3.7 Ambre et Rudolf 4/5

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— OK. Tu l'as cherché. Je vais te baiser le cul ma mignonne. Mais on y va à ma manière. J'ai envie de prendre mon temps pour bien savourer.

Il passe au-dessus d'elle. Rudolf s'assoit sur son dos et lui ligote les mains derrière. Il se lève et fait glisser sa culotte. Il lui embrasse les fesses puis pose un coussin dessous en lui donnant une petite claque. Rudolf embrasse les marques de sa main. Il recommence plusieurs fois.

Il se met à côté et fait entrer ses doigts dans le vagin d'Ambre. Il utilise la moiteur se dégageant de l'entrejambe de la jeune fille pour humidifier l'anus de la belle. Il fait tourner son pouce dessus, appuie un peu. Il agite ses autres doigts pour la faire mouiller davantage. Il se met à genoux entre ses cuisses pour lui écarter en continuant de remuer ses doigts. Il appuie plus fort et fait pénétrer son pouce.

Ambre pousse un petit cri. Il ne bouge pas et attend qu'elle s'habitue. Puis, quand Ambre se détend, il fait de petits va et vient sans sortir. Doucement, il fait bouger de plus en plus son pouce, puis l'enlève et insère son index et son majeur. Il va lentement, délicatement. Ambre supporte bien que ce ne soit pas des plus agréables.

Rudolf lui bouge les bras pour finalement attacher les mains aux barreaux du lit. De la voir ainsi soumise, son pénis gonfle. Il réintroduit ses doigts dans son anus. Avec son autre main, il se durcit. Quand il est prêt, il retire ses doigts et s'enfonce très légèrement en elle. Elle pousse un petit cri de douleur. Rudolf s'immobilise en elle. Il attend sans bouger. Il s'allonge sur elle.

Quand elle s'habitue, il commence le va-et-vient en lenteur, en profitant pour la caresser et poser ses lèvres sur elle. Il saisit ses seins dans ses mains et embrasse son dos. Il lui donne des petits coups de reins, sort puis rentre en elle.

À chaque fois, il attend qu'elle se décrispe avant de bouger. Pendant de longues minutes, presque une demi-heure, il est doux et tendre. Ambre n'a pas vraiment mal. Elle savoure ses lèvres et ses mains qui la touche. Rudolf soulève le bassin d'Ambre, plaçant plus de coussins en dessous de son ventre. Il l'installe, la tête vers le bas, les fesses en l'air, cuisses serrées et les genoux ne touchant pas le matelas. Il lui dit de croiser les jambes et de s'accrocher aux barreaux du lit. Elle obéit sans réfléchir. Il lui ligote les mains. Il se place derrière elle, la caresse avec tendresse.

— T'es toujours aussi putain de bonne ma mignonne. T'es la première avec qui je le fais par là. Tu n'imagines pas combien j'en ai rêvé.

Les mains de Rudolf tiennent les hanches d'Ambre. Il la pénètre en profondeur, attendant toujours qu'elle cesse d'avoir mal. Il fait des va-et-vient lents et profonds. Au bout de dix minutes, il accélère, suffisamment pour que ce soit douloureux mais supportable. Il s'arrête enfin. En restant en elle, il tient d'une main ses hanches contre lui. Il fait pénétrer un de ses pouces dans son vagin et le fait tourner. Il sent son propre pouce bouger contre son pénis. Il glisse ses doigts de sa main libre, titille le clitoris et fait mouiller Ambre.

Il se remet à faire des va-et-vient doux. Il fait attention à ne pas lui faire mal. Les mouvements excitent l'intimité d'Ambre. Elle se met à gémir. Les doigts de Rudolf font des miracles. Elle va bientôt jouir. Rudolf se retire, la soulève encore un peu. Il devient plus sauvage et rentre avec brutalité. Il se met à donner de violents coups de reins, profonds et rapides. C'est si bon. Ambre se tortille de plaisir. Il se crispe en l'entendant gémir.

— NAN. Je refuse que tu prennes ton pied.

Soudain en colère, Rudolf ressort et s'éloigne. Elle hurle de douleur. Elle dit à Rudolf de continuer. Cette fois, il sort de la pièce.

— NAN AMBRE. Je fais ce que je veux maintenant. Je veux que tu ai mal comme j'avais eu mal quand tu me laissais en plan le sexe gonflé.

Elle essaye de se relever, mais ses mains attachées rendent la chose impossible. Elle veut prendre appui sur ses pieds et n'y arrive pas. Elle n'a aucun support. Elle ne touche que les coussins et glisse. Les mains de Rudolf ne sont plus sur elle, en elle. Elle a mal et commence à pleurer, pensant qu'elle mérite ce qui lui arrive.

Rudolf revient dans la pièce avec un air furieux. Sans prévenir, il la retourne sur le dos et la pénètre très rapidement. Elle le sent commencer à jouir. Elle perçoit les derniers coups de reins avant l'éjaculation. Il commence à pousser de petits râles. Sa colère semble retomber. Il ressort et caresse son vagin. Les doigts redeviennent doux, chatouillant son clitoris. Elle sent des larmes lui tomber dans le coup. La douleur s'estompe. Le plaisir d'Ambre revient.

— Oui jouis ma mignonne. Jouis comme ça. Laisse-moi me finir en te faisant jouir.

Ambre ne peut s'empêcher de pousser des soupirs de plaisirs. Elle a mal aux bras. Elle a mal aux cuisses. Elle a mal au cul. Cette pénétration animale était si extrême. Elle oublie sa douleur et se laisse porter par la pénétration de nouveau douce mais intense. Elle jouit en hoquetant entre larmes et plaisir. Elle le sent éjaculer en elle, plusieurs fois de suite. Il pousse de grands râles d'extase. Les cuisses d'Ambre ruissellent de sperme. Il s'arrête enfin et se retire lentement. Avec douceur, il la détache. Il s'allonge sur elle. Rudolf libére les chevilles et les poignets d'Ambre puis prends ses seins dans ses mains.

— Tu m'a manqué Ambre. Tellement manqué. Pardon. J'ai perdu le contrôle.

Il l'embrasse dans le cou et la caresse doucement. Il est en pleurs. Il finit par s'endormir sur elle, la laissant dans un état d'incompréhension la plus totale. Malgré son corps qui souffre, Ambre s'apaise sous la chaleur corporelle de Rudolf. Peu à peu, les douleurs s'estompent et la jeune femme finit elle aussi par sombrer dans un profond sommeil, bercé par la respiration calme de l'homme qui est allongée sur elle.

Ambre se réveille le lendemain matin en sentant qu'on la touche. Rudolf est en train de lui passer de masser les fesses et l'anus avec délicatesse Il fait pénétrer le corps gras pour soulager les blessures. Il verse encore des larmes tout en s'appliquant à sa tâche.

— Chut. Ne bouge pas. Je te passe de la pommade. J'y suis allé trop fort hier soir. Je suis désolé. Je ne voulais pas. Je n'aurais pas du... Tu m'a cherché. T'es si bandante. Si bonne. J'avais tellement envie de toi... De ton cul. Je ne voulais pas que tu jouisses. Je suis en colère contre toi. J'ai perdu le contrôle en t'entendant gémir. Je ne voulais pas te faire mal. Pardon. Jamais je n'aurais du faire ça. Pardon. Laisse-moi te soigner.

Ambre lui fait signe qu'elle accepte et reste immobile. Mal réveillée et pleine de courbatures, elle profite de ce drôle de massage qui soulage en partie les douleurs qui la tiraille. Elle se pose des questions sur les larmes de Rudolf et ne sait pas quoi dire, se sentant coupable malgré la situation.

— Malgré ce que tu m'as fait, j'ai toujours envie de toi, Ambre. J'étais sincère hier soir. Tu m'as affreusement manqué.

Ses gestes sont doux. Il lui lave l'entrejambe avec un gant afin de lui retirer les traces de sperme. Il lui enfile une culotte avec douceur et pose un baiser dans son dos. Ses doigts effleurent la peau d'Ambre, la faisant frissonner. Rudolf lui dépose une couverture sur le corps avec une grande douceur et quelques caresses.

— Je vais préparer le petit déj. Reste là. Je te l'apporte au lit.

Le temps qu'elle émerge, il est de retour avec des tartines, du café, du jus d'orange, de la confiture. Elle se redresse et s'assoit du mieux qu'elle peut. Elle grimace un peu sous la douleur. Il se met à côté d'elle. Il lui tend un débardeur pour se couvrir la poitrine.

— Mets ça sinon je vais avoir du mal à me contrôler. Je suis super en colère contre toi. En même temps, tu m'excites comme un dingue. Faut que tu sois sage. Tu dois rester là le temps qu'on retrouve Alpha Cassandra. Pour ta sécurité. Je te le promets Ambre. S'il te plaît. Pour une fois dans ta vie, écoute-moi. Tu es en danger. Reste sagement à l'abri avec moi. Arrête de m'énerver. Je ne veux pas te faire de mal. Je ne veux pas qu'il t'arrive malheur. Je suis furieux, mais je tiens à toi. Ambre reste sage, je t'en supplie.

Rudolf la regarde avec douceur et lui effleure la joue avec le pouce. Son regard est empli de tristesse et de regrets. Cela brise le cœur d'Ambre qui réalise combien lui aussi souffre de la situation et a mal vécu de la séparation. Les remords d'Ambre lui font plus mal que la douleur physique actuelle.

— D'accord Rudolf. Je ferais tout ce que tu voudras. Je serais obéissante. Je te le promets.

Ambre verse des larmes, pose sa tête sur la main de Rudolf. Elle se rapproche de lui et l'embrasse avec tendresse. Elle repousse le plateau de nourriture. Elle le couvre de baisers.

— J'avais froid sans toi la nuit. Rudolf. Laisse-moi te faire l'amour. Laisse-moi me faire pardonner pour ce que je t'ai fait.

Elle le pousse pour qu'il s'allonge. Ambre couvre le torse de Rudolf de baisers. Elle lui baisse le boxer et lèche sa queue, qui réagit instantanément. Elle le pompe énergiquement. Il grogne de plaisir. Il la renverse, la remet sur le ventre. Il s'immobilise en colère et en larmes.

— Je veux être en toi. Tu m'a menti. C'était le calendrier de l'an dernier. Je ne peux pas prendre le risque que tu sois enceinte. Je n'aurais pas dû hier soir. Je ne suis pas prêt pour avoir un enfant. J'ai envie de toi. Je n'arrive pas à me contrôler. Je ne veux pas te faire mal. Je perds le contrôle quand je te baise. Je ne sais pas quoi faire Ambre.

Elle ne bouge pas et lui attrape la main pour lui serrer. Puis, elle attrape l'oreiller et le place à côté de ses hanches. Elle saisit la deuxième main de Rudolf et lui enlace les doigts. Regardant son amant avec tendresse, elle lui redonne un baiser aimant.

— Prends-moi Rudolf. Comme hier soir au début. C'était bon. Je n'avais pas mal. C'était agréable de te sentir en moi. Prends mon cul en douceur. Pas de risque que je tombe enceinte. Rudolf vient en moi. Allonge-toi sur moi. Laisse-moi te donner du plaisir. Donne moi une chance de me faire pardonner.

Elle se glisse sur le coussin. Il lui masse l'entrejambe et lubrifie l'anus. Rudolf titille avec son pouce. Il prend son temps afin qu'elle n'ait pas mal. Il guide son sexe et la pénètre lentement. Il s'immobilise en elle, la mordille et l'embrasse. Ses mains la couvrent de caresses tandis qu'il remue le bassin avec douceur. Il s'assure que la douleur soit bien supportable. Ambre souffre mais pas à cause des coups de reins de Rudolf.

Le plaisir du garçon est rapide à venir cette fois. Il se retire aussitôt et retourne Ambre. Il place le coussin sous les boucles brunes de la jeune femme. Il lui embrasse le ventre et les seins. Rudolf lui donne des baisers fougueux. Puis, son visage descend vers son intimité. Il picore sa toison de petits coups de langue et chatouille son intimité de ses doigts.

Elle sait ce qu'il va faire. Elle lui agrippe les cheveux. Il lui relève les genoux et fait entrer sa langue à l'entrée de son vagin. Elle s'embrase. Il la pénètre avec ses doigts et revient l'embrasser tout en continuant son va-et-vient. Comme lui, elle ne tarde pas à prendre du plaisir.

Il s'allonge sur elle. Son désir à lui est revenu. Son pénis est dur. Rudolf sourit. En embrassant Ambre, il fait entrer son sexe gonflé en elle et effectue plusieurs mouvements rapides. Il lui attrape les poignets. Elle enroule ses jambes autour de sa taille et ils chavirent tous deux dans un mouvement de balancier rapide et violent. Elle explose de bonheur. Il gicle plusieurs fois en elle. Il s'écroule.

— Je suis dans la merde ma mignonne. T'es trop bonne. Je vais finir par te foutre enceinte si on continue comme ça.

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