LES PAS DES RATS
de
Khaled Haddad
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LES PAS DES RATS
Je marchais durant deux heures dans une forêt enveloppée d'un voile de cries de chauves souris, d'hurlements de loups, de craquement de branches en me remémorant les miasmes des orgasmes qui m'avaient conduit jusqu'ici.
J'avais écouté les caprices de ma queue sans songer au chemin du retour. J'avais quitté cette cabane où m'a conduite une succube pour une entrevue charnelle, je me trouve alors perdu avec la peur pour seule complice. J'avance avec pour acolyte le craquement de l'automne sous chaque pas!
La hauteur des arbres ne me permettais de voir que quelques étoiles dessinées sur la soutane du jour soudain, un crie mit mon cœur à la gorge à la vue d'un squelette représenté par un arbre. Ce crie s'est échappé de ma voix inhibée par la peur dont l' écho fit raidir mes jambes!
J'invoquais le ciel afin d'arroser mes frissons et mes sueurs froides par la tiédeur de la sérénité mais, derrière moi des bruits de pas avec un bruit à déchirer le sommeil de la nuit se rapprochant, tantôt s'éloignant. C'est la mort qui me cherche après avoir quitté ma succube à l'arrivé de son époux où, j'ai préféré fuir l'orage qui maintenant me poursuit.
Ma respiration terrorisée se blottit contre un arbre. Les frissons maintenaient leur chorégraphie sur mon corps ma queue perverse pissait! La mort les poursuivait!
Mon cœur me suppliait de mourir sous l'extase d'une vipère que sous l'emprise de se damné heureusement, les pas s'éloignaient...
Mes sens pouvaient de nouveau respirer et dans un geste de soulagement une maladresse provoque un énième craquement de feuilles mortes, les pas, la mort se rapproche de nouveau...
Une ombre fit son apparition en vacillant non, c'est mes yeux qui dansent aux pas de l'horreur, mon sang se fige par le froid de la peur!
Un corps de femme à la blancheur d’albâtre nue, une poitrine charnue coiffé d'un sourire de sangsue se penche sur mon corps recroquevillé blottit à l'arbre poissé de froid et d’émerveillement quand, de ses grand yeux noir jaillirent de gros rats, ils en sortaient de partout, de ses oreilles , de sa bouche avec de petits cries de joie puis une douleur et plus rien.
J'ouvris les yeux et je m’aperçus que je m’étais assoupie sur le canapé face à ma télé à suivre les informations des élections. C'était comme toujours, l'élection de nouveaux rats à la tête du gouvernement pour encore sucer la sérénité du peuple à petits pas....
KHALED HADDAD
Je marchais durant deux heures dans une forêt enveloppée d'un voile de cries de chauves souris, d'hurlements de loups, de craquement de branches en me remémorant les miasmes des orgasmes qui m'avaient conduit jusqu'ici.
J'avais écouté les caprices de ma queue sans songer au chemin du retour. J'avais quitté cette cabane où m'a conduite une succube pour une entrevue charnelle, je me trouve alors perdu avec la peur pour seule complice. J'avance avec pour acolyte le craquement de l'automne sous chaque pas!
La hauteur des arbres ne me permettais de voir que quelques étoiles dessinées sur la soutane du jour soudain, un crie mit mon cœur à la gorge à la vue d'un squelette représenté par un arbre. Ce crie s'est échappé de ma voix inhibée par la peur dont l' écho fit raidir mes jambes!
J'invoquais le ciel afin d'arroser mes frissons et mes sueurs froides par la tiédeur de la sérénité mais, derrière moi des bruits de pas avec un bruit à déchirer le sommeil de la nuit se rapprochant, tantôt s'éloignant. C'est la mort qui me cherche après avoir quitté ma succube à l'arrivé de son époux où, j'ai préféré fuir l'orage qui maintenant me poursuit.
Ma respiration terrorisée se blottit contre un arbre. Les frissons maintenaient leur chorégraphie sur mon corps ma queue perverse pissait! La mort les poursuivait!
Mon cœur me suppliait de mourir sous l'extase d'une vipère que sous l'emprise de se damné heureusement, les pas s'éloignaient...
Mes sens pouvaient de nouveau respirer et dans un geste de soulagement une maladresse provoque un énième craquement de feuilles mortes, les pas, la mort se rapproche de nouveau...
Une ombre fit son apparition en vacillant non, c'est mes yeux qui dansent aux pas de l'horreur, mon sang se fige par le froid de la peur!
Un corps de femme à la blancheur d’albâtre nue, une poitrine charnue coiffé d'un sourire de sangsue se penche sur mon corps recroquevillé blottit à l'arbre poissé de froid et d’émerveillement quand, de ses grand yeux noir jaillirent de gros rats, ils en sortaient de partout, de ses oreilles , de sa bouche avec de petits cries de joie puis une douleur et plus rien.
J'ouvris les yeux et je m’aperçus que je m’étais assoupie sur le canapé face à ma télé à suivre les informations des élections. C'était comme toujours, l'élection de nouveaux rats à la tête du gouvernement pour encore sucer la sérénité du peuple à petits pas....
KHALED HADDAD
FantasyHorreurHumour
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Commentaires & Discussions
LES PAS DES RATS | Chapitre | 2 messages | 9 ans |
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