La mort ? Ce n'est rien.
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Quand la terre a fini de blanchir nos cheveux, le ciel nous appelle et ouvre la pénombre qui recouvre nos sens.
Seulement là, nous pouvons voir.
Les jeunes cirent les pompes de la chair.
Les vieux s'accrochent aux chapelets.
Celui qui a compris est d'abord kafkaïen nihiliste, puis plus rien.
Il est midi, je ne vois toujours pas le soleil.
Moi, à midi, j'irai à nouveau chercher le soleil.
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