Chapitre 1
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- Hugo se frotte l'arrière de sa tête, la lettre dans son autre main.
C'est qui déjà Harmus Covlin ? Et elle se trouve dans quelle troue paumé cette vieille bicoque, ou meme ce terrain ? Se demande t-il.
Aucune information de plus à ce sujet. Il ne sais lui même pas quoi en penser. Il reçoit régulièrement des arnaques téléphoniques, alors ça pourrait très bien être une nouvelle méthode.
Ou alors, on veux lui faire réparer une vieillerie familiale.
Ouais mais il y peut rien Hugo, si il est soit disant le dernier survivant de la famille Covlin. D'ailleurs, il est sceptique car il n'en a jamais entendu un seul mot. Son nom de famille n'est même pas Covlin, d'ailleurs. Ni sa mère, ni de son père. Voilà pourquoi il pense à une arnaque. Peut-être que le vieux Harmus, il a une autre personne dans sa famille. Bah ouais, ils ont bien retrouver la trace d'Hugo. Six mois après le décès du vieux de quatre-vingt piges.
Il se remore l'appel téléphonique avec sa mère, juste apres la decourte de ce contrat.
-Que se passe t-il mon lapin ?
-Je t'ai déjà dit de pas m'appeler comme ca, mais passons, y a plus important.
Un bref silence suivit.
-Ouais, bon... tu me fais peur Hugo. Tu as des problèmes des santé à nouveau? Tu as besoin d'argent, tu-
-J'ai "juste" hérité d'un terrain, d'une maison ou n'importe quoi d'autres d'un vieux type ! Il me convoque dans trois jours.
Il avait entendu sa mère répéter à son père, il entendit d'ailleurs des bruit de froissement. Sans doute son père qui devait lire son journal, comme chaque matin.
-Qu'est-ce-que tu baraguine, encore ? De qui ? Personne n'est mort dans la famille !
-C'est marqué noir sur blanc. Je suis le dernier héritier de Harmus Covlin.
A nouveau un silence. Même plus de bruissement de papier.
-Maman ?
-Oui, mon chéri. Ça doit être une erreur de destinataire. Parceque ni moi, ni ton père ne le connaissons, ce monsieur ! Je te conseille de faire attention.
-Je sais. C'est à 2000km en plus. J'hésite.
-Prends garde, fils. On ne sais jamais sur quoi on tombe avant d'y avoir poser le pied.
son père avait prit le téléphone soudainement, et l'appel avait fini peu de temps après ca. Hugo etait toujours aussi perdu et angoissé, aussi.
Bordel, sa vie se passer si bien jusqu'à présent. Il avait quitter le cocon familial en bons termes avec ses deux parents, et ses deux grands frères et sa cadette. Il avait emménagé, et presque concrétiser avec sa future copine. Il avait instauré une routine agreable. Ouais. Parceque maintenant il est à prioris obligé de se barrer à plus de 2000km de son chez lui. Sa relation est foutue. Et il a la rage. Mais si il veux vraiment savoir...
Il balance la lettre par terre, énervé par cette annonce soudaine, la piétine, et tire une clope de son paquet, en l'allumant rageusement.
Tout en pestant, avec sa cigarette se consumant presque seule, il pèse le pour et le contre. Est ce que ça vaut le coup d'aller vérifier la véracité des mots, et de réclamer son dû ? En tant bien, c'est juste un champ avec un cabanon.
Il a juste une adresse, quelques informations par ci par là, et une date pour s'y rendre.
Dans trois jours. Et il a trouver la lettre le matin même.
La, pour être pris au dépourvu, il l'était il jette le megot à moitié consommer, se rend dans ses placard, et il plie bagages. Heureusement qu'il avait des économies.
Et, qui ne tente rien à rien. Avec un peu de chance...
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