Wizia la gardienne
Je ne sais ô combien de temps, je les ai maudits
Mais pour sûr cela dur depuis une éternité, lasse
Je suis, épuisé qu’ils ne se rencontrent en réalité
Tout comme cette crevasse, cet abîme si maudit
L’âme est au corps ce que le cœur est à l’esprit
Je sais, je peux paraître diabolique, si horrifique
Mais sans étant d’âme, je dirais plus encore…
Mais je t’ai ma souffrance en même temps…
Oui, je compresse ma douleur, pour vous deux
Pour qu’à tout jamais vous soyez bienheureux
N’en voulez point à mon maléfice, maîtresse Lydia
Enchanteresse des âmes et enchantez-les pour moi, Merlin
Pour qu’à tout jamais, ils en soient de l’Eden du peuple élu,
Celui ou je n’en serai probablement qu’une simple éducatrice
Mais celle qui officiera comme la vie, mais point comme la mort
Telle une onde sonore, je pose mon ode à la vie et aux éternels
Ces amoureux de la vie, pour eux je suis tel un maléfice,
Mais avant tout, une eau de vie, dont la source est bénédiction
Celle de leur âmes, amoureuses, et je pleure bien à l’avance
Que jamais ils ne parviennent à s’unifier, s’embrasser, s’aimer véritablement
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Jour de Saturne 27 mars 2021
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