Heure 77
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Chacun a sa limite d'ouverture physique à l'autre. Souvent très "autre-dépendant", d'ailleurs. Et bien que je tende à accueillir quelques contacts plus rapprochés avec le temps ou selon l'affinité, mon registre amical est parfois très limité.
J'élève parfois des papillons digestifs à la moindre ambiguité, savez-vous ? Un frôlement et je peux me sentir envahie ou toute chose, c'est extrême. Des doigts s'enlacent et mon coeur s'hérisse ou s'affole, c'est étrange. Alors des lèvres qui se gouttent, n'en parlons pas. Petite Blouse, tu me ferais mourir sur place, de peur ou d'émoi. C'est comme ça.
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