie actuelle, vous-même vous le savez, on n’a pas le temps ! C’est dur de continuer, quand on est tout le temps occupez, ou épuisé et on ne veut pas faire ça par dépit mais par envie, donc en attendant qu’on prenne une décision, gardons toutes ses informations dans ce lycée » explique et demande Nathanaël

« Bien dit les jeunes, donc c’est vous le fameux duo, de la chaine Tiger and Bear, au début je comprenais pas l’engouement, mais vous êtes tellement attachant, que tu finis par passer des heures sur votre chaine, franchement bravo, garder autant de mystère sur vous, tous en passant sur des chaines télévisées national plusieurs fois, à même pas onze ans, faut le faire, effectivement ce serait dommage d’arrêter tous ce que vous avez accomplie en cinq ans, mais avec votre vie actuel et futur vie, c’est possible de faire les deux, vous pouvez vous reposer tranquillement, je veillerais à passibilités du campus et ceci pour tout le monde, tant qu’on est sur les révélations avec Duncan, on prend notre retraite en Septembre prochain, notre relève vous la connaissez déjà (les voyants pleurés, trouvant ca adorable) Je croyais que vous me détestiez ? »

« Pas du tout ! On t’aime ! Même si tu es violente, méchante, agressif t’es comme notre maman, tu es toujours là pour nous guidé, t’écoute tous le temps nos histoires, pareil pour Duncan, on sait que si vous êtes aussi dur, c’est pour notre bien, pour nous endurcir mentalement et physiquement, parce que dans la vie qu’on va mener, les dangers peuvent arriver à tous moments » parle un des élèves à cœur ouvert avec les autres acquiesçant

« Que vous êtes mignons, mais malheureusement notre décision est prise, on a commencé on avait vingt ans, on a été des agents jusqu’à nos cinquante ans, puis on est devenue professeur »

« T’es vieille en fait ! On ne dirait pas que t’as cent ans passé ! T’en fait cinquante au plus »

« Tant mieux alors, mais Lucius je te l’ai déjà dit, réfléchie avant de parler (ce craque les doigts) vient que je te frappe, je vais t’apprendre à m’insulter »

Rigolant, ce moquant d’elle la bonne humeur revient.

Pendant qu’eux envisage et réfléchisse, deux jumeaux quelque part qu’eux seules connaissent la localisation, dans ce qui a l’air d’un dojo, une grande pièce recouverte de tatami et d’une baie vitré au nord donnant vue aérienne sur un paysage citadin, les reste recouvert de mur peint d’une fresque d’une forêt de bambou avec au centre de la pièce, deux arènes de tatami divisé par des ustensiles à combat, au mur d’un coin de la pièce soigneusement rangé des armes blanches de toutes origines, avec des bancs à altère, à leur droite couloir menant à une intersection au milieu une cascade d’eau devant un tableau de pierre entouré de rose dans une vitre blindé, avec écris au sang soigneusement calligraphié en japonais « l’ordre dans le chaos », se battant contre un homme caucasien d’une trentaine d’année, dépeint comme le bon combattant homme de grande taille en survêtement, torse et pied nue un corps très musclés, costaud surentrainé pour le combat Il a également plusieurs cicatrices qui se croisent sur sa poitrine et ses bras, au visage carré, la mâchoire ciselé stoïque inexpressif, une apparence du bon soldat cliché, l’apparence dur, arrogante et dédaigneuse ni beau, ni laid, a de très longs cheveux noirs qui saignent dans des tons de rouge terne, avec un bandeau vert sur la tête pour éviter que ses cheveux tombe sur son visage remarquant qu’il a plusieurs tatouages, sur la main un code barre avec en haut marquer Pégase et en dessous 687, un trèfles à quatre feuille sur la nuque, un ouroboros sur l’avant-bras gauche, tous le bras droit jusqu’au poignet tatouer d’un paysages fleurie, se prolongeant sur le pectoraux droit finissant en arbre fané .

Dans un combat, ses deux jumeaux contre lui, encaissant ou esquivant les coups sans effort, les observant attentivement et remarque qu’en quelque mois ils ont énormément changé, ses deux jeunes qui était remplie de haine et amertume, après des heures, semaine, après avoir frôlé la mort plus d’une fois, dans des circonstances traumatisante, sont étrangement devenue plus calme, réfléchie, s’entraine sérieusement ne rate plus aucun entrainement, et on désormais un ou plusieurs but dans la vie, apprenant la boxe thaïlandaise et le kendo munie d’un katana de bois, sans ce regarder, d’une synchronisation parfaite, sans ce rentrer dedans au contraire d’un combiné essaye de vaincre cet homme, s’appuyant sur son frère pour se projeter vers lui, d’un sourire satisfait esquive le coup de pied en haut et en bas d’une pirouette horizontal leur vole leur katana et les frappe en pleine tête.

(Parle en Anglais)

« Mais comment un truc aussi gros que toi ! Peut-être aussi agile ?! » s’énerve un des deux

« L’expérience, surtout qu’avant de devenir un super criminel hautement recherché, j’étais un super soldat, soldat enfant, tueur à gage, mercenaire et j’en passe, donc vous n’allez pas m’apprendre à moi comment me battre, je fais que ça depuis que je sais respirer, par pur curiosité qu’est-ce qui vous a fait changer d’avis ? Y a quelque mois vous étiez remplie que de haine »

« Simple toi et Briana aviez raison, la fois où on a fait l’erreur de s’en prendre aux mauvaises personnes, des membres de Kiméra, pendant qu’on se faisait torturer, on a eu le temps de réfléchir à notre vie et on s’en rendu compte d’une chose, comme vous le disiez faire le mal uniquement pour faire le mal c’est inutile, ça n’apporte rien, et de fil en aiguille on s’est rendue compte, que si depuis notre enfance on n’as cette haine, on est toujours en colère, c’est à cause de la société, on nous à coller une étiquette sous prétexte qu’on soit orphelin et enfant d’une ancienne prostitué et un criminel, du coup quoi de mieux qu’assouvir notre haine en réformant la société, qu’en aidant deux célèbres super-vilain, autant mettre notre rage à bon escient » assure Duke se relevant d’un coup puis tendant la main à son frère

« Sinon c’est quand qu’on passe aux choses sérieuses ? Ça fait des mois qu’on s’entraine »

De derrière eux, d’un mouvement finisse à nouveau au sol, leur Katana à la main leur pointant sur le cou, regardant ses deux jeunes de taille standard pour leur âge devenue bien musclé, à la stature solide et carré, d'apparence ordinaire, commune, ni beau, ni affreux, tous chez eux les décrits comme lambda, une apparence de tous les jours, un corps parfaitement proportionnés sous toutes les coutures ni gros, ni maigres, deux adolescents issus d'un métissage leur donnant une belle peau, couleur caramel, les traits du visages caucasiens mélanger à des origines noirs, des yeux marron clair un n’as pas de cheveux, et l’autre à des cheveux teint blond platine coiffé en dreadlocks lui arrivant aux épaules, et on cet air, ce visage qui a l’air toujours enragé.

« Vous n’avez pas tords, l’expérience est un excellent entrainement, mais avant de vous accepter en tant qu’acolyte, vous devez prouver votre valeur rendez-vous dans une heure en salle de conférence, allez-vous lavez mais avant »

Les frappants d’un coup de katana en bois sur la tête, les voyant se tortillés de douleur, est l’idée même de femme fatal, cette femme aux charmes et à la beauté indéniable, tous la décrivant comme cette femme qui fait tourner les têtes, elle mesure 1,72 m, des yeux verts perçant et des longs cheveux roux ondulé, un visage recouvert de tache de rousseur accentuant cette beauté fatale, ce charme arrogant, excitant et enivrant.

« Appelez-moi maman, je vous ai adopté, je suis officiellement votre mère, oubliez votre passer désastreux et ensemble avançons vers un avenir meilleur, je dis ça mais est-ce que vous aimeriez me considérez comme votre mère ? Malgré le fait que j’ai que 36 ans ? »

« On en a beaucoup discuté entre nous et en un sens c’est une des raisons pour laquelle ont à toujours été aussi en colère, la société nous imposait ses choix sans nous demander ce qu’on voulait, et quand on a été persécuté, maltraité elles n’y étaient jamais pour rien, on s’est rendu compte que la société, voir l’humanité est hypocrite, sa joue les saints, critiques les démons mais fait bien pire et n’assume pas, se sont eux ! Les vrais démons ! Mais sont bien trop lâches ! Pour assumer leur apparence et les super-héros et autre abruti qui se dit lutter contre le mal, alors qu’ils sont le mal ! C’est eux la racine du problème ! Ils travaillent pour cette humanité malsaine, bref et toi en quelque mois t’en a bien fait plus pour nous que notre propre famille depuis notre naissance, et être mère ce n’est pas une question d’âge ou de sang mais de mentalité, façon d’être, donc oui ça nous ferait plaisir » soulage son cœur avec son frère à côté qui n’exprime rarement ce qu’il ressent.

Partant se laver, se préparer quelques heures plus tard, en tenue de tous les jours, en salle de conférences, les prenants par la main les entrainent à travers de long couloir de ce loft remplie de luxe, un tapis de velours ornementé d’une fresques dorés, des murs d’or blanc remplie de tableau de peintre au portrait, paysage[…] magnifique et ridiculement couteux mais extrêment banal, s’arrêtant devant une des nombreuses portes en bois exotiques, peint en noir corbeau, avec une plaque en or avec gravé dessus Briana D. Baker, l’identité de leur mère adoptif celle-ci est protéger par une serrure électronique à code et empreinte digital, ouvrant la porte, la pièce s’illumine d’elle-même, découvre stupéfait une pièce décoré simplement et modestement une moquette avec des poufs géants entouré d’étagères, remplie de bocal aux liquides vert qui conserve à l’intérieur des têtes humaines, d’homme, femme, enfant, de tous âges, types, horizons, soigneusement conservés dans ses bocaux en verre, scellés par deux couvercles noir, avec une plaque en or, une qui contient leur nom de vilain, l’autre l’identité du mort.

« Comme vous le voyez, on vit dans un monde violent, sans pitié si vous y rentrer vous ne pourrez plus jamais en sortir, êtes-vous sur de vouloir en faire partie ? Cas contraire on peut vous effacer la mémoire ce n’est pas un soucis »

« On connait déjà bien ce monde, on est née dedans et on compte bien y retourner, mais par curiosité si un intrus ou autre rentre ça peut servir de preuve »

« T’es mignon Lord, on est le célèbre couple de criminel Sorrow et Fury Man, ça fait déjà quinze ans que je suis dans le milieu et je ne me suis jamais fait prendre, c’est qu’il y a une raison, dont une simple la double vie, quand t’es assez stupide pour montrer ton visage, c’est facile de te faire piéger, alors que nous à part cette identité, ils n’ont rien contre nous, sinon vous n’avez pas l’air effrayés »

« On a vu le pire côté de l’humanité, par contre c’est quoi le délire ? Un jeu ? Je n’en vois pas l’intérêt mais bon, si ça vous amuse, sinon c’est quoi notre mission ? » demande Lord et Duke

« Simple c’est un vestige du passé, certes faut l’oublier pour avancer, mais n’oublions pas que sans lui, le futur n’existerait pas donc comme symbole de mortalité on garde un souvenir, par conséquence pour vous aider on a réfléchi et on s’est dit quoi de mieux qu’un test pour voir, votre détermination »

Allant prendre un ascenseur, montant de quelque étages passe de leur loft, à une grande salle très vide comprenant uniquement un tableau de bord tactile, relié par infrarouge à un mur de roche en face recouvert d’écran avec derrière le bureau incrusté dans le mur légèrement sur élevé, un trou à taille humaine, avec leur nom de code gravé en dessous y rentrant une paroi vitré s’abaisse devant eux, leur costume se matérialisant sur eux, sur la vitré on toutes les informations qui apparaissent, avec une image d’eux en costume, curieux cliquant dessus reflètent leur image en live, tous deux portent le même costume avec deux légères modifications l’un de l’autre, tous deux portent une combinaison noir moulante une pièce, du cou aux cheville, les mains compris, à ce costume ont rajouté des idées utilitaires, des gantelets en acier avec des trous aux paumes et une ouvertures aux poignets et aux coudes de même aux jambes, rouges pour Lord et violet pour Duke, et pour cacher leur identités, tous deux portes une cagoules noir avec pour seul ouverture les yeux aux vitres teintés blanches, avec sur le front une plaque en argent marque de leur code « Doom » pour Lord et « Fatalis » pour Duke, se retournant ils ont marqués aux dos, sur les omoplates leur nom de code, avec des plaque circulaire métallique, pour y accroché entre autre leur armement pour Doom deux Katana aux fourreaux noir à motif de cerisier, et pour Fatalis deux fusil sniper d’assaut.

Assis autour du bureau, projetant sur les écrans leur plan, leur montre des images des membres de leur famille avec leur localisation, leur disant d’aller retrouver Warren qui les attends dans leur jet de luxe invisible dans les airs, retourner dans la cavité murale son téléporté à l’intérieur, avec Warren qui les saluts, son costume est composé il porte un t-shirt moulant à manche longue à haut col, d’un « X » orange au milieu. Sa ceinture, qui porte également des hachettes dans des carcans, tient son pantalon ample avec des protège-genoux, en dessous duquel il porte des bottes de combat noires hautes aux genoux avec des semelles et des œillets orange, porte aussi des gants en cuir, un masque noir qui entoure son visage, montant juste au-dessus de son front et passant en dessous de sa mâchoire, une pièce de ce cadre noir passe sur l'os de son nez, le masque possède 4 petits piques au niveau de la pièce du masque de part et d'autre de son nez et deux autres de chaque côté de sa bouche, recouvert d’une vitre teinté rouge terne.

« Alors vous la sentez comment ? »

« Comme l’heure de venger nos souffrances » assure Lord / Doom

« Bien dit ! Ça c’est mes fils » assure Briana / Sorrow

Elle aussi en costume un body noir à nuance de violet col roulé, un gant de couleur havane sur chaque main avec une grande boucle sur chaque protège-poignet, et deux ceintures assorties, une au-dessus de sa poitrine, une sangle de chaque côté qui va autour de ses épaules, et une autour de sa taille, avec des petits points verts tout autour.

Des bottes noires serrées avec des marques en forme de « V » sur ses cuisses, portant la même cagoule que les jumeaux.

Pendant qu’ils vols, les jumeaux revoient leurs informations, sachant où, comment les trouvés, leurs allergies, en l’espace d’une demi-heure ont trouvés tous sortes d’informations de la plus inutiles à la plus douteuse, d’une idée sordide en font par leur parent adoptif, applaudissant l’initiative et leur idées, acceptant curieux de la suite, se dirigeant sur le premier lieu, pendant qu’eux intercepte des colis, d’un clic la pièce s’assombrissant un hologramme se forme au centre de la pièce, pendant qu’eux encore en costumes analysant les plans holographique en trois dimension, d’une maison réfléchissent à une solution rapide.

« Sorrow on a un mode invisible ? Sinon on se fait passer pour des livreurs ou une connerie dans le genre, on rentre on les bute et on ressort, simple, rapide et efficace »

« Malheureusement même pour nous qui sommes riche, pas assez d’argent pour les costumes mais vous avez un mode camouflage qui vous permet de vous fondre dans le décor, essayer au pire s’il y a un problème on sera là pour vous aider »

Curieux et suivant leur instinct décide de tenter, activant le mode camouflage, ils ne deviennent pas invisibles ou disparaissent mais leur costume se fond dans le décor, donnant l’impression d’une déformation du décor, ouvrant la porte arrière de l’arrière de l’avion d’un rire se jettes dans le vide, descendant à toute vitesse tombe sur le toit sans faire de bruit, glissant pour tomber devant la porte d’entrée, sonnant à la porte finissant par ouvrir les habitants en pleine confusion ne voyant personne, frustré insulte les enfants du quartier et leur blague de mauvais gout, se faufilant à l’intérieur au moment où elle se retourne, observant cette maison où une famille heureuse aisé y vit, jovialement décoré de portait peint ou photographié en individuel ou en groupe, représentant une famille heureuse, des parents, une adolescente de leur âge qui est leur cousine et le chien, retenant leur envie de vomir, repensant à tous ce qu’ils ont enduré, les souffrances vécu n’ont qu’une idée en tête.

« Je te connais et moi aussi j’en ai envie, mais n’oublie pas comment on a fini la dernière fois, plus on doit garder notre identité secrète, bon on s’y met ?! » » assure-t-il par télépathie à son frère, ce lien psychique que tous jumeau ont.

Se craquant les membres redeviennent visible, tapotant sur son épaule, d’un coup de poing Doom l’assomme, se réveillant endoloris avec l’œil droit gonfler, se retrouvant ligoter main dans le dos, pied lié, assis dans un salon sur un divan avec en face ses parents, d’une vague d’idées sentiments lui remontant aux larmes, se débattant, hurlant malgré le bâillon dans la bouche, effrayés pour sa vie et celle de ses parents, n’imaginant qu’une fin, regardant autour d’elle, les rideaux tirés, sifflotant un air de mariage, Fatalis arrive de la cuisine combiné au salon, sortant du frigidaire, avec dans un plateau d’argent une tête décapité de doberman, plantant des fourchettes dans la tête, la posant sur la table basse entre eux la fille et les parents, agacé par les hurlements, arrache la fourchette et lui plante dans l’œil, s’excusant lui retire, puis lui plantant dans la jambe.

« Fatalis, on peut en finir ? Tous ses gémissements me font mal au crâne, mais avant je peux m’amuser avec elle » demande Doom en tripotant les seins avec passion, léchant le cou de cette femme, qui pourrait être leur tante d’une voit plus grave, roque que sa voie ordinaire.

« T’as vraiment un problème toi, en plus elle a l’âge d’être notre mère, c’est dégoutant ! »

« Toute façon on va les tués, donc laisse-moi m’amuser un peu ! Cette fois-ci je me suis préparer en avance, je vais nettoyer derrière »

« Y a intérêt, parce que la dernière fois, on a failli finir en prison »

D’un grognement, tous content tirant la chaise sur laquelle elle est assise la tire hors du salon, avec le mari se débattant corps et âme, et la femme qui en larme abandonne, d’une balle dans la tête la mort a eu son silence, regardant la fille lui enfonçant le bout du pistolet dans la bouche, d’une idée claquant des doigts, retournant dans la cuisine prend six couteaux, voulant la visé la rate à chaque fois, lui enfonçant dans le mur devant elle, déçu prend son autre pistolet et lui tire une balle dans la tête, puis dans le cœur.

« Etrange suis meilleur au pistolet, faut que je travaille mon lancé »

Envoyant un message à son frère, le retrouvant une dizaine de minute plus tard dans l’avion, le voyant entrain de transvaser des liquides dans des conteneurs, dans des grenades, des objets ovales servant d’explosif quand on tire sur la languette

« Duke change toi, pour le prochain lieu tu vas être serveur, toi Lord je te punis comme je sais que t’es sensible à la chaleur, je t’envoie dans un sauna… »

« Pourquoi ?! Parce que je l’ai violé ? »

« Ça on s’en fou, mais n’oublie pas tu ne dois rien faire qui mettrait en péril notre double vie, et t’as mal nettoyé derrière toi pour cette fois je te laisse couler avec ça, la prochaine fois tu vas finir dans…»

« Petit erreur de calcul »

« En attendant que Fury revient, changer vous »

Un moment plus tard Duke en tenue de serveur, veste jaune aux bords rouge, avec le logo, la casquette pour les cheveux, un jean noir et des baskets, d’une grande marque de chaine de fast-food et restaurant familial mondialement connue, n’ayant qu’enfilé une tenue, enfilé une fausse peau, perruque, subitement parait comme une personne caucasienne lambda en surpoids, contrairement à son jumeau toujours en costume.

« Juste une question, ils ne vont pas remarqués que t’es un faux employés »

« Pendant que tu faisais t’es connerie, j’ai hacker leur serveur, fait passer pour un employé, détourné de l’argent » explique Sorrow

« T’es déjà riche pourquoi détourne de l’argent ? »

« Mise en scène, pour emmerder la police, au passage je vous aie inscrit dans un lycée privé, ça ne vous fera pas de mal de vous cultiver un peu »

Sur leur nouveau lieu, recevant la commande de sa future victime, la plaçant et l’envoyant, comme toujours d’un affut monstrueux, prenant la commande dans sa main droite créant une petite boule rocheuse abimé avec des parties montrant l’intérieur brillant d’une couleur jaune, la réduisant en poussière qui se verse dans les boissons, en refait pour en verser sur les burgers, frites, leur apportant, repartant faire son boulot, observant la scène, sans le vouloir bouscule un client qui s’énervant, le prenant par le col, l’insultant, énervé d’une seule envie or d’une lutte intérieur, devant quitté les lieux, s’excusant lui apporte des boissons gratuites, y versant sa poudre dedans, retournant au comptoir, d’un décompte, des cris de douleurs suivies d’autre cri, dans l’avion savourant cette vue, les regardes convulser au sol, puis d’un bruit d’explosion vomir du sang et mourir, comme soulagé et heureux d’avoir commis de tel atrocité.

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