Chp 8 : Jolene

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Shadow est un bon masseur. Excellent, même. Je me surprends – enfin, façon de parler – à apprécier son toucher, à le rechercher, même. Inconsciemment, je cambre mon corps pour sentir plus intensément la chaleur de sa paume sous ma peau. Le fait qu’il m’a recouverte d’un plaid pour me masser est un peu frustrant… et aussi son soin maniaque à éviter les zones dites « érogènes » : hanches, fesses, reins, haut des cuisses. Et pourtant, mon corps recherche son contact dans ses zones là. Je comprends qu’il les évite, cela dit… et je m’en veux de me sentir frustrée. Shadow n’est pas un gigolo, un pourvoyeur de services sexuels. Déjà que je m’en veux de l’avoir poussé à me masser, alors qu’il n’en a, visiblement, aucune envie… Les elfes sont une race fière et noble. Les exploiter en utilisant leur souci de toujours rembourser leurs dettes et leur sens de l’honneur est ignoble.

Allez ma fille. Fais preuve de courage moral. Il a assez donné de sa personne.

— C’est bon, finis-je par dire en tentant de me dégager. Je n’ai plus mal au dos, grâce à toi.

Les mains puissantes de Shadow s’immobilisent. Mais il ne rompt pas le contact pour autant.

— Tu es sûre ? Je te sens encore très tendue.

— Ça ira pour ce soir, je t’assure.

Je me retourne sur le dos, un peu embarrassée. Et tombe nez à nez avec les yeux dorés, la peau mate et les longues tresses vif-argent de Shadow. Qu’il est beau… il suffit que je le lâche des yeux cinq minutes pour me déshabituer.

J’ai envie de me soustraire à cette contemplation douloureuse, mais j’en suis incapable. Les gros n’ont aucune volonté : c’est bien connu. C’est ce qu’on m’a dit toute ma chienne de vie… J’ai réussi à me ressaisir suffisamment vite pour ne pas couler comme du cheddar sous ses mains en gémissant comme une petite pucelle, à arrêter les frais avant de le supplier de poser sa glorieuse main sur mon cul. Mais renoncer de mon propre choix à mater ce mec superbe, ça, jamais. Surtout qu’il me renvoie ce regard. Jésus Marie… Est-ce que c’est sa langue, ce petit triangle rose que je viens de voir pointer sur sa lèvre charnue ? Il vient de se la lécher ? Oh mon Dieu…

— J’ai l’impression que mon massage t’a déçu. Mais je pourrais te donner encore plus de plaisir, tu sais, murmure-t-il d’un timbre aussi rauque que tentateur, qui coule comme du bon whisky.

Mon Dieu, Mon Dieu… Panique à bord. Mon cerveau surchauffé reçoit mille signaux de l’empire désordonné qu’il dirige. Le cœur, qui bat à cent à l’heure, lui indique, conjugué à des shoots réguliers d’adrénaline, que la situation est grave et va bientôt demander une implication physique : se battre ou s’enfuir. Le cerveau reptilien capte quant à lui une vague menace : en face, la bête a des crocs, des yeux fendus de prédateur et l’attention aiguisée d’un fauve en chasse. Le ventre contracté confirme ces deux messages. Mais le centre nerveux de l’étage inférieur chante une tout autre chanson… des vagues de chaleur provoquent la contraction de mes parois internes comme si elles cherchaient désespérément quelque chose à se mettre sous la dent, et mon clitoris pulse si fort que je suis obligée de tenir mes poignets en place pour empêcher mes mains de le frotter frénétiquement.

Mon agitation – et surtout le visage constipé et rouge écarlate que je dois lui montrer – n’échappent pas à Shadow.

— Ça te gratte quelque part ? Je peux te soulager, si tu veux…

Sa voix grave n’est plus qu’un murmure. Doux comme du coton.

— Allonge-toi. Laisse-toi aller, chuinte-t-il encore.

Mes yeux papillonnent. Il m’hypnotise, ou quoi ? Je sais que les faes ont ce pouvoir. Parmi tant d’autres… en fait, il peut me faire ce qu’il veut. Je ne résisterais pas.

Arrête de te donner des excuses. Avoue que t’en meures d’envie, et que si tu ne le fais pas, tu regretteras toute ta vie d’avoir laissé filer cette occasion unique : avoir un mâle elfe débiteur dans ton salon.

Tout le monde sait que ce sont les meilleurs amants du monde : ce n’est un secret pour personne, et une des raisons pour lesquelles les hommes les haïssent. Difficile de ne pas se sentir mis en danger par des super mâles alphas comme ces faes, avec leur physique de mannequin et leur compréhension innée des femmes…

Sans même m’en rendre compte, je me suis rallongée sur le sofa. Shadow, le plus naturellement du monde, est en train de caler mes jambes sur ses larges épaules, tout en les caressant au passage de ses longs doigts. Je ne sais pas trop ce qu’il fait, mais je m’en moque. Je me laisse aller dans la brume violette, comme dans la chanson de Jimi Hendrix. Sauf que Shadow n’a pas besoin de me faire fumer de l’herbe : c’est le parfum suave qu’il dégage qui me met dans cet état.

Je sais plus comment ils appellent ça. Mais tous les livres en parlent. Ce n’était pas une légende urbaine.

Mon bas de pyjama a disparu comme par magie. Je suis cul nu, enfin presque : j’ai toujours cette affreuse culotte de grosse, la seule qui ne me rentre pas dans la peau.

À travers les brumes du luith – ça y est, le mot m’est revenu – je croise le regard félin de Shadow. On dirait celui de Sauron dans le Seigneur des Anneaux : incandescent, hypnotique, auquel il est impossible d’échapper. Je sens quelque chose glisser sous l’élastique de ma ceinture de chasteté : la main de Shadow.

Il s’arrête, et son regard se fait plus interrogateur. Je lui réponds d’un hochement de tête mou, tout en marmonnant un coassant « oui, tu peux » peu engageant. Je devrais avoir honte d’être si peu sexy, mais tout mon amour propre s’est envolé avec ma volonté. Je n’ai plus honte de profiter si abusivement de sa générosité. Je n’ai plus qu’une idée en tête, la satisfaction de ce besoin impérieux, d’une façon ou d’une autre.

Hop, ma culotte elle aussi a disparu. Shadow me regarde encore, me sourit, puis… baisse les yeux pour observer ce qu’il y a entre mes cuisses, comme s’il l’étudiait.

Évidemment, je suis trempée. La honte revient… aussitôt chassée par la sensation du souffle de Shadow sur mon intimité.

— Oh non…

Jamais aucun homme n’a plongé sa tête là-dedans. Ce genre de choses ne se fait pas dans ma communauté. C’est réservé au diable, et à ses disciples. Aux sorcières.

— Oui, sourit Shadow contre ma cuisse. Aux sorcières. C’est un peu ce que tu es, non ? Une sorcière qui m’a capturée dans son cercle magique.

Sa voix est plus chaude, hachée. Moins contrôlée que tout à l’heure. Et elle me fait une impression dingue. En sentant ses canines effleurer ma peau tendre, je lâche un gémissement, incapable de le retenir.

— Tu as lu dans mes pensées ! observé-je en attrapant la masse épaisse de ses cheveux blancs.

— Pardon. Je ne le ferai plus.

Sa langue glisse sur le bouton de terminaisons nerveuses entre mes jambes, me provoquant un soubresaut de surprise. Elle est fine, pointue… et râpeuse, comme celle d’un chat.

— Oh Mon Dieu !

Les doigts de Shadow glissent lentement en moi. Ma fente, qui n’a pourtant connu aucune visite depuis longtemps, ne proteste pas contre l’intrusion. Au contraire… je sens mes jambes s’ouvrir un peu plus, et mes hanches bouger contre ma propre volonté. Shadow maintient la pression sans cesser ses coups de langue, tout en faisant coulisser ses doigts en moi sur un rythme lent et sûr qui me fait décoller. Machinalement, ma main migre vers ses oreilles. Sentir leur forme pointue sous mes doigts me provoque une nouvelle vague d’excitation. Je suis en train de me faire lécher par un elfe… c’est pas croyable.

Shadow se laisse triturer les oreilles sans rien dire. Je me rappelle avoir lu quelque part que les toucher était un acte intime, et que les elfes détestaient que les humains les leur tripotent sans permission, comme cela peut arriver parfois avec les enfants faes encore sans défense. Je n’aurais sans doute pas dû les toucher sans avoir le consentement de Shadow au préalable. Mais en même temps, il est en train de me faire un cunnilingus… et c’est si bon que je n’arrive pas à réfléchir plus de trois secondes.

Le mouvement de mes hanches s’accélère avec la montée du plaisir, et son rythme suit. Finalement, l’orgasme me submerge, aussi fort que quand je me fais plaisir toute seule. Je n’ai pas émis un bruit. Contrairement à ce que les gens s’imaginent, je ne suis pas une fille démonstrative.

Shadow se redresse.

— Tu as un goût délicieux, Jolene. Sucré et doux, comme du miel.

Je lui jette un regard, puis détourne la tête, embarrassée.

— Oh, je… j’ai si honte. Je ne voulais pas te forcer à faire ça…

— Tu ne m’as rien demandé. C’était mon initiative.

Je m’attends à ce qu’il demande si ça m’a plu, comme mon ex-mari le faisait. Mais il ne dit rien. J’imagine qu’on est quittes, maintenant.

— Tu dois être fatigué, dis-je en remontant gauchement mon pantalon (ma culotte a disparu je ne sais où). Je vais te montrer la chambre.

Shadow boit une gorgée de cidre.

— Si tu veux aller dormir, je vais avec toi, dit-il en reposant son verre. Sauf si tu veux dormir seule, bien sûr.

Il compte encore partager mon lit, après ce qu’il a déjà fait ? Je lui dis timidement qu’il peut venir. Shadow me suit dans ma chambre, puis, au bord du lit, il se débarrasse de son T-shirt, dévoilant son torse sculptural, parcouru de marques tribales et mystérieuses. Je détourne à nouveau les yeux.

— Euh, je…

— Retire tes vêtements, toi aussi. À moins que tu ne préfères que je le fasse moi-même ?

Non, sérieux ?

Mon regard migre à nouveau vers lui. Il s’attarde sur ses pectoraux, ses bras musclés couverts de tatouages, et sur la chevelure argent qui coule dessus. Il a l’air encore plus sauvage ainsi, à demi-nu. Féral. Je mate ses tablettes choco d’un coup d’œil oblique, jusqu’à ce que je voie son pantalon tomber d’un seul coup. Il ne porte rien en-dessous.

— Oh !

Le cri est parti tout seul, ainsi que la main sur la bouche dans une vaine tentative pour le retenir. Je savais que Shadow aurait une queue de taille honorable, car il y a toujours une part de vrai dans les légendes. Or, la rumeur dit que les elfes, et notamment les chefs de clans, sont particulièrement bien pourvus de ce côté-là. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit aussi énorme. Même mon plus gros sex-toy monstre, celui que je garde sur mon étagère en guise de déco car il est trop encombrant pour être utilisé, n’est pas aussi imposant.

Merde. C’est une bite de cheval !

Shadow passe sa main dessus, le plus naturellement du monde. Il n’a pas du tout honte de l’impressionnante érection qu’il est en train de me montrer.

— C’est mon nom de naissance : Shôma. « Cheval droit », en japonais. Ma mère m’a appelé ainsi, pour que je reste toujours dans le droit chemin.

— Tu… tu t’appelles « Cheval droit » ? réussis-je à balbutier sans parvenir à détacher le regard de son massif attribut.

Mes yeux doivent ribouler comme ceux d’un canasson effrayé, justement.

— C’est mon nom. Ne le dis à personne. C’est juste pour toi.

Il m’a donné son nom. Je ne sais pas ce qui me paraît le plus incroyable : qu’un elfe inconnu encore la veille, chef d’un clan important, m’ait donné son nom, ou la taille de son sexe.

— Et tu… tu…

Je n’arrive pas à le dire, comptant sur sa télépathie pour deviner la suite.

Tu comptes me pénétrer avec ce truc énorme ?

— Comme tu veux, sourit-il en haussant les épaules. Sache en tout cas que ça ne te fera pas mal. Au contraire, même. Mais c’est à toi de choisir. Je me tiens à ta disposition.

Son érection n’a pas faibli, en dépit de cette conversation lunaire. Sa queue est toujours aussi engorgée, aussi raide… et, sûrement, aussi dure.

Jésus. Ce type pourrait devenir une star du porno. Est-ce que ça existe, le porno elfique ? Sûrement. Tout existe.

Le sourire de Shadow s’élargit, dévoilant ses crocs effilés. Est-ce qu’il continue à lire dans mes pensées ?

— Euh… allons au lit, dis-je maladroitement.

— Seulement si tu en as envie. Je te l’ai dit, c’est toi qui décides. Je peux dormir seul dans le canapé, ou ici, avec toi, et te donner encore plus de plaisir.

Oui. OUI.

— Oui quoi ? demande-t-il en penchant la tête sur le côté.

Mon Dieu. Même là, à poser ses questions bizarres, il reste craquant.

— Oui pour le lit, réponds-je sans le regarder. Avec toi dedans.

Et pour le plaisir.

Je profite qu’il attrape quelque chose dans ses fringues pour me glisser sous les draps, encore habillée.

— Enlève ton pyjama, répète-t-il en ouvrant une petite enveloppe brillante d’un coup de canine. Je n’ai vraiment pas envie de te le déchirer. Ce serait dommage.

Me le… déchirer… ? Shadow est en train de dérouler une gaine de plastique sur son impressionnante érection, sans me quitter des yeux. Je suis consciente d’être rouge écarlate, et incapable de me détourner de ce spectacle. Je casse le truc avec un petit rire.

— Ça va être aussi sauvage que ça ?

Il a quand même mis une capote. Qui doit être une de taille « cheval », pour lui.

Shadow braque son regard de fauve sur le mien.

— Ça sera comme tu le voudras. Mais je suis en rut en ce moment, et j’ai ma fierté d’ard-æl. Or, tu n’as pas crié, tout à l’heure.

Je manque de m’étouffer. Mais Shadow – entièrement nu, je le rappelle – est déjà au-dessus de moi, sa longue chevelure coulant sur une épaule.

— Je vais remédier à ça. Tu vas me faire entendre ta voix, cette fois, ma belle.

Je n’ai pas le loisir de protester. Sa bouche s’écrase contre la mienne. Je sens son gland frotter contre ma fente humide, de haut en bas. Mon Dieu… Jésus Marie.

— Je pensais être capable de me retenir, souffle-t-il dans mon cou. Mais je suis désolé, bébé… Je crois que je vais te prendre tout de suite.

Mon cœur manque un battement. Qu’est-ce que sa voix est sexy, lorsqu’elle est rauque et chargée de désir…

— Oh, ne te gène pas, réussis-je à coasser. Fais comme chez toi.

C’est nul, je le sais. Mais j’étais pas prête à ça.

— Je veux t’entendre dire que tu en as envie aussi, murmure-t-il en effleurant ma jugulaire de ses crocs.

Je sens sa langue râpeuse, par intermittence. Elle descend le long de mon épaule jusqu’à mon téton, déjà douloureusement érigé. Lorsqu’il le saisit entre ses canines, je me sens défaillir. Quand sa bouche chaude et humide se referme dessus, je sais que je meurs. D’autant plus qu’il continue de frotter la pointe épaisse de sa hampe à l’entrée de ma salle des plaisirs… sans encore consentir à me pénétrer.

Non. Il veut me torturer d’abord. Les elfes ont un côté cruel, comme des chats jouant avec leurs proies. Ça aussi, la rumeur le dit.

Une onde de plaisir irradie de l’intérieur de mon sein jusqu’à mon centre le plus profond, tandis qu’il suçote mon téton vigoureusement. Cette langue râpeuse…

Je m’entends gémir sans aucune retenue.

— Je t’en supplie, Shôma…

À travers le rideau de ses cheveux blancs, son œil jaune-vert à la pupille effilée se braque sur moi.

— Je t’en supplie quoi ?

— Mets… mets là moi. Maintenant.

Fais-moi goûter à cette énorme bite.

Son rire grave et un peu moqueur – mais aussi tendre – résonne à mes oreilles. Puis, lentement, centimètre par centimètre, il enfonce sa queue en moi, alors que ma bouche s’ouvre sous la pression de cette chair qui m’envahit. Elle était juste là, à l’entrée, prête à l’emploi.

— Tout de suite, princesse.

Un vrai chevalier servant. Et il ne m’avait pas menti, en me promettant une jouissance inédite. En fait, il m’a à peine pénétrée que j’explose. Un spasme si violent que je ne retiens pas mon cri. Alors que tous mes muscles tremblent de façon incontrôlée, Shôma se retire doucement. Il n’a pas pu m’emplir complètement, je le sais.

— Eh bien voilà, murmure-t-il à mon oreille.

— Tu n’as pas…

— Tu m’as donné ta voix. Ça me suffit.

Il effleure ma joue de ses longs doigts et roule sur le côté, tourné vers moi. Attentif, toujours.

Sauf qu’il n’a pas joui. N’a même pas essayé de prendre un peu de plaisir. Il a tout fait par obligation, pour payer sa prétendue « dette ». Parce que je l’ai accueilli chez moi… alors qu’il a dû travailler pour ça, et même faire la bouffe.

Dehors, la nuit est déjà plus claire. J’entends même le pépiement d’un oiseau, un irréductible qui n’a pas fui à l’arrivée de l’hiver. Je jette un coup d’œil au réveil sur ma table de nuit : presque quatre heures du matin. Je ne m’étais pas rendue compte qu’il était aussi tard. Combien de temps ça a duré, exactement ? Cela m’a semblé quelques secondes à peine, depuis le massage et le cunni…

— Tu devrais dormir, lui dis-je. Ne te force pas à rester éveillé pour moi…

— Les elfes ne dorment pas la nuit. Je ferai un petit somme tout à l’heure.

— Je reprends la boutique dans quatre heures trente. Je vais dormir.

— Bien sûr. Je veille sur toi pendant ce temps-là.

Je cale sur le côté, lui tournant le dos. J’ai l’habitude de dormir seule et ça présence me fait bizarre. Mais il passe son bras sur moi, et me cale contre lui. Je dois avouer que c’est confortable.

— Dors bien, Jolene.

— Bonne nuit, Shadow.

Je n’ose plus utiliser son vrai nom comme tout à l’heure. Déjà, c’était déplacé de ma part de le faire. Chez les elfes, les noms ont un pouvoir.

Par la fenêtre, je regarde le jour se lever progressivement, sans savoir si Shadow s’est endormi ou s’il continue à veiller derrière moi. Dans quelques heures, je serais de retour à la boutique, face à Ree, et probablement Shaun.

Qu’est-ce que je vais bien pouvoir leur dire ?

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