Le fond de la vie est certains endroits, est certaines femmes, est certains hommes.

J'ai mal mais je ne peux cirer.

J'ai mal mais, ma plaie, c'est le monde.

J'ai mal, mon âme s'efface.

J'ai mal, mon coeur s'enveloppe d'aimer.

Les vers froissés dans mes tiroirs crient, toutes les années en moi crient.

Le ciel grince quand le soleil y passe, j'entends le cri.

Je n'arrive qu'à peindre des visages détenus prisonniers de regrets passés, je ne vois pas d'émotions passé mon test de turing.

Mon sommeil est vide, les rêves s'en échappent. J'écris ces déchirures entre le monde des insomnies et la réalité des vivants qui naît seulement à l'aube.

J'ai le sang pointu, il triture lmes organes. Mon coeur chauffe, éclabousse ma feuille de sentiments inavoués, cliquandts, cinglants, fils de cendriers, prêtes de cathédrales de terres athées oubliées.

J'essaye d'écrire DIeu mais mes mains se déchirent et j'entre dans un endroit ou les temps se perdent.

Ma douleur est telle que le soleil en crépite, telle que la

J'entends les droites des univers, j'entends les hymnes de la poésie des êtres ineffables droits et fiers quze sont les nombres. Les danses des feuilles aux vents qui viennent de loin, les montagnes grondent et tendent vers le ciel. Les aigles hauts dans le ciel

J'ai lu cioran et j'en ai le trépas. Cette quantité absurde de vouloir oublier qui pourtant nous pousse à vivre en feu, les nerfs brûlants de tendresse et d'ivresse des vents. La bouche vive, vite à dire je t'aime. Les poumons vivants, gonflés de vécus et les piers feermes, en marche vers l'inconnu.