Cédric Jubillar est coupable !
 Les crimes réels, même à Albi, finissent comme tous mes mauvais écrits : sans que la vérité éclate dans le dernier chapitre.
Des romanciers pleins de talent tels Zola, Dostoïevski ou Carrère ont eu cette fascination pour le réel morbide. Cédric Jubillar incarne l'ambiguïté du coupable idéal : pauvre, drogué, cynique, arrogant. Il est la proie idéale pour le récit collectif et les discussions jubilatoires pleines de vides des commères de BFM-TV et des influenceurs verts-de-gris de #CNews. 
 Entre deux débats froids sur la réforme des retraites que mène le "Premier ministre des sourcils épais", ils ont choisi : Cédric Jubillar est coupable !
 Mais dans la vie doit-on réellement avoir un coupable pour que l'histoire tienne sur ses deux pieds ? La justice des hommes cherche les preuves, celle de Dieu attend son heure.
 Et vous, que cherchez-vous ? Si vous deviez écrire le dernier chapitre du meurtre de Delphine, quel serait-il ?
#justice, #RomanNoir, #faitdivers, #ÉcritureVivante
Ce texte rejoint mes réflexions sur la justice et la parole dans En coulisses.
 

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