Chapitre 4 - VP Laetitia

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(Texte érotique - fessée érotique)

Et je ne peux pas lui répondre. Je suis tétanisée. Comment ai-je pu penser qu’il ne saurait jamais une telle énormité ? Il confie depuis trois ans les plus gros secrets de sa boîte à la fille de son plus gros concurrent. Et s’il venait à apprendre que Mathieu, son meilleur ami, était au courant ? Il va forcément s’en douter, c’est lui qui m’a trouvé cette place quand je suis revenue d’Inde pour soutenir ma mère dans son combat contre la maladie et que j’ai voulu rester car son état demeurait fragile. Il me dit « Je veux vous voir à la chambre 115 immédiatement » et il quitte le bar également. Il me faut une demi-heure pour que mes jambes me soutiennent suffisamment et je vais frapper à sa porte pour essayer de m’expliquer. Il me fait entrer et son regard brûlant me glace le sang. Il commence à me poser des questions :

- Vous êtes la fille de Bruno Demange ?

- Oui.

- Dirigez-vous vers le bureau. Vous êtes restée en contact avec lui ?

- Non.

- Restez où vous êtes. Mathieu était au courant ?

- … oui.

- Allez vers le bureau. Qu’est-ce que je dois penser de tout ça, vous croyez ?

- …

- Mettez-vous face au bureau. Qu’est-ce que je dois faire ? Vous virer ?

- …

- Je vous faisais vraiment confiance vous savez ? Restez face au bureau. Je ne comprends pas trop ce que je fais là, face au bureau justement.

- …

- Le problème c’est que maintenant, je ne vois pas vraiment comment je pourrais me passer de vous, et je ne vois pas non plus comment je pourrais vous garder.

- …

- Vous savez ce que j’ai envie de faire en ce moment ? J’ai envie de soulever votre petite jupe coincée et de vous mettre une fessée à toute volée, comme l’a suggéré votre ami Maillot. Penchez-vous sur le bureau. Peut-être allez-vous être plus courageuse cette fois. Soulevez votre jupe coincée. Je ne bouge pas. Je n’y crois pas une seule seconde.

- …

- Vous savez que je n’aime pas beaucoup me répéter. Soulevez votre jupe et posez vos deux mains sur le bureau Mademoiselle Delacre! Il s’approche de moi et il pose mes mains lui-même. A votre avis, combien de temps devrait durer cette fessée ? Non mais il va vraiment faire ça ? Lui aussi, il doit être revenu en 1550 ! Répondez Mademoiselle Biscuit.

- … je ne sais pas Monsieur. Il soulève ma jupe. Il voit ma culotte ! Première claque, le salaud se lâche dès le début. Je suis suffoquée par la rapidité des évènements, je n’arrive plus à réfléchir et je ne crois pas à ce qui arrive. Pourtant, je reste là. A cette heure-ci, il pense peut-être réellement que je suis en mission pour mon père, il a le droit de me faire absolument ce qu’il veut...

- Répondez à ma question.

- …je crois que cinq minutes sont déjà beaucoup Monsieur.

- Baissez votre culotte, Mademoiselle Delacre. Je pensais plutôt à quinze minutes en fait. Je vais donc recommencer au départ. Vous êtes la fille de Bruno Demange ?

- Oui. Il baisse lui-même ma culotte. Deuxième claque, mes joues sont cramoisies à l’idée que mes fesses vont bientôt l’être et qu’elles sont à l’air, et qu’il les voit.

- Vous avez vraiment rencontré Mathieu à l’université ?

- Oui. Troisième. Je reste docile, je me remets bien en place à chaque fois car je sais que je l’ai méritée, cette fessée.

- Il vous a recommandé pour ce poste ?

- Oui. 4éme.

- Cela ne vous a pas posé de problème ni à l’un ni à l’autre, de me cacher ce « détail » ?

- … si Monsieur. 5éme claque, ça chauffe vraiment là.

- Mais vous l’avez fait quand même ?

- Oui Monsieur. Avalanche de petites claques qui me font déjà pleurer à chaude larmes, je n'ai pas vraiment mal mais je sanglote en continuant à répondre, ce qui augmente ma gêne.

- Vous m’avez menti pendant tout ce temps ?

- Je n’ai plus de lien avec mon père, Monsieur Fortet ! Autre claque, je sens quelque chose de chaud dans le bas du ventre. Cette fessée me ferait presque du bien. Les tensions accumulées tout à l’heure disparaissent.

- Est-ce que vous avez honte ?

- Oui, Monsieur. Plus de ce qui m’arrive en ce moment, en fait.

Il continue sans parler, régulièrement, fermement. Je continue à sangloter et à gémir à chaque claque mais la douleur ne dure que quelques secondes, parfois elle est supportable et parfois je crie plus fort parce j’ai un peu mal. Il change de côté pour changer de main puis me dit « Concernant les cinq minutes, vous aviez peut-être raison, mes mains sont bouillantes ». Le salaud, et mon cul ?? Il cherche quelque chose et trouve une règle dans ma propre sacoche. Il commence et au début ça me fait… un bien fou ! Un pur bonheur ! La règle plate sur mes fesses me semble toute douce. Mais il augmente assez vite la puissance des coups et là, je sens mes jambes fléchirent sous la douleur, je me tords, je recul mes fesses. Et il continue. Il me demande si je mérite ça, je réponds oui et bizarrement, cela apaise ma douleur. Il me « finit » à la main à toute volée comme il me l’a promis et je suis propulsée contre le bureau, mes jambes et mes mains ne me tiennent plus mais le bureau maintient mes fesses en l’air juste assez pour qu’il ne me rate pas une fois et je pleure comme une enfant. Soudain, j’ai une sorte de mini-orgasme et ça me choque tellement d’avoir un orgasme dans cette situation que je m’arrête de pleurer un instant, mais une fois l’orgasme passé, je ressens les coups comme s’ils étaient dix fois plus fort, je manque de m’écrouler et il décide que ça suffit. Il regarde son œuvre un bon moment, c’est-à-dire mes fesses qui doivent être d’une rougeur invraisemblable et je me calme. Il me dit : « Je pense que ça ira pour aujourd’hui, je vous conseille d’aller travailler immédiatement car vous n’aurez pas le temps demain matin ». Je ne comprends rien. Il remet ma culotte et ma jupe et je grimace sous la douleur. Avant que je ne passe la porte, il ajoute : « J’aurais dû vous faire ça la semaine dernière, non ? » Et comme je comprends trop bien ce qu’il veut dire, je réponds : « Je ne vois pas de quoi vous voulez parler ».

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