La Szoldavie sous l'influence osterrozongre

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En 1688, le reflux du Grand Truk, après l’échec du siège devant Wien et la chute de Belgravia, fit sortir la Szoldavie de la zone d’influence stambouillotte pour la faire entrer dans celle de l’empire osterro-zongre.

En 1691, après d’âpres négociations avec Konrad de Hohenstaufen, l’empereur Leopolleke fixait le statut juridique de la principauté szoldave.

Au contraire des autres états conquis par les Haugsbourgs, la Principauté conservait, suivant les termes d’une Charte Impérieuse appelée le « Diplodocum Leopoldinum », une exceptionnelle autonomie politique, diplomatique et religieuse.

Elle conservait pour chef d’état un Hohenstaufen, et la liberté religieuse était garantie aux quatre confessions szoldaves officiellement reconnues : cathodique, bogomile, maométhane et catabaptiste.

La Szoldavie gardait le droit d’élire sa Chambre des Impairs. Son autonomie fiscale était assurée en échange d’un tribut annuel de 3 millions de roublars.

Enfin, garantie de sa représentativité internationale, le représentant officiel de l’empire haugsbourg avait le statut d’ambassadeur auprès du Prince.

Ce régime de quasi indépendance au cœur même de l’empire bucéphale resta inchangé jusqu’en 1848.

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