Comment pourrais-je mourir ? Rectification : Comment voudrais-je mourir ? Peu importe du moment que je ne souffre pas. Et de préférence pas tout de suite.

Une anecdote stupide ou amusante ? Le chikungunya. Quand Christophe l'a attrapé, qu'il s'est levé le matin et a rampé jusqu'à la terrasse pour aller s'assoir. C'était pas cool, mais la surprise m'a emmenée dans un fou rire que je n'oublierai jamais.

Mon action la plus stupide ? Il y en a eu plusieurs : toutes les fois où j'ai succombé au charme Lukas Sullivan.

La plus héroïque ? Quand j'ai pris le micro chez les Madma et que tout le monde s'est tourné vers Angie, en train de ramasser ses diamants.

La pire de toutes (dans tous les sens du mot "pire")? Pleurer devant les américains.

Le secret que je refuse d'admettre ? Que je retomberais sous son charme s'il se tenait demain devant ma porte.

Pourquoi irais-je voir un thérapeute ? Pour m'aider à l'oublier !!!

Ma boisson préférée ? Une pina colada avec du jus fraichement pressé et un sorbet coco à l'antillaise.

Si j’étais une bougie parfumée, quelle serait mon odeur ? Monoï.

Quel réseau social choisirais-je ? Scribay.

Quelle tête aurait mon profil sur ce réseau ? Une photo de gens qui errent au milieu gros d'un rond-point de Gwada. J'ignore ce qu'ils cherchaient, mais on aurait dit des zombies en plus propres), et la photo colle bien au roman que j'écris à mes rares heures perdues.

Habitudes alimentaires ? Aucune

Habitudes de sommeil ? Je dors sur le côté et il parait que je ronfle...

Quel personnage fictif épouserais-je ? Damon Salvatore.

Mon jouet préféré étant enfant ? Mes poupées Barbie.

Trois plats ou aliments que j’aime ? Le fromage, l'agneau, le boeuf, les pizza, le ateau à l'ananas, les frites, les chips, les viennoiseries, la crème brûlée, les épices tandoori... Je continue ?

Trois plat ou aliments que je déteste ? Les tripes, les ouassous, les crabes.

Ma saison préférée ? Printemps, été, automne.

Un accessoire que j’adore ? Les stylos pour pouvoir écrire n'importe où.

Mon arme fétiche ? Mon stylo, les mots peuvent faire très mal, et Lukas Sullivan s'en sert très bien.