Fin de pandémie, début de la WW3 ?

2 minutes de lecture

Bon, plus de malades, plus de morts. Les menteurs aux manettes de l'Etat sont contraints de supprimer les brimades. Certes, ils nous concèdent un léger mieux mais ils gardent la main sur les boutons pour un nouvel épisode viral.
Et puis, après avoir gentiment patienté jusqu'à la fin des jeux olympiques (mais pas des para-olympiques, notez-bien) voilà que le gros méchant russe déborde les frontières de son voisin ukrainien qui ne demandait pas tant d'attentions...


Donc, si je devais résumer en quelques mots-clé, voilà ce que tout cela m'inspire :
Mensonges, propagande militariste, morts (des vrai, cette fois-ci), bombes, missiles, avions, peur, terreur, viandes collées sur les papiers-peints d'appartements ruinés, exode.

Les angélistes, indécrottables optimistes volontairement aveugles, me rétorqueront :
Solidarité, compassion, aide, prière, sacrifice.

Mouais...

En attendant, notre tapette présidentielle, fortement relayée par sa tapette porte-parole, continue de nous prendre pour des cons (ce que nous sommes probablement, au final, puisque nous le laissons faire et qu'une majorité s'apprête à l'honorer d'un second mandat...) Il nous avait prévenu au premier jour de la pandémie : nous sommes en guerre. Pour l'instant, la guerre se trouve encore à deux mille kilomètres d'ici.

Mais bon... ça pue, non ?

Pour mon histoire personnelle, je retiendrai quelques noms :

Zelinsky

Poutine

OTAN

Le premier me rappelle avec insistance l'histoire de ce pauvre roi africain qui, envahi par les forces italiennes de Mussolini, avait plaidé sa cause devant les membres grassouillets de la SDN (devenue ONU). Ces derniers avaient applaudi, debout, à la lutte désespérée de ce roitelet sans importance.

Et puis, comme ils s'apprêtent aujourd'hui à le faire pour le président ukrainien, ils lui avaient tourné le dos, laissant le démon italien lui tailler des croupières sanglantes.

Poutine, quant à lui, révèle sans faiblir aux yeux des occidentaux appeurés, que ses prédécesseurs n'avaient rien à lui envier. Pays despote un jour, pays de merde toujours !

Pour l'OTAN, faut bien admettre qu'elle ne sert à rien. Oui, oui, je sais : un pas de travers et WW3 direct. Ah oui ? Et comment le savoir sans prendre la peine de faire comprendre à l'autre con de russe qu'il pourrait bien s'en prendre plein la gueule, lui aussi ? Il y a quatre-vingts ans et quelque, la France n'a pas su tuer l'oeuf nazi allemand, et on a vu ce que la suite a donné. Aujourd'hui, l'histoire bégaie à nouveau et les erreurs du passé sont toutes renouvelées. Peut-être faudra-t-il attendre encore un peu que la vieille guenille couronnée britannique casse sa pipe afin que tous les ultimes vestiges d'un passé noyé dans le sang ne puissent se lever une dernière fois pour bloquer les délires sanguinaires des nouveaux hitler en gestation ?

J'espère qu'il y aura d'autres petites pages à venir après celle-ci.

On sait jamais, des fois qu'un missile hypersonique n'aie la malencontreuse idée de venir creuser un cratère dans mon jardin...

A suivre ?

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 2 versions.

Vous aimez lire Frédéric Leblog ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0