Je monte les escaliers, je n’ai plus aucune peur, plus aucun doute, je sais enfin qui je suis, je sais enfin ce que je veux, je me moque des regards des gens, des bien-pensant, des puritains, je m’en fou de tout le monde.

Je ne pense cas une chose, sexe.

Je m’arrête devant le lit, je me retourne, au même moment Hugo passe la porte, il arrive devant moi, nos yeux se plongent l’un dans l’autre, il pose sa main sur ma joie, il me caresse tendrement, je peux sentir l’amour dans son geste.

Hugo : tu es tellement belle Maëlys.

Moi (en me collant à lui) : tu es un très beau mec, d’ailleurs, nous le sommes tout.

Je me rapproche encore, je pose mes lèvres sur les siennes, il passe ses mains dans mon dos, il démarre du haut, il descend lentement et s’arrête arrive à mes fesses, je passe la main dans mon dos, pour lui faire comprendre qu’il peut passer la frontière.

Je ne reste pas immobile, je lui caresse le dos en passant la frontière, je ne sais pas pourquoi, mais je compare son cul à celui de mon Toinou, un petit peu moins ferme, nos langues se touche, un échange électrique ce fait entre nous, Hugo est traverse par un énorme frisson.

Nos lèvres se détachent.

Hugo (sourire) : ah ouais, c’est très chaud avec toi.

Moi (sourire et en me collant plus contre lui) : on dirait que je ne suis pas la seule personne à être chaud ici.

Hugo (gêner) : oui, tu as raison, tu me plais beaucoup.

Moi : j’ai très envie toi Hugo.

Nos corps et nos bouches se rejoignent de nouveau, j’ai de plus en plus chaud, je sens sa bite qui tape contre ma cuisse, j’ai hâte de la découvrir, alors, oui, je l’ai déjà vu, mais nous n’avons pas encore fait connaissance... Ma bouche et ma chatte ont envie de la découvrir...

Il passe la main entre mes fesses, il quitte ma bouche pour embrasser mon, je ne tarde pas à réagir, mon corps frissonne, je mouille de plus en plus, il veut prendre le contrôle, sauf qu’il ne comprend pas, je suis la Maîtresse, il est à mes ordres, pas l’inverse, je glisse, mes mains sous son pull, il ne porte rien en dessous, je luis fais comprendre qu’il doit le retirer.

Je me recolle à lui nos lèvres se retrouvent pour une nouvelle danse.

Je ne reste qu’un court instant, je descends sur son torse, sur son petit ventre, je trouve ça très sexy, faudra que Toinou mange plus...

Je suis à genoux devant lui, je le regarde dans les yeux, je peux lire tellement de choses, de l’amour, de l’envie, de l’excitation, c’est tellement incroyable qu’on puisse lire autant de choses dans un regard.

Je descends la tête, je suis juste devant une belle bosse, je pose la main dessus, Hugo ne me quitte pas du regard, mes mains se pose sur sa ceinture, il ne faut qu’un poignet de seconde, pour que son jean ne tombe sur ses chevilles.

Je pose ma main sur son boxer, il glisse sur sa verge, il bande bien dure, je le branle un peu, il fait tomber sa tête en arrière, au même moment, je regarde à l’entrée de la chambre.

Je vois Lou qui fait son entrée, sa chemise ouverte, elle arrive à notre niveau, Hugo tourne la tête, ils s’embrassent, lorsque leurs lèvres se séparent, j'en profite pour passé la langue sur le tissu, je peux voir un filet de salive entre les deux.

Elle me regarde avec le sourire, ses yeux se posent sur la bite d’Hugo, elle vient juste à côté de moi, elle me caresse le dos, je pose ma main a droite, Lou pose sa main a gauche, on se regarde, sans échanger le moindre mot, on commence à faire glisser le bout de tissu.

Sa bite fait ressort, une bonne longueur, un peu plus petite que celle de mon Toinou, elle n’est pas complétement droite.

Lou : elle est belle, elle ne te donne pas envie Maëlys ?

Moi : ma culotte est tout mouillée.

Lou : mon string est dans le même état.

Je m’approche de son gland que je donne un coup de langue, Lou s’approche de ses couilles, qu’elle se met à lèche et à prendre en bouche, sa verge au plus profonde dans ma bouche.

Je lui lèche la bite d’un cote, Lou de l’autre, jusqu’au moment ou nos lèvres se rencontrent, nos langues se mélangent, on lui donne des coups de langue sur son gland.

Je me lève puis me déshabille, Hugo, ne me quitte pas du regard, il ne faut qu’un instant pour me retrouver toute nue devant mon ami d’enfance, je me monte sur le lit et m’allonge les jambes écartes.

Lou, quitte deux secondes la belle verge, elle tourne la tête, elle me cherche, elle voit mes vêtements qui sont sur le sol, son regard la conduit sur le lit.

Elle se redresse est me regarde.

Antoine : une déesse (Lou regarde Antoine.) honore notre décesse, rejoint là, tu as envie d’elle.

Lou : tu...

Antoine (sourire) tu es tellement belle Lou.

Ils s’embrassent, leurs lèvres se quittent... Lou retire ses vêtements, puis monte sur le lit, je pense que c’est la première fois que je la regarde vraiment, alors, qu’on peut dire qu’elle est comme une sœur, on se connaît depuis toujours, même chose, pour les autres.

Mais cette fois, je la vois comme une femme que je suis amoureuse, une belle brune au yeux noisette, un visage très fin, elle est très belle, un poitrine bonnet c, ils sont magnifiques.

Elle s’approche de mon visage, elle dépose un bisou sur mes tétons qui pointe, elle colle son corps contre le mien, elle passe ses jambes de chaque côté de mon corps, elle est a cheval sur moi.

Je peux sentir les quelques petits poils pubiens, cela me fait frissonner.

Lorsque je regarde la bande, ils sont tous, Amir est devant la bite a Hugo, Alan lui montre comment faire, Antoine est nu devant Lucie et Sophia, elle le suce, il prend beaucoup de plaisir.

Lou : tu es tellement belle Maëlys.

Moi : tu es encore plus belle, je t’aime, fait moi l’amour.

Lou : je ne sais pas.

Moi : pas de souci ma belle.

Je la retourne sur le lit, je suis sur elle.

Hugo : MON DIEUUUUUUUU AAAAAAAAAAAHHHHHH.

Je sens quelque chose qui tombe sur mon dos, je tourne la tête, je vois Hugo qui éjacule, Alan et Amir lui lèche le sperme, je trouve cette scène magnifique.

Je retourne à ma belle, je l’embrasse, puis lui lèche la poitrine.

En un clignement d’œil, nous ne sommes plus seules dans le lit, je sens une bouche qui dépose des baises sur mon dos, je frissonne.

Lou : OOOH MON DIEU (je l’interroge du regard) AAH AAAAH OUI NE T’ARRÊTE PAS.

Je tourne la tête, je vois Amir qui sort sa bite et qui la présente à ma chatte, Lou suce Antoine.

Moi :AAAAH OUIII.

Il bouche lentement dans ma chatte, je n’en reviens pas, je suis prise par un autre homme, il me baise pendant plusieurs minutes puis il retourne en Lou, j’en profite pour me retourner, il la pénètre assez fort, j’en profite pour lui lécher le clito.

Je tourne ta tête en direction de mon Toinou, il suce Alan, il lui éjacule dessus, Antoine avale le sperme de notre ami, je me décale, Amir s’allonge sur Lou, il l’embrasse.

Je lui embrasse le dos, je descends de plus en plus, jusqu’a arrivé à ses fesses que j’embrasse aussi, je ne suis pas ce qu’il me prend, je lui écarte les fesses pour y plonger la tête, ma langue lui lèche son anus.

Amir (s’arrête d’un coup) MON DIEUUUUUUUU.

Le temps est comme suspendu, plus personne ne bouche, ma langue continue d’explorer son anus, je me redresse et mon doigt remplace ma langue.

Amir : OOOH PUTAIIIIIN... NE T’ARRÊTE PAS... (j’accélère et mettant un second doigt.) AAAAAAAAHHHHH PUTAIN JE VAIS...

Lucie (arrive vers moi) : il y a que toi ma déesse qui n’a pas jouis, qui veut tu ?

Moi : je vous veux tous.

Pendant quelques minutes on se regarde tous, jusqu’au moment où Antoine, nous place Alan et Antoine sont les deux à encore bander, alors, les choses son simple, Alan s’installe sur le lit, je monte à mon tour, je m’arrête un peu au niveau de sa bite que je suce comme une folle, il me demande d’aller moins fort sinon, il ne va pas tenir.

Alors, je me calme, je monte sur lui, je m’empale sur sa bite, je gémis, Antoine me fait allonger sur lui, il écarte mes fesses, chacun leurs tours, ils viennent me manger l’anus.

Antoine présente sa bite sur mon anus, il pousse un peu.

Moi (en me redressant un peu) : PUTAIIIIIN.

Je réouvre les yeux, je vois Sophia qui monte sur le visage d’Alan, il lui bouffe la chatte et l’anus, Antoine entre dans mon cul sans problème, ils me baisent, je ne sais plus respiré, Amir me présente sa bite, je la prends en bouche, il gémit, Antoine suce Hugo, Amir se fait bouffer les couilles par Lucie.

Le temps s’arrête, la chambre est remplie de plaisir, de partage, d’amour, plus rien de compte.

Moi : JE VAIS JOUIIIIRRRRRR.

À cet instant-là.

Alan : AAAAAAAAAAHHHH.

La seconde suivante.

Antoine et moi : AHHHHHHHH.

Mon corps se contracte, je ne peux plus bouger, impossible de respire, je ne suis plus dans mon corps, les garçons éjacule chacun leurs tours, nous avons tous de la cyprine ou du sperme sur nos corps.

Lorsque je reviens a moi, j’ai la bande autour de moi, je suis amoureux d’eux...

Je m’endors avec le sourire.

À suivre...