Chapitre 1

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Au Commencement

Je vous présente à présent, l’expérience durant le chemin de vie, jusqu’à aujourd’hui, de ma renaissance.

D’être homme robotique automatisé, à être vivant humain, reconnecter au corps et esprit, l’âme et la conscience, entre le cœur, corps et esprit, ne faisant plus qu’un, avec l’essence originel.

L’énergie vibratoire de la source universelle.

A présent,

Je vis présentement, consciemment, à chaque respiration, depuis que l’être que je suis, est partit à la dérive.

L’image du phénix, apparaît.

Pour moi il signifie tout.

Symbole de la renaissance, de la force, du courage en tout temps.

Le phénix, œuvrant au cœur de mon chemin de vie.

L’histoire commence en Octobre 2014, je suis au travail, il est l’heure de ma pause et je déguste une pomme.

Tout a coup, je sens mes deux dents, incisives supérieur, qui ont bougé, et ça m’a fais un mal.

Je me dirige devant le miroir, et je suis en sang des gencives.

Quelqu’un sonne à la porte, c’est une livraison, je parle a peine, il s’en va, et j’en informe les employeurs le soir.

Le lendemain je file chez le dentiste, avec mon conjoint, et ma maman.

Le dentiste me dit, je suis désolée de vous annoncer cela, mais que les radios sont incroyables, on voit qu’il n’y a plus d’os, qui maintienne les deux incisives du haut.

Il me dit vous avez du recevoir un coup, il y a des années, mais vous ne devez pas vous en souvenir.

Le flou m’apparaît, me rappelant chaque expérience de ma vie énergétique, jusqu’ici.

Je peu assurer que je n’ai pas prit de coup, au point de ne plus avoir d’os, aujourd’hui.

J’ai toujours été, et ce depuis la tendre enfance, chez le dentiste, au moins, une fois par an, rien n’a été découvert, auparavant.

Dès cet instant, figé dans le temps, maman fond en larme, je la suis à mon tour, plus d’incompréhension que de peur, mais sans vraiment réaliser se qui se passe, puisque tout est tellement flou, dans cette nouvelle.

S’en suivra un rendez vous dans une polyclinique, avec un stomatologue.

Passant un scanner, l’annonce tombe, la naissance d’un volumineux granulome, au niveau maxillaire supérieur, qui a rongé l’os, de ce fait, le maxillaire supérieur se retrouve, tel un fromage, remplie de trou, intérieurement, dématérialiser.

Il y a différente appellation pour signifier ce dit granulome géant, j’entends ensuite kyste, et puis que c’est une forme de tumeur, et enfin, un cancer.

Je prends le recul, la hauteur nécessaire, l’être que je suis incarner est toujours là, bien ancrer présentement matérialiser, et encore incarner sur le plan physique, jusqu’ici, on respire, on se détend.

Maintenir un certain sang froid, être encore vivant, c’est tout se qui compte, peu importe la suite des évènements à venir, tenir fermement les reines, ont ne décroche pas, au risque de se dématérialiser à petit feu.

Ancrage à la terre, relié au ciel, inspire, souffle, et laissé allée, tout se qui doit se renouvelée.

Le soutien de beau papa s’en vient, réalisant le nécessaire pour trouver un chirurgien réputé au CHU de Lyon, en son sein, une équipe des plus formidable.

Avant cela, le médecin traitant aura beaucoup dirigé vers des spécialistes extrêmement onéreux.

D’une dimension, je passe à un autre plan.

Dérivant d’avantage.

D’homme robotique automatisé, se laissant absorber en portant un voile illusoire, qu’est l’outil d’argent, et qui ne voie plus en face d’eux, un être vivant humain, mais un homme, robotique, automatisé, où d’organes vivant, on panse des pièces, usées, et où il faille les renouvelés, ceci, au meilleur prix.

J’entends, comme je n’ai plus 18ans le CHU ne prend pas en charge.

Etre ange.

J’aurai été des plus choyer, à ma première intervention, qui a eût lieu en février 2015, où ils ont retiré ce dit « granulome géant », qui fût donc examiner, et qui s’avérait bénin, mais extrêmement récidiviste.

Du bonheur éprouvé, un bonheur de savoir que l’être incarner que je suis n’a pas souffert durant tout ce temps, où ce dit « granulome » grossissait dans le visage, sans que je le sente, mais continuait et rongeait de l’intérieur, dématérialisant petit à petit, le corps physique.

Une chance qu’il n’y ait pas eût ce dit abcès, et uniquement l’incident de la pomme, quant à cette découverte, le diagnostic des médecins fût clair, un palais étant comme une coquille d’œuf, bomber, prêt à éclater.

N’ayant ressentit aucun changement dans le palais, aucune douleur provoquer, je sentais qu’il était bombé, mais ne souffrant pas, je ne me suis pas poser une seule fois la question, de quelques chose d’anormal, n’ayant jamais décelé de différence, entre avant, et l’après.

Continuant le train train, en mode, homme robotique, automatisé, et de son fameux, métro, boulot, dodo.

Une opération terminer, resté quatre jours à l’hôpital, au service maxillo facial, une équipe d’infirmière formidable, une chef, un véritable cœur tendre, mais il ne fallait pas qu’il y ait de pépin dans le service, et l’équipe, car elle recadrait aussitôt.

Une jeune infirmière formidable qui c’est occuper de mon être avec bienveillance, que de rigolade et de bon souvenir elles nous laissent, ont ne se rend pas compte à quel point c’est essentiel durant tout ce cheminement, qu’est la dite, maladie.

La préparation physique, psychique, émotionnelle et spirituelle, que tout cela engendre, quand on ne sait pas encore, que ce n’est uniquement qu’un signal, plus ou moins profond, d’un mal qui indique que le corps et l’esprit sont déséquilibrés, dés harmonisé, désynchronisé.

C’est l’esprit qui maintient en état d’instinct de survie, sur le plan physique, au cœur de la matière.

Ayant passé 18 mois d’attente, en réalisant des scanners tous les 3 mois, puis tous les 6 mois, pour vérifier que cela ne récidive pas.

Quelle ré oxygénation que de sortir à chaque fois de cette structure, en ayant le Docteur qui vous dit cette magnifique information, tout est bon, ça ne récidive pas, à chaque fois, le sentiment de renaissance se ravive.

Un rappel à l’ordre !

N’oublie pas que la vie énergétique, ne tiens qu’à un fil oscillatoire, une fréquence oscillante, n’oublie pas qui tu es, pure essence énergétique vibratoire, qui vibre à plus où moins basse, et où haute fréquence, et de cela en découle matérialisation où dématérialisation de l’être incarner, sur le plan physique.

Cette année, 10 Octobre 2016, c’est repartit.

Cette fois ci pour la dernière étape, (de se que disent les médecins), la greffe osseuse, prise du péroné jambe droite, et reconstruction au niveau maxillo facial, une ouverture à la gorge, pour enlever une glande, pour pouvoir faire la jonction, avec les vaisseaux intérieur.

Autant dire que l’être incarner que je suis, ne savais, que ça allais être, aussi éprouvant.

18 mois d’attente et de préparation physique, physiologique, psychique, émotionnelle, et spirituel.

Le chirurgien informe de toute la procédure, et arriver le jour J, de la préparation avec les médecins, j’ai été enthousiasme comme jamais que de finir, une fois pour toute, cet aventure.

Tout les informations qui affluait de ci de là, maman fondait en larme, sachant que l’opération durerait plus de dix heure.

Ouverture supérieur, au niveau du palais, une autre au niveau de la gorge à droite, et normalement une ouverture à l’omoplate, et non la jambe, pour retirer l’os servant à la greffe, mais à la dernière minute, il s’avère que ça ne suffisait pas, il aurait manquer de l’os, donc il ont décider que ça serait le péroné à prélever dans presque son entièreté, juste laissé un bout à la cheville, et au niveau du genou, se qui permet encore la marche aujourd’hui, (nan sans mal), et ainsi que des fils logé un peu partout, dont une sonde nasal, une sonde urinaire, un rodon au cou, et un rodon à la jambe droite.

Ainsi que le retrait de quatre dents, incisives, supérieur, là où se logeait des particules, du dit « granulome », pour ainsi cureter en profondeur et désinfecter en profondeur.

.

L’être que je suis fût embarqué, plus de machine en arrière possible.

Signe d’acquiescement, grand sourire, force, courage, fût de mise.

Dans la chambre chez moi le soir, ce fût la fontaine de jouvence, en vue du voyage qui se préparait.

Petit à petit la foi énergétique revint, le moral remontait, naturellement.

Le 10 Octobre 2016, à l’hôpital.

Le soir venue, les infirmières demande de se doucher à la Bétadine, comme la précédente opération, quelle chance, elles reviennent, le protocole à évoluée, plus la peine, une seule douche le lendemain, avant l’intervention, avant que les infirmiers et infirmière viennent, puis direction le bloc.

J’allais profiter sereinement de la soirée, pensez positive, inspire profonde, expire au maximum, concentration sur la respiration, l’esprit présent consciemment, à chaque inspiration, connecter au corps, ne formant plus qu’un.

Un dernier sentiment d’amour à tous ces êtres chers, et c’est partit, pour une nuit de rêve.

Même si je l’avoue, l’être que je suis, n’a pas fermer l’œil en profondeur, ce fût tout de même, régénérant, ré énergisant.

Six heure, le réveille, la douche.

Puis habillage, chemisier bleu, à sept heure, arrivée des infirmiers-ères, apportant un médicament à laisser fondre sous la langue, explications de devoir le garder en bouche, durant tout le trajet, jusqu’au bloc.

Un infirmier qui pousse le lit, me regarde et me dit, c’est bon, vous pouvez l’avaler.

Alléluia.

De nouveaux protocoles, encore et toujours, s’instaurent de ci, de là.

Le jeune infirmier, répond à l’infirmière qui est en face, à pousser le lit aussi, laisse tomber le protocole, c’est dégoutant ce médicament, tu ne fais pas patienter le patient des heures avec, s’il te plaît.

Arriver en bas, dans le couloir, une froideur sans sentiment.

Un infirmier me propose un drap tout chaud à poser sur moi, le rêve.

Un être bienveillant.

Ils déposent le lit en aligner, dans un couloir, devant un autre patient, lui aussi en attente, et puis arrive du beau monde, dont une jeune fille qui devait avoir 16 ans, ça faisait chaud au cœur.

La sensation de solitude, étant empreinte absolue, en mon fort intérieur, à cet instant.

Les larmes m’envahissent, coulent sans que je ne m’y attendre, le ressente, je ne pense plus, je laisse allée, je lâche prise, je ne m’agrippe pas au pensée, qui malmène mon être.

La famille me manque, mon compagnon, je souhaite les enlacer, les embrasser, je souhaite être de retour chez moi, pour retrouver, le train train habituel.

(Ignorant encore, où fût le véritable chez moi, en étant l’incarnation même, en mon propre fort intérieur, à l’instant présent).

Mais qu’est ce donc notre train train, quand tout à coup, tout bascule, l’incertitude, c’est là le sentiment que mon être ressent.

A cet instant, il faut trouver d’autre repère, là, tout de suite, pour se sentir en sécurité, mais où d’autre, qu’à l’intérieur de son propre fort.

A l’inspire, je me concentre, une chaleur, une émotion m’envahit, et je m’entends dire, « tout ira bien, ai foi en toi, ai confiance, tout ira bien ».

On vient chercher le lit où je suis installé, et on entre dans une salle, un anesthésiste arrive, et me demande toute les informations me concernant, puis direction, le bloc.

Il me pose un masque sur la bouche, et me dise de respirez doucement, profondément, et de pensez a un endroit de rêve, et là je m’en vais en direction de la Polynésie française, ce fenua d’où je reviens, qui m’apparait, tel un rêve.

Les larmes coulent sur ma joue, Tout les êtres que j’aime me sont empreints à cet instant.

Et c’est l’évaporation.

Le réveil.

J’ai en souvenir, avoir vomis deux fois, et une dame qui me regarde avec sa petite lampe torche dans les yeux, ce fût extrêmement désagréable ce flux de lumière, qui à jaillit au réveil, et elle me dit de regarder dans un sens, et puis un autre, et que tout fût ok.

J’avais pourtant demandé à l’anesthésiste en rendez vous, je n’ai bien sûre pas vu la même que j’avais eût, s’il serait possible d’avoir quelques chose contre les nausées pour le réveil, et elle m’avait dit oui, d’y noter, et y prendre en considération.

Pour se qui fût de la morphine, n’en ayant jamais prit auparavant, je voulais éviter, et avoir autre choses, elle m’a simplement dit vous savez d’une personne à une autre, tous réagissent différemment.

Le chirurgien m’aura assuré, que je n’en aurai pas eût.

Un réveil plutôt rude, j’ai en souvenir de les voir, le chirurgien, et son équipe, aligner à la droite du lit, et je vois le goutte à goutte à côté.

Je me souviens qu’on m’a fais patienter dans un couloir, puis qu’on m’a mise dans une autre pièce, et là, des infirmiers venait, partait, me demandait toujours la même chose, comment vous appelez vous, qu’elle âge avez-vous, d’où venez vous, que faite vous dans la vie.

Sans interruption.

Puis que l’on m’emmène dans une pièce pour me laver les cheveux, où l’a, on me transbahute sur un lit, on me couche d’un coté, d’un autre, et je meurs de froid, et j’ai qu’une envie, qu’on me laisse tranquille, qu’on ne me touche plus, et qu’on ne me pose plus de question.

Le lavage de cheveux fut extrêmement rude, l’infirmière tirait les cheveux, et s’excusait, mais qu’elle était obligé, et qu’elle ne comprenait pas pourquoi, on ne m’avait pas mis une protection, (une charlotte) car mes cheveux était saccager avec le sang, et la Bétadine.

Ne pouvant plus rien en faire, et moi ayant la sensation de ne plus avoir un cheveu sur la tête, l’infirmière me dit, on va faire un chignon, et les laisser comme ça, et quelqu’un d’autre, se chargera de vos cheveux, lorsque vous remonterez au service, maxillo-facial.

Une envie de pleurer, je me suis sentie souiller.

Une stagiaire, me lavant d’un côté, l’infirmière d’un autre, et sans aucune gentillesse, j’avais l’impression d’être une véritable marionnette allongée, et que ça embêtait plus qu’autre chose, de s’occuper de moi.

Tellement le débordement de travail est phénoménale pour eux, ils sont à un point de rupture si puissant, ils n’en peuvent plus eux même, de la surcharge, et surtout, des conditions qu’on leur impose.

Et nous être vivant humain, n’y sommes pour rien, et n’avons pas besoin de cela, à cet instant présent.

Tout sur le même bateau, eux en souffrance de maltraitance envers eux même, et ne peuvent apporter tout se pourquoi il œuvre, au départ.

Puis j’ai le souvenir, qu’on me mette dans une pièce, entourer de mur rose, je suis vraiment ahurie de ne pas voir de fenêtre, pour voir dehors, tout du long, j’ai cette sensation d’oppression.

Où je suis ?

Qu’elle heure est il ?

Quelle jour sommes nous ?

Le néant.

Je ne suis informé de rien du tout.

Dans cette pièce rose, en face du lit, des armoires murales, et le goute à goute à ma gauche, les infirmières viennent me voir, tous les x temps.

Tant il y a de débordement, et pas assez de monde pour s’occuper comme il faut, d’un seul être.

J’entends sonnez dans tous les sens, ça court, ça parle de tous les patients sous votre nez, du coup, je prenais tout se qu’ils disaient, croyant que tout me concernait.

J’ai eût le thorax qui me brûlait, personne ne m’entend lorsque j’appelle, j’en pleure tellement j’appelle, et que personne ne vient, où bien l’ont me répond, oui oui j’arrive, en vain.

Une attente interminable.

Quand enfin je peu m’exprimer, on m’entend, et je dis que je ne me sens pas bien du tout, que j’ai froid, je me sens congeler, j’ai des fourmillements dans tout le corps, partant de la pointe des pieds, remontant à mesure des battements du rythme cardiaque qui s’accélère, et le thorax, qui brûle, de plus en plus.

Un médecin arrive, et il mette les électrodes pour voir le cœur, j’entends qu’il pulse à plus de 150, je l’entends qu’il répète ceci, sans montrer une once d’inquiétude, juste très nombreux à aller dans un sens, puis dans l’autre, et une stagiaire, à côté de moi, à qui je demande de ne pas me lâcher la main, parce que je me sens partir, parce que je ne veux pas mourir, je ne veux pas m’endormir.

Un sentiment si puissant d’incertitude, quant à l’à venir.

Elle tente tant bien que mal, de me rassurez, mais rien n’y parvient.

Je demande à voir ma maman absolument, paniquer, où bien le chirurgien, mais on me dit que ce n’est pas possible, que le chirurgien est occupé, et que ma maman n’est pas présente.

J’explique que c’est impossible, m’a maman est là, elle devait venir pour onze heure, et m’attendre dans ma chambre à mon retour en maxillo, d’ailleurs, je pense, mais pourquoi ne m’avez-vous pas remonté au service ?

Pourquoi suis-je toujours ici, en soin intensif, elle ne trouve que des excuses à me répondre, et dans un dernier souffle, je hurle, je veux voir m’a maman, appeler là, je vous en supplie, appeler là par pitié, me sentant partir, j’avais le besoin de la voir elle, avant d’oser pouvoir me laissée allée, et fermer les yeux.

J’entends qu’il me dise, on va la chercher.

Quand je l’a vois rentrer, son visage d’ange, là présente, enfin un être familier, où je me sens en confiance, rien que de la voir, ouf, je souffle enfin, je suis au bout.

Elle me donne sa main, sa chaleur, je peu la ressentir, son amour, sa protection, sa bienveillance, tout est Secure, tout ceci m’a permis enfin, j’ai pu fermer les yeux, enfin me laisser allé.

Lorsque je me suis réveiller dans une autre pièce, et que le médecin qui a écouter le rythme des battements du cœur, rentre, et vient parler à ma maman, et après je lui demande, comment se fait il que je sois dans cette pièce ?

Alors que je fusse certaine d’avoir été dans une autre, et je l’a lui décris d’ailleurs, pièce rose, etc.

Il regarde ma maman en lui disant, assurément, je vous assure que votre fille n’a pas quitter cette pièce, et à pars moi, elle n’a vu personne d’autre.

Mais bon sang, j’en suis certaine, et d’ailleurs je me rappelle lui avoir tenu tête en lui répétant, que je fus certaine d’avoir vu cet autre infirmier avec des lunettes, qui d’ailleurs, est entré juste derrière le docteur ensuite, donc je n’avais pourtant pas tort.

Tout cela fût si étrange, et resta sans réponse.

Et toute ces infirmières, que j’ai vu, étudiants, tous, je ne les ai tout de même pas rêvé, j’en suis sûre.

En tous cas, on ne m’en a jamais rien expliqué, m’a maman m’a dit qu’effectivement je demandais sans arrêt l’heure, je voulais retourner dans ma chambre, au service maxillo facial, pour enfin voir dehors, le ciel, tellement le sentiment d’asphyxie, fût puissant.

J’étouffais vraiment, le vacarme incessant, milles et une question sans réponses, à me demander, mais est ce bien la réalité, où bien un rêve ?

Quand le soir arrive, maman me quitte, elle m’a dit que j’ai re tachycarder, et qu’ils m’ont refais des examens dans la nuit, car il pensait que je faisais, une embolie pulmonaire.

Je me rappelle effectivement que l’on m’a emmené dans mon lit dans un couloir, le docteur, et les autres infirmiers, et infirmière, étais là bien présent, et tous papotait, le médecin me demandait mon signe astrologique, et qu’il était lui aussi scorpion.

Je papotais avec eux, me sentant plus sereine, arriver dans une pièce, où on me dit, que l’on va me faire un scanner, et puis une IRM.

Je me sens de plus en plus stresser d’être toujours transbahuter, d’un lit à une planche, pour l’examen, entrer dans le tunnel, et donc je dois tendre les bras, les pieds joint avec du scotch, ça me rassure tout cela, et il me pique dans le bras, pour introduire du produit.

Là, l’infirmière soulève la chemise, et le bras gauche fût dans un piteux état, tellement que d’autres médecins avant, ont dû s’y reprendre à plusieurs fois pour piquer, j’avais un bleu énorme, de toute les couleurs, dans le creux du bras gauche, un vrai carnage.

Elle me dit d’ailleurs, bon sang, ils vous ont pas loupé, je m’excuse, mais je vais devoir repiquer là.

(Je n’étais plus à cela prêt, pensai-je.)

Tout d’abord injection de l’iode, on me prévient quand je peu, où doit arrêter de respirer, en vu du scanner.

Et puis là, à nouveau, il introduise encore un autre produit, je me souviens la couleur, noir, pareillement, ils me préviennent, vous ne devez pas avalez, effectivement, j’en ai eut un léger goût en bouche, ce fût marquant.

Tout ceci me laisse un sentiment désagréable, tous ces examens passer, ce ne fût pas évident, du tout.

Durant tout ce temps, des prises de conscience apparaissent tel des flashes, je pensais en mon fort intérieur, et prenais conscience que dans ma vie, je disais toujours oui à tout, sans réellement prendre en considération, mes véritables sentiments.

En réalité j’ai pensé, c’est un test pour me faire dire, nan cela suffit, dorénavant je ne veux plus qu’on me fasse toute ces batteries de test, laisser moi en paix.

Puis après tout ces test, ils m’ont emmené dans un autre couloir, il fait toujours aussi froid, et on me dit, là, on va vous transfusé un produit, pour que vous puissiez dormir à présent, moi dans un état d’insécurité total, je pensais qu’il voulait me laisser mourir, en me transfusant je ne sais quoi.

Autant dire que le sentiment d’insécurité, fût à son apogée.

D’ailleurs, la manière dont je résistais à tous les examens, à tout d’ailleurs, les mettais hors d’eux, ils ne supportaient pas.

Et quand enfin, ce produit qu’ils ont transfusé, m’a permis de dormir, je me suis réveillé avec un flash, tout blanc.

J’étais dans cette pièce, où ma maman était là, la veille.

La chambre où je ne serais jamais sortit en faite, selon les dire du docteur, et, au docteur qui est présent, quand j’ouvre les yeux, je lui dis, mais c’est dingue, j’ai l’impression que ça tourne en rond, je me réveille à chaque fois, et rebelote, un nouvel infirmier, qui prend note sur l’écran d’ordinateur, et pose ces mêmes questions.

Telle une boucle à répétition, sans fin.

Je me souviens aussi que le docteur se fâchait avec ma maman, derrière des stores dans la chambre, et je pensai que sa donnais sur un hall, (en faite m’a maman m’a dit que c’étais le bureau du docteur.)

J’avais donc imaginé, c’est certain.

Pour moi, ce fût un hall, et j’y voyait le docteur, ma maman, et où ils se battent, car le docteur avait trouver inadmissible comme je lui avait parlé, et ma maman défendant ma cause, c’étais pris un coup dans le visage, et le docteur qui lui dit qu’il allait porter plainte contre moi, lorsque je serais sortit de cet hôpital, m’a maman le conjurant d’arrêter de dire cela, et de ne pas faire cela, que j’étais sous traitements, diverses drogue , qu’il étais normal d’ailleurs de mon état, et d’ailleurs tous, pensait cela, tous, défendait ma cause.

Puis je vois, mon beau père, mon compagnon, toute ma famille présente, et comme je ne réussissais pas à dormir, avec tout ce vacarme derrière les stores, je pouvais tout entendre, absolument tout, et mon cœur qui s’emballais, lorsque le docteur voulais entrer dans la chambre, à chaque fois, quelqu’un l’en empêchait, et là, mon cœur ralentissait.

A chaque fois qu’il y avait un rebondissement, le cœur s’emballait, et ça ils le constataient tous sur leur moniteur, qu’ils avaient, vers eux, et surveillait ainsi mes données respiratoires.

J’ai eut tellement peur que le médecin fasse du mal à ma maman, et moi ne pouvant agir, puisque bloquer dans cette chambre, allongé sans pouvoir bouger, et là, une infirmière vient, et me dit, dis donc, vous n’êtes toujours pas endormit ?

Je suis mais à la dérive, total.

Rêve ou réalité ?

Je lui dis, que nan, je n’y arrive pas du tout, et elle me masse les tempes, m’allonge d’avantage, et appuie fort sur mes tempes.

Là, mon cœur avait cessé de battre, je l’avais entendu, et je ne pouvais abandonner, je devais vivre encore, revenir, c’est se que j’entends qui m’est insuffler, il n’est pas temps que tu partes.

Mon esprit, voit ma maman, mon beau père, mon chéri, mon oncle, tout le monde qui pleurait, je n’en revenais pas une seule seconde, que tout se passe ainsi, que ce se soit finit comme cela, sans cris et Gard.

J’avais le sentiment profond, que je ne pouvais pas partir maintenant, tout à coup, mon cœur est repartit, les fréquences oscillante sur l’électrocardiogramme redémarre, après un long moment, où toute la famille allait s’en aller, mon cœur repart.

Des cris de joie que ce ne fût pas.

Et j’ai dit dans la réalité, maman, je vous ai vu toi, papa, mon compagnon, tout les trois, dans un halo de lumière, c’étais là toute ma force, pour me re matérialiser.

Quand maman est revenu le lendemain, elle ne m’a plus lâché.

Donc le lundi, l’opération à duré plus de quatorze heure de temps, le mardi, je fus au soin intensif, j’ai cru y avoir passé, des jours interminable, entier, et en réalité, pas du tout, puisque le mercredi, les médecins, m’ont remonté, au service maxillo facial.

Quelle joie.

Quel bonheur, de retrouver des repères.

Durant tout le trajet, ce fût extrêmement rafraîchissant, il pleuvait, en sortant de la structure, pour entrer dans une ambulance, enfin, je respirais mieux.

Je savais où j’allais, et ma maman m’accompagnait, ça me réconfortait.

Toutes les infirmières de l’année dernière durant l’intervention passer, fût présente, un bonheur, et là, une nouvelle chambre, oui, parce que ma maman, a du tout remballer dans la première chambre, où j’avais été installé au départ, en arrivant, le dimanche.

Comme j’étais en soin intensif, ils ont cru, que la chambre étais disponible pour quelqu’un d’autres, de ce fait, il lui on demander de débarrasser toutes les affaires, et puis après, une infirmière l’appelle pour lui dire, venez, on a une nouvelle chambre de disponible, maman fût, mais vraiment, déboussoler, et moi, cet à ce moment, que j’avais le plus besoin d’elle, au soin intensif, et elle se faisait malmener.

Quelle aventure.

Quand elle m’a tout réexpliqué, sacrée organisation, de la part de l’hôpital.

Quel soulagement de voir cette lumière, une chambre lumineuse, avec une immense baie vitrée, et là, vu sur le ciel d’un bleu, fantastique, j’en avais les larmes qui coulait de joie, d’en être enfin, arrivé là.

Mon compagnon étais présent dès le lendemain, quel regain d’énergie, merci.

Le rêve que ce ne fût pas de le revoir, tellement pour moi j’étais revenue d’une aventure si périlleuse, je le touchais, comme pour là toute première fois, et lui m’a dit, c’est fou, ce retour à la source, pour la première fois, se qu’il a ressentit, lorsque je l’ai touché, il a été subjugué, les larmes aux yeux, à son tour.

Puis, s’en vient le premier rendez vous pour une radio, maman est venu avec moi, et lorsque d’autres être me voyait, je ne pouvais m’empêcher de penser, que tout le monde pensait mal de moi, se moquait de moi.

Heureusement que j’ai eu ma maman pour ne pas perdre pied, elle m’a tant soutenue durant cet épreuve, elle me disait sans arrêt, ne t’inquiète pas, si des gens te regarde, ce n’est pas malveillant, c’est qu’il se demande naturellement, qu’est ce qui a pu arriver, à une aussi jolie jeune fille.

Je me raccrochais à ces paroles, mais, ce fût rude, je l’avoue.

Le regard des autres, première réapprentissage, et étape à dépasser.

Une attente, des heures d’attentes, pour me mettre du gel sur les jambes, et voir si tout allais bien, effectivement, tout était parfait.

Après, il fallut de nouveau patienter, qu’une ambulance soit disponible, et viennent nous chercher, et dans cet état de mal être, c’étais vraiment difficile, mais je n’avais pas le choix, faire face, lâchez prise.

Patience.

De retour dans la chambre, mon compagnon toujours présent, je me suis dit qu’il serait repartit, vu l’heure, et ont vivait à Annemasse, il faille trois heure de route pour le retour.

Il m’a attendu, quelle joie n’en fût pas.

Resté à ces côté, jusque vingt et une heure du soir.

Je serais resté cinq jours alité.

Les besoins fût réaliser dans un pot, première nuit en couche culotte, d’ailleurs la chef infirmière, le lendemain, à fait une leçon aux infirmières de nuit, en leur réexpliquant, que si j’avais besoin de faire des besoin durant la nuit, qu’elle se déplace lorsque je sonnait, et qu’elle m’apporte leur aide, puisque ce ne fût pas le cas, durant cet nuit, attendant des heures durant.

Elle a trouvé inadmissible, qu’on me laisse complètement souiller de la sorte.

Et depuis, elle fût toute bien respectueuse, mais je préférai largement me débrouiller toute seule, qu’elle n’en fût pas ma force, une volonté hors du commun m’envahit.

En vue de leur douceur, bienveillance, et patience, je préférai me dépêtrer seul, en faisant le Gand écart dans le lit, et j’y arrivais d’ailleurs, toute seule.

Cette première nuit au service maxillaire fût incroyable, je prenais de grande respirations lente, profonde, guider par mon instinct innée, primaire, je savais que je pouvais avoir confiance en mon fort intérieur, une foi en moi retrouver, reconnecter, me sentant heureuse, joyeuse, en sécurité, une certitude que rien de mal, ne pouvais m’arriver, à présent.

Tout allait bien se passer.

J’inspirai par le nez, et expirait par le nez, un sentiment de bien être fou, s’emplit de tout mon corps physique.

Je sentais le palais flottant qui n’étais pas encore reformer, pas du tout reconstituer par les muqueuse, je sentais toute les arrêtes de l’os, que de frissons, qu’elle sensation bizarre, mais, je prenais pleinement conscience, de mon être tout entier.

Plus je respirais profondément, intensément, consciemment, présentement, plus le corps se régénérait de l’intérieur, je l’ai ressentit tel, puis un état d’euphorie, d’extase, je me suis mise assise, en pleine nuit, dans le lit, en ne cessant de répéter intérieurement, se qui me fût insuffler de par mon esprit, psyché, et psychanalyse, deux mots, bien distinctement.

Qu’elle n’en fût pas ma surprise, et ils mon suivis bien après, quand à la ré ouverture de l’esprit.

Le jour, c’étais des infirmières bienveillante, chaleureuse, joyeuse, avec les stagiaires, de véritable âme divine, qui pense avant tout à accompagner l’être vivant, et non pas, en mode homme, robotique, automatiser, où il faille réaliser le plus visite possible, des soins.

Cinq jours aliter, chaque jours, un état de félicité grandissant, après une remise au point avec la chef du service, auprès d’ancienne infirmières, qui elles m’auront traité ensuite avec beaucoup plus de respect, qu’au premier jour.

Nourris à la sonde nasale, au goute à goutte, de laitages protéinés, je pouvais sentir que l’alimentation passait directement dans l’œsophage, et atteignait instantanément, l’estomac.

Sensation bizarre, du fait du remplissage instantané dans l’estomac, et jusqu’à plus faim, se qui me donnait, la nausée d’ailleurs.

Quand on m’a annoncé, qu’enfin, je pouvais manger liquide, qu’on m’enlèvera la sonde naso gastrique.

Ce fût une nouvelle, extraordinaire.

La sensation par contre, quand il enlève la sonde, de sentir remonter tout le long du tube digestif, c’est extrêmement, bizarre.

Enfin je n’aurai plus cette sensation de gêne, la glotte au fond de la gorge, fut si sèche en permanence, de ce fait, j’avais l’envie de vomir constamment, il aura fallut mettre un masque à oxygène, pour permettre d’adoucir, d’humidifier la glotte.

De retrouver le goût en bouche, fût extatique, comme si ce fût la première fois que je mangeais, des sensations toute nouvelles, je me vis renaître vraiment, entièrement.

Tout à prit un nouveau tournant, dès lors.

Les jours qui ont suivis, furent vraiment tendres, et appréciable.

Des jours plus difficile, lorsque l’étape de retrait des rodons du cou, de la jambe, arrivèrent.

Comme il n’y avait plus de sang qui gouttait en bouteille, il pouvait donc les enlever.

Enfin j’ai pu me mouvoir sans appréhender de tirer sans faire exprès sur les rodons, c’étais mais, libérateur, comme sensation.

Une nouvelle liberté, s’offre à moi.

Je ne vous cache pas qu’en rentrant le samedi chez moi, lors de la deuxième semaine, j’étais si heureuse, mais si craintive, mon compagnon m’a dit, tu étais comme une enfant toute apeuré.

Un ébranlement, foudroyant.

Une perte de confiance, de notion du temps, de tout, qui fût si déstabilisante, jamais connu auparavant.

Jours après jours, je reprenais confiance, une renaissance complète de l’âme et la conscience, élevée à un tout autre niveau, ceci dans le corps et l’esprit.

Un nouveau jour se lève.

Dorénavant, l’être que j’incarne, vois ce paradis ce refléter en mon fort intérieur, parce que le fait de renaître à l’intérieur de moi, en penser , parole et action, à chaque inspiration, où il n’y a plus de place pour l’appréhension, quant à vivre une vie abondante , d’amour, de joie, d’apprentissage, les uns, unis, avec les autres, et, tel un aimant, on attire à soi, tout ce en quoi on aspire.

Cette énergie vibratoire croissante de la source de la vie universelle, pure essence que je suis, reconnecter, diriger, incarne ce corps physique que j’habite, et est un cercle vertueux, d’abondance, de croissance, pour moi, et tout l’environnement.

Tout devient si évident.

Tout coule tout naturellement de source, quant à ma nouvelle conception du monde, la compréhension du vivant, à une toute autre dimension, à présent.

A l’échelle universelle, c’est un nouveau monde d’euphorie, qui s’ouvre à soi, et permet à la terre, la faune, la flore, l’humain, le visible, comme l’invisible, d’affluée en abondance dans ce même affluent énergétique, sans plus jamais se laisser chavirer.

Toute forme de vie étant interconnecté, puisque tout un chacun, se maille, les uns avec les autres, de part l’intention énergétique vibratoire, tout fait sens.

Il n’y a plus de place pour la croissance, et où la décroissance, en excès où en insuffisance, ceci en permanence.

Tout est équilibre en abondance en permanence.

La vie (l’énergie) afflue, endiguer par le courant énergétique vibratoire, de la source universelle.

Yin, yang, plus, moins, noir, blanc, bon, mal, beau, laid.

La vie, l’énergie vibratoire, ne décroît pas par nature.

Elle y est, soumise, contrainte, restreinte.

Depuis le commencement, la vie n’est que fluctuation d’oscillations, entre croissance et décroissance, haut, bas, monter, descendre, en permanence, en abondance, en tout et pour tout.

Tant qu’il y a une once de vie, d’énergie vibratoire, il y a de l’espoir, ne jamais abandonné, gardez foi en l’infime parcelle d’énergie vitale.

Toute forme de vie universelle, énergétique, tente toujours, de s’adapter, pour reprendre son unique courant existentiel, celui de fluctuée, entre oscillations croissance, décroissance, de la source énergétique universelle.

Ceci, depuis la naissance même, de la première oscillation énergétique.

De la plus infime petite cellule, au plus gros appareil, sur tous les plans, à tous les niveaux , sous tous les aspects, physique, physiologique, psychique, émotionnelle, et spirituel, dans l’Adn, le plasma marin, le plasma sanguin, le bulbe rachidien, la gaine de myéline, l’albumine, la télomèrase, les cellules souche.

Ceci pour toutes formes de vie confondues, la faune, la flore, l’humain, le minéral, le visible, l’invisible, puisque toutes formes de vie énergétique, est en interaction en permanence et en abondance.

Se qui ne se voit pas, ne veut pas dire qu’il n’impact pas, tout sans exception, penser, parole et action, impact et ébranle énergétiquement l’oscillation vibratoire de l’être physique, intérieurement, et ceci se reflète extérieurement.

Le flux d’informations énergétique vibratoire qui traverse le canal, corps physique, que tout êtres est (humain, faune, flore, minéral), sur le plan physique, au cœur de la matière, pour se voir affluée, irriguée, à l’intérieur de l’être, à travers l’être, et tout autour de l’être vivant.

C’est là, un but commun du voyage sur le plan physique, œuvrer au cœur de la matière, par l’intermédiaire du canal, corps physique, et réunis, en un ensemble, la faune, la flore, le minéral, l’humain, le visible, l’invisible sont indissociable.

Au-delà d’être des êtres purement physique, l’être vivant humain, est part nature, pur essence énergétique vibratoire de la source énergétique universelle.

Et c’est de ces deux pôles, croissance, décroissance, oscillantes vibratoirement, et en symbiose permanente, qui font de l’être vivant humain, un être unique, à part entière, avec sa propre histoire, son propre entendement , sa propre vision, sa propre expression intérieur, cela est unique, et semblable à nul autres.

C’est se qui fait là, toute l’unicité, la richesse intérieur, de chaque ETRE Vivant.

Les uns avec les autres, unis, dans l’amour inconditionnel, le respect, le non jugement, l’écoute, la sécurité, pour se voir se prodiguer à tout un chacun, toutes ces pépites, ces trésors, pour qu’en un ensemble, se voir réaliser de véritable chefs d’œuvre, intérieurement nourris de toutes ces diverses richesses, les uns, les autres.

Sur le plan physique au coeur de la matière, dans l’école de la vie énergétique, ce ne sont que des apprentissages, des désapprentissages, et des réapprentissages, pour ne pas se perdre et s’oublier au travers du seul plan physique, et pour ne cesser de s’élever vibratoirement, à un niveau supérieur, de sa propre réalisation énergétique.

Ne dit on pas que quand l’élève est prêt, le maître apparaît.

C’est de l’état vibratoire intérieur des êtres, qu’il s’agit.

(Ne pas se méprendre et se perdre en croyance, éducation limité, au risque d’étouffer l’énergie, l’amenuire jusqu’à perdition de sa propre essence originelle.)

Et Extérieurement, voir se refléter toutes les œuvres émaner des diverses aspirations réunis intérieurement, de tout être vivant.

Ça n’a pas de prix, il en va de l’évolution énergétique vibratoire cosmique, où bien de sa perdition prématurée, l’être humain se laissant aspirer par l’illusion d’une réalité qui n’est pas sa nature originelle.

Ce choix revient à l’être vivant, il est de sa propre responsabilité d’aller dans le courant qu’il lui est insufflé, susurrer, cette petite voix (l’instinct) qui dit d’aller plutôt par ici, que par là, lorsque, cette petite voix rend euphorique, plein de vie (d’énergie), quant à la direction à emprunter, celle-ci vient de la reliance cœur, corps, esprit, connecter à l’essence énergétique vibratoire en permanence, en abondance.

Il n’y à là aucun danger à suivre l’élan énergétique du cœur, corps et esprit reliés, ci cela est de l’oscillation énergétique vibratoire à part égale, ni excessive, ni insuffisante, pour l’être intérieurement et extérieurement.

L’importance de se connaître soi même, avant d’entrer en interaction avec un autre être vivant, et d’être en toute équité, équilibrer, ancrer, syntoniser, en sa propre âme et conscience, dans le courant de croissance de vie.

Pour pouvoir ensuite, partager, ce flux d’information énergétique, vibratoire, de la source de la vie universelle, tout autour de soi.

Pour ainsi ne pas émettre une quelconque forme que ce soit de décroissance, en excès où en insuffisance, où en croissance en excès où en insuffisance, mais bien en équilibre avec les deux énergie à part égale, trouver le juste milieu des deux, au risque de voir prématurément, décroître, l’être intérieurement, jusqu’à quitter le plan physique prématurément, sans avoir pu se réaliser à son plein potentiel inné, primaire, d’être vivant humain.

Rester humble, honnête envers son propre être intérieur et penser, exprimer, et actionnez toujours dans le courant de la croissance et la décroissance en harmonie, de la source de l’énergie universelle.

Maintenir l’équilibre en permanence, en prenant de la hauteur sur l’extérieur, observer se qu’il se passe, être attentif, rester concentrer, et ne cesser de prendre le recul nécessaire, face à une quelconque situation.

Puis établir un champ énergétique croissant et décroissant, harmonisez, pour échanger harmonieusement, avec l’extérieur.

Il n’y a plus une respiration à perdre en décroissance excessive, que ce soit en penser, en parole, et en action.

L’unique but existentiel étant l’équilibre énergétique vibratoire, de la source de l’énergie universelle, entre harmonie de croissance et de décroissance, les deux ne forme qu’un, ni dans l’excès, ni dans l’insuffisance des deux, et ceci en abondance, et en permanence.

Dès lors que l’énergie est conçut, naît, croît, c’est tout l’environnement qui s’éxpand dans ce même courant énergétique vibratoire, tout cela s’étant sur tous les plans, à tous les niveaux, sous tous les aspects, et impact, influe, sur toute forme de vie faune, flore, humain, minéral, le visible, l’invisible.

A cela, il est important de se demander « que souhaiterai-je se voir se réaliser, se refléter, en moi, à travers moi, et tout autour de moi, de la croissance de vie, et de la décroissance, toutes deux harmonisez, à part égale.

La réponse coule de source, étant l’énergie vitale elle-même, l’instinct inné, primaire, est pousser dans le courant énergétique vibratoire, de la source énergétique, universelle.

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