De ce récit
Lectrices ! Lecteurs ! Hannibal mon ami !
Bien que tout à fait authentique et attesté par les plus grands historiens, le récit qui est conté ici ne sera finalement que le fruit d'une improvisation totale.
De là à dire que ça va être un joyeux bordel, il n'y a qu'un pas que je franchis les yeux fermés, dussé-je glisser sur un lendemain de raclette.
Cependant, et j'en conclurai là cette introduction qui n'a déjà que trop duré ; cependant donc écrivais-je, un soin particulièrement méticuleux sera apporté à la qualité du texte et des références tout en suivant l'absolue règle de la spontanéité : tout sera laissé comme au premier jet, dans son jus, seule les potentielles nombreuses fautes et autres coquilles seront, parfois, débusquées, torturées, dépecées, exhibées en place publique avant d'être envoyées dix ans sur des galères dont la seule destination sera une mine de sel où les chairs rôtissent au soleil, sans espoir de rédemption. Ou bien nous les corrigerons tout simplement, cela dépendra du budget. Ce ne sont pas tant la galère ou la mine qui font le prix, mais les rames sont devenues une denrée rare. La preuve, j'en utilise ici pour terminer ce prologue, une jolie paire qui m'a coûté fort cher et dont l'efficience ne me semble que toute relative.
En un mot comme en cent. Commençant par quoi d'ailleurs ? Ça, on ne saura pas, car ici nous finissons ce préambule et vous souhaitons d'être heureux.
(to be poursuivie...)
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